Veuillez activer le javascript sur cette page

Objet connecté

Les objets connectés deviennent de plus en place indispensables à notre mode de vie. Entre praticité, utilité et ludisme, les objets connectés ou Internet of Things (IOT) s’intègrent dans toutes les sphères de la vie.

Les objets intelligents au service des utilisateurs :

Icone Enceinte
Loisirs
Icone Voiture
Mobilité
Icone Balance
Santé
Icone Micro-onde
Maison
Infographie 13 Objet connecté

Vous êtes intéressé par les objets connectés ?
Contactez-nous et parlons-en!

Les prestations les plus fréquentes :

Pour les pure players du web
Pour les TPE/PME
Pour les start-up
Pour les agences
de communication

Nous Contacter

Icone upload fichier

Quelques
Actualités

Mise en conformité RGPD : l'agence, l'avocat et le quiz

Lever les yeux au ciel en expirant ou regarder ses pieds en esquivant les regards… faites le test de poser la question fatidique “Qui parmi vous est en conformité RGPD” et vous aurez majoritairement ces deux attitudes d’esquives. En même temps, c’est normal, car le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD ou GDPR pour les anglais General Data Protection Regulation) est une toute fraîche réglementation sortie du droit européen pour imposer aux nations une nouvelle façon de faire pour la protection des droits des personnes et des libertés individuelles en rapport avec le digital. Terminée la sacro-sainte formalité de déclaration à la CNIL - loi informatique et liberté qui date de 1979 soit dit en passant - n’était-il en effet pas temps de réformer la protection des données personnelles quand on voit ce que les entreprises en font lorsque ce n’est pas encadré ? Libéralisme effréné au risque de compromettre la protection des droits des citoyens et de leurs données personnelles ou bien échanges plus ou moins régulés dans un monde civilisé dans lequel les entreprises peuvent commercer de façon plus éthique et conventionnelle. Finalement, sans s’en rendre trop compte, nous sommes passés dans une nouvel ère, sobrement appelée ère post-RGPD, on pourra dire dans 20 ans qu’on y était, et on pourra voir si cette évolution aura été bénéfique pour la protection des données personnelle des individus.   Présentée comme cela, pourquoi les gens font l’autruche sur la mise en place de la conformité RGPD ? Plusieurs raisons à cela. Tout d’abord c’est un sujet assez technique. Si chacun a essayé de comprendre de quoi le RGPD retourne, tout le monde a saisi qu’il s’agit de protection des données personnelles, oui mais c’est-à-dire ? Il suffit de survoler les documents que la CNIL met à disposition pour être perdu. C’est long et on ne comprend pas bien à la première lecture. Demandez à un chef de produit, un commercial ou à un développeur de lire 257 pages sur la protection des données personnelles, on ne donne pas cher de votre peau ! Ensuite, le RGPD pour la protection des données personnelles amène son lot de termes dont on ne serait bien passé : registre des traitements, PIA, DPO, cartographie, des mots qu’on n’arrive même pas à traduire en français comme “accountability” ou “privacy by design”, ou encore des mots qu’on cherche dans le dictionnaire comme “licéité”, il faut vraiment s’accrocher pour garder des survivants dans les entreprises pour prendre le sujet du RGPD à bras le corps.   Pour ces rares survivants, que comprennent t-il ? Ils saisissent que le RGPD n’est pas l’affaire d’une seule personne mais d’un collectif. Par facilité, certains renverraient simplement la patate chaude au DSI, au DAF, au département juridique, enfin à quelqu’un d’autre du type “PI. A mettre en place asap”. Sauf que ce n’est pas aussi simple. Pour une mise en conformité RGPD en bon et dû forme, rien de tel que la complémentarité d’un ensemble d’acteurs qui sont : le chef de produit, le responsable technique, le responsable juridique ou l’avocat spécialisé en droit de la propriété intellectuelle ou du RGPD, le tout piloté par le bien nommé Délégué à la Protection des Données (DPO). Enfin, tout dépend du type d’entreprise, de sa taille, de son influence, cependant qu’il s’agisse d’employés ou de sous-traitant, ces acteurs doivent travaillent en étroite collaboration pour lancer la mise en conformité RGPD et rentrer “dans les clous”. Car s’il y a bien quelque chose que les chefs d’entreprise ou tout un chacun a bien saisi du premier coup, c’est le risque encouru en cas de non mise en conformité RGPD. Soit 4% de son chiffre d’affaires (sur 1 année) dans la limite de 20M d’euros d’amende.   En tant qu’agence digitale, nous avons tout d’abord audité notre propre système de traitement des données personnelles et mis en place un plan de route vers une mise en conformité.   Nous avons également un devoir de conseil envers nos clients sur le sujet et pour cela, nous nous sommes entourés d’experts et notamment d’un avocat spécialisé en droit de la protection de la propriété intellectuelle et de la protection des données personnelles, de fait du RGPD. Notre partenaire Avocat spécialisé RGPD Le cabinet parisien FLV & Associés, par l’intermédiaire de Maître Stéphane Salembien, est le partenaire de l’agence MG Mobile pour intervenir sur les dossiers de mise en conformité RGPD de nos clients. Quelques mots sur notre partenaire cabinet d’avocat Maître Stéphane Salembien possède une expertise sur trois principaux volets : la mise en place de contrats de distribution, dans une logique de construction de nouveau business. C’est notamment ici que sa connaissance du RGPD est valorisante. le contentieux (c’est quand on va au tribunal). la mise en place de négociations en précontentieux (c’est quand on essaie d’éviter d’aller jusqu’au tribunal).   En d’autres termes, l’expertise de notre avocat partenaire s’applique dans le cadre de la mise en place juridique des nouveaux business physique mais aussi numérique, pour lesquels il est obligatoire de prévoir de la documentation de type contractuelle ou réglementaire comme des conditions générales d’utilisations ou une charte des données personnelles par exemples, le tout en étant éclairé d’une bonne dose de connaissances du droit de protections des données dans le cadre du RGPD. Vous l’aurez compris, il s’agit de prévoir, d’anticiper, et construire un business stable et perrein dans la sérénité du RGPD. Dans le cas où un contrôle de la CNIL interviendrait, son expérience et son expertise en contentieux sera d’un précieux recours pour régler le dossier. Les points forts de notre partenaire Avocat spécialisé RGPD La réactivité, l’investigation, le synthétique sont la marque de fabrique de Maître Stéphane Salembien. Un besoin d’interactivité au demeurant très sympathique ont font un allié de circonstance lorsqu’on travaille sur un sujet tel que l’application des règles du RGPD pour son entreprise. Il va creuser le sujet de votre activité, de votre concept pour un rendu synthétique avec une vision clairvoyante. C’est ce qu’il appelle sobrement “une vision d’ensemble” qui lui permet de mettre sa palette d’expertises au service de la problématique de l’entreprise. Qui peut faire appel à notre avocat spécialisé RGPD ? En vérité, il n’y a pas de règles précises car la grande majorité des entreprises étant à but commercial, des données sont collectées. Dès lors, ne pas s’en préoccuper reviendrait à ne pas être en conformité RGPD. De fait, et parce que tout type d’entreprise n’a pas en son sein des spécialistes en RGPD, nous pouvons intervenir pour des grandes entreprises du CAC 40 pour un accompagnement de mise en conformité RGPD comme pour les startups en création qui ont besoin d’aller vite tout en respectant le cadre légal. De notre expérience en agence digitale, de nombreuses entreprises n’ont pas de services juridiques internalisées (startup, pure players, TPE…) et l’aide de notre avocat partenaire spécialisé RGPD est fortement appréciée. Cela permet de mettre un cadre, de rentrer dans le process, de faire les choses à son rythme, mais au moins de traiter le sujet et de le prendre à bras le corps. Super, mais qu’est-ce qu’une démarche simple de mise en conformité RGPD ? Dans le cadre de la protection des données personnelles, la première étape comme nous l’avons énoncé, est d’identifier les acteurs (interne ou externe) de l’entreprise pour mener à bien cette action. Ce n’est pas la somme des individualités qui compte, mais la force du collectif. Une fois que la task force est identifiée, des premières étapes simples sont à réaliser : cartographie des données collectées mise en place d’un registre des traitements statuer sur la question des données sensibles relecture des conditions générales d’utilisations nommer un délégué à la protection des données communiquer auprès de ses clients sur le respect du RGPD mettre en place des procédures sur des cas d’usages du RGPD (piratage des données personnelles…) Voilà déjà des premières actions pour enclencher la machine sur la bonne voie. Où et quand intervient MG Mobile dans ce plan de mise en conformité RGPD ? En tant que responsable technique de projets clients, nous accompagnons le DPO, l’avocat ou tout autre interlocuteur dans la bonne compréhension des procédures déjà en place, des systèmes de traitement existants. L’agence digitale est un rouage essentiel de la bonne mise en conformité RGPD de ses clients. Contactons-nous plus de plus amples informations. Combien ça coûte la mise en conformité RGPD ? Notre avocat partenaire expert RGPD s’adapte aux situations et aux besoins des entreprises. Pour un audit de mise en conformité RGPD, un forfait compris entre 800 € HT et 2 000 € HT suivant l’envergure du projet s’applique. Pour une intervention plus récurrente dans la durée, il devient nécessaire d’en parler afin de définir le contour de l’intervention et de réaliser une offre dédiée qui permet à tout le monde de s’y retrouver. Ce qu’il faut tout de même retenir, c’est que le coût est principalement sur la mise en place du processus RGPD. Par la suite, il pourrait s’agir d’une intervention occasionnelle. 3 TIPS de notre avocat partenaire spécialisé RGPD Notre avocat partenaire nous met gentiment en garde et nous délivre trois tips que son expérience et sa sagesse nous prodiguent : Il en va de la responsabilité de l’entreprise de se mettre en conformité RGPD et de mettre en sécurité les données personnelles de ses clients… Le mot clé : COMPLIANCE. Cela parait compliqué au premier abord, néanmoins c’est un moyen pour mettre en avant les qualités de l’entreprise. Le mot clé : CONFIANCE. Ce n’est pas insurmontable, il s’agit principalement de s’organiser. Le mot clé : ORGANISATION. Merci Maître, on se sent plus léger en lisant ces quelques lignes.   Quelques exemples d'amendes prononcées par la CNIL 26 novembre 2019 -  FUTURA INTERNATIONALE : sanction de 500 000 euros pour démarchage téléphonique illégal 21 janvier 2019 : 50 millions d’euros à l’encontre de la société GOOGLE LLC

Initiation au référencement naturel sur Google – PARIS

Réservez la formation au tarif de 119€ ttc au lieu de 149 ttc (-20%). Description : Comme le disait Benjamin Francklin : « Ecrivez quelque chose qui vaut la peine d’être lu ou faites quelque chose qui vaut la peine d’être écrit. »   Le référencement naturel est un sujet vaste et complexe, souvent perçu comme technique au départ, mais qui reste accessible au plus grand nombre dans sa compéhension et surtout dans ses actions concrètes à mettre en place régulièrement par tout types d’entrepreneur, de startuper, par des sociétés qui ont des activités en ligne (vente des services, de produits…) ou dans le monde réel.   Notre ambition : qui que vous soyez, nous souhaitons que vous deveniez un initié du référencement de votre activité sur internet avec un plan d’action clair à mener pour la suite et que vous pensiez en sortant « Le SEO ? pas de problème pour moi, voici comment je vais l’appliquer pour mon activité ». L’objectif : détenir les clés en 3h30 pour augmenter sa vibilité sur le référencement naturel pour attirer de nouveaux prospects. Au programme : 3h30 d’initiation au référencement de votre activité sur google au cœur de Paris, en petit comité de 3 personnes maximum. Formation qui mêle la théorie avec la pratique au cas par cas, en direct, sur votre activité en ligne, Apprentissage des grandes notions de l’univers du référencement : Gérer ma fiche établissement Google My Business comme un PRO, Les 5 fondamentaux du référencement naturel, Les clefs pour mettre en place une stratégie d’acquisition client sur le digital, Un cadeau bonus à découvrir sur place. Envie de partager cette initiation avec une de vos connaissances ? n’hésitez pas à partager cette initiation en indiquant que vous êtes le parrain et profitez d’une remise de 10%. Les sessions se font en semaine de 9h à 12h30 dans notre agence digitale au cœur de Paris. Voir les dates de nos prochaines sessions : vendredi 28 juin 2019 (COMPLET) vendredi 19 juillet 2019 (COMPLET) vendredi 27 septembre 2019 Dernières places disponibles

Quels sont les modèles économiques du web ?

Google, Facebook, Wikipédia, Youtube… ces sites sont parmi les plus visités au monde et ils sont tous gratuits au premier abord. C’est aussi le cas pour bon nombre de médias en ligne, de blog, de sites de streaming...  Alors, comment font-ils pour gagner de l’argent, ou tout simplement pour payer leurs infrastructures ? Quels sont leurs modèles économiques ?   Qu’est-ce qu’un modèle économique ? Un modèle économique ou business model décrit les principes selon lesquels une organisation crée, délivre et capture de la valeur. Le modèle économique d’un site web ou d’une application mobile est tout simplement le moyen qu’ils ont de gagner de l’argent. Il existe cinq formes principales de monétisation : marchand publicité freemium place de marché don   Les différents modèles économiques du web Modèle e-marchand   Ce modèle d’affaires s’applique aux sites marchands et aux boutiques en ligne. Ces sites ont la particularité de vendre en ligne des produits, services ou contenus. Les sites dit “transactionnels” génèrent des profits en fonction des ventes en ligne enregistrées.   Modèle d’affiliation Ce modèle s’applique aux sites marchands.Ceux-ci s’adressent à d’autres sites afin que ces derniers affichent du contenu publicitaire (bannière, lien…) dans le but de lui envoyer des acheteurs potentiels. Les sites affichant de la publication deviennent des affiliés et sont rémunérés avec un pourcentage de commission sur les ventes ou le trafic généré.   La publicité C’est le modèle le plus répandu, il est fondé sur une monétisation de l’audience par la publicité. Le site monnaye le nombre de pages vues et le temps passé par les utilisateurs.   L’affichage Fondé sur l’affichage (display), ce modèle est une transposition du modèle classique de la publicité. Il s’appuie sur des régies publicitaires qui répartissent des bandeaux publicitaires sur des sites. Le ciblage offert aux annonceurs est thématique (espaces ciblés pour les femmes, les amateurs de sport…) avec une volonté d’aller vers des formes plus élaborées de profiling. La tarification est fondée sur le CPM (coût pour milles affichages). Le CPM peut varier selon le régisseur et la taille de la bannière mais il est en moyenne de 1€.   Le matching publicitaire   Le cookie matching consiste à ce que le site de chaussures et la bannière publicitaire s’échangent les noms des cookies à travers des petits programmes informatiques (script envoyant des requêtes) afin d’identifier qu’Isabelle correspond au cookie ISA-125 pour le site de chaussures et PYB-89 pour la bannière publicitaire.   Le modèle Freemium Le principe du Freemium est fréquent : l’utilisation des services/fonctionnalités de base est gratuite, l’accès aux services/fonctionnalités premium est lui payant. Ces services premium peuvent-être liés à la vente d’un abonnement (c’est le cas de Flickr), ou bien de services ponctuels associés permettant d’enrichir l’expérience de l’utilisateur (vente de biens virtuels, accès à de l’information supplémentaire sur LinkedIn, par exemple).   La place de marché Ce modèle repose sur le prélèvement d’une commission sur les transactions organisées par le site. La plateforme organise la rencontre d’un grand nombre d’offreurs et/ou de demandeurs de biens et de services et ses revenus sont proportionnels aux transactions effectuées. Exemple : Ebay   Le don Le dernier modèle de collecte de ressource est fondé sur le don et le bénévolat, souvent associé au refus de la publicité et de la vente des contenus. L’exemple emblématique en est Wikipédia, l’encyclopédie libre ; on peut aussi mentionner la plateforme de blogs WordPress.   Trouver un modèle économique gagnant consiste à identifier le mode de fonctionnement de votre entreprise. Sur le web, le principe de l’affiliation (revenus de la publicité) est en général insuffisant pour devenir rentable. Vous devrez, dans tous les cas, identifier un élément à valoriser, à vendre ainsi que des spécificités pour attirer votre cible de clientèle et vous différencier sur le web.  

Pourquoi faire un prototype avant de développer un site web ou une application mobile ?

Qu’est-ce qu’un prototype ? Par définition, un prototype est le premier exemplaire d’un produit industriel. D’abord utilisé dans la création de logiciels lourds, cette technique est aujourd’hui recommandée par les professionnels du web. En effet, c’est un étape indispensable dans le métier d’un UX designer. Cette méthode consiste à élaborer des prototypes de l’interface finale d’un site web ou d’une application mobile. Il existe plusieurs niveaux de réalisation, du plus grossier (zoning, croquis) au plus élaboré (wireframe, mockups). C’est à vous de choisir lequel sera le plus pertinent suivant votre projet ou son état d’avancement. Les différents types de prototypes Maquette, mockup, wireframe, zoning, prototype… plusieurs termes que beaucoup confondent faute de définition claire. Voici donc une définition simple de chacun d’eux, cela devrait vous éclairer.   Le zoning : c’est la méthode de conception la moins élaborée, elle consiste à schématiser une page sous forme de blocs de contenu grossier afin de déterminer l’organisation de la page et de son contenu. L’arborescence fonctionnelle : il s'agit de représenter visuellement les imbrications et les connexions entre les différents gabarits composants le support interactif, ce qui revient à en illustrer le fonctionnement. Ce n'est pas à proprement parlé une méthode de conception, mais plus une vision de l'activité, qu'il faut questionner. Le wireframe : se fait généralement après le zoning et permet d’intégrer le vrai contenu de la page afin de montrer les fonctions de celle-ci. Son objectif est avant tout fonctionnel. Le mockup : c’est tout simplement un wireframe transformé en page HTML. Il permet de se projeter, car une fois la page dynamique on peut naviguer entre les pages, tester des formulaires… La maquette : c’est pareil que le mockup...avec des couleurs. Son but est de permettre de se projeter et de tester aussi bien le fond (le contenu) que la forme (le design). En ajoutant les bonnes couleurs et les bonnes images, vous pourrez avoir un aperçu plus réaliste de votre futur site ou application. Le prototype : permet de se focaliser sur le fond en testant les fonctionnalités. Il permet de décider avec quelles technologies les informations seront affichées, quel langage il faudra utiliser… Son but est avant tout fonctionnel. Un prototype est généralement unique (soit abandonné par la suite, soit fait pour évoluer), contrairement aux wireframes et maquettes qui peuvent être multiples. Pourquoi faire un prototype ? Maintenant que vous connaissez la différence entre toutes ces techniques, il est temps de se pencher sur la question du pourquoi. Pourquoi est-il si important de faire un prototype ? Pourquoi ne pas développer sa plateforme directement sans passer par toutes ces étapes ?   Il est primordial de faire un prototype car celui-ci servira de base à la phase de conception de votre site ou de votre application mobile. Suivant le projet, il sera parfois nécessaire de faire tester l’interface à des utilisateurs réels afin d’être sûr qu’elle est user friendly, c’est à dire qu’elle est compréhensible, agréable et facile d’utilisation pour les utilisateurs. Sachez qu’il est beaucoup plus coûteux, long et frustrant de faire des changements dans le code plutôt que dans la conception. Les avantages du prototype sont multiples : Il favorise la définition du périmètre fonctionnel de votre projet Il permet de présenter aux utilisateurs une vrai interface sur laquelle ils vont pouvoir réagir Il permet de se concentrer sur le fond (contenu, fonctionnalités…) sans être distrait par la forme (couleur, image…) Il facilite l’évolution de l’interface proposée au départ, afin qu’elle corresponde le mieux possible aux attentes et besoins des futurs utilisateurs Il permet de corriger ou valider des choix (techniques, fonctionnels) avant de commencer le développement technique. Les outils de prototypage Il existe plusieurs outils qui permettent de créer différents types de prototypes comme par exemple Balsamiq, Adobe XD, Axure, Wireframe CC, MockingBird, Moqups, UXpin, InVison… Ces logiciels ou plateformes en ligne permettent de créer des prototypes très facilement : certaines se gèrent en cliquer-glisser, d’autres nécessitent quelques connaissances informatiques. La plupart d’entre eux sont gratuits ou proposent une version Freemium, mais si vous souhaitez créer des prototypes avancés, il faudra acheter un logiciel ou souscrire à un abonnement sur l’une de ces plateformes.

La réalité augmentée : qu'est-ce que c'est ?

La réalité augmentée est une technologie permettant de rendre possible l’accumulation en temps réel de nombreux éléments 2D ou 3D dans une image réelle : ce sont donc diverses méthodes qui permettent de répandre de façon concrète des objets virtuels dans une séquence d'images.Leurs champs d’application sont abondants et touchent de plus en plus de domaines, tels que :   Les jeux vidéo Les lieux d’expositions culturels Le cinéma La télévision La publicité Etc.. Les jeux et la réalité augmentée Nous constatons que ces derniers temps les jeux ne cessent de s’accroitre grâce notamment aux nouveautés qui apparaissent chaque jour et qui deviennent de plus en plus réelles. Quelques géants du web et l’industrie de high-tech se lancent donc dans cette nouvelle technologie novatrice. Actuellement le secteur du jeu viédo est celui qui prospère le plus. En ce moment la tendance sur nos smartphones, ce sont des jeux en réalité augmentée comme par exemple le jeu Pokémon go : le principe est très simple, c’est de capturer de nombreux Pokémon pendant que vous explorez les environs, un jeu basé donc sur la géolocalisation. C’est en partie grâce à ce jeu que la réalité augmentée à commencer à être popularisé. Cette nouvelle technologie c’est aussi immiscé dans le milieu sportif tels que :   - Le golf : faire du golf en immersion total grâce à un masque OCULUS RIFT qui vous plonge sur un vrai terrain ( un masque produit par la société OCULUS . ​ - Le fitness : faire du fitness dans l’espace grâce à un casque HTC VIVE  qui vous l’immergera dans un environnement autre que les murs blancs d’une salle de sport. L’entrée de la réalité augmentée se fera de manière régulière et commencera donc à se fondre petit à petit dans notre environnement.   La réalité augmentée au sein du commerce électronique De nombreux acteurs du e-commerce sont de plus en plus nombreux à proposer ce type de service à leurs clients. Elles ajustent de plus en plus les technologies de la RA à ceux des téléphones intelligents, qui sont munis de processus dominants, d’un appareil photo et d’une caméra convenable.Que ce soit dans le secteur de la publicité ou du marketing, la réalité augmentée est novatrice, elle permet  donc de vous démarquer de vos concurrents. Utiliser de nombreuses façons dans le secteur du marketing : la combinaison des éléments publicitaires et de la réalité augmentée a aussi permis de persuader et de vous faire bâtir un nouveau lien avec vos clients car c’est un élément essentiel qui agit sur la prise de décision d’un consommateur durant l’acte d’achat.

Les assistants virtuels

Depuis l’arrivée des smartphones sophistiqués, la création et l’intégration des assistantes virtuelles ne cessent de croitre. Les géants du web, l’ont très bien assimilé et continuent donc sans cesse d'améliorer les performances de leurs assistants personnels. Ces assistants virtuels tels que Cortana de Microsoft, Alexa d’Amazon ou SIRI d’appel ou Google Now de Google vont bien au-delà d’une simple commande vocale. Ils sont alimentés par des données collectées, ce qui leurs permettent de comprendre les intentions et les comportements des internautes pour les aider à passer à l’action. De plus en plus utilisés sur les terminaux mobiles, ils sont devenus primordiaux pour certains nombres d'utilisateurs.   Les 3 assistants virtuels les plus connus > Cortana Cortana, l’assistant virtuel de Microsoft, a fait sa première apparition sur Windows phone 8 et par la suite sur tous les pc sous Windows 10. Cette assistance repose sur le moteur de recherche bing et permet aux utilisateurs de poser des questions, mais aussi d’interagir avec leur appareil en activant la commande vocale pour demander par exemple :    Les prévisions météorologiques  Les adresses de divers lieux  De rédiger un email et de l’envoyer par la suite   Cortana, peut également nous envoyer des notifications en rapport avec les éléments notés dans le calendrier ou dans un email.   > Google Now Google Now est un assistant personnel qui tourne sur les mobiles Android. Cette application fonctionne grâce aux requêtes formulées par l’utilisateur. Grâce à cela nous pouvons connaître  :   La traduction d’un mot Les résultats sportifs Les programmations d’un film en salle de cinéma  Quand l’application n’a aucun résultat à nous communiquer elle ne vous renvoie directement sur les résultats de recherche classiques de Google.   > SIRI L’assistant vocal Siri, a été lancé en octobre 2011 en Anglais mais aussi en Français. En 2012 elle sera aussi proposée en Chinois, Italien et en Espagnol etc. Cette application permet donc à l’utilisateur de réaliser plusieurs requêttes comme par exemple :   Lui dicter un sms à envoyer ou une recherche à faire sur internet avec safari Lui  demander de faire une recherche concernant les restaurants qui sont à proximité Lui demander de lancer un itinéraire pour aller quelque part Qui serait donc le meilleur assistant virtuel ? Une étude a été faite par l’entreprise Experts Exchange ( l’étude entière) pour comparer les trois grands assistants vocaux et découvrir lequel est le plus performant et efficace. Experts Exchange a donc examiné les 3 assistants virtuels sur les différents critères suivants :   Envoi des sms Recherches d’informations Pertinence des réponses fournis aux différentes questions posées Ou encore programmation d’un rendez- vous etc… Et le vainqueur n’est d’autre que :   1. SIRI avec 81% qui remporte donc la 1er place grâce notamment à un taux de mauvaise réponse qui est de 2%. Par ailleurs c’est un assistant très réactif et efficace malgré son ancienneté.   2. Google Now avec 68% est à la 2e place grâce notamment à un taux de mauvaise réponse qui est de 4%. c’est un assistant vocal qui suit siri car il a été sorti en 2012. ​ 3.  Cortana avec 57% est donc à la 3e place grâce à un taux de mauvaise réponse qui est de 8%. De plus étant sorti qu’en 2014, il est toujours en version bêta, ce qui explique donc sa troisième place.

L’intelligence artificielle

L'intelligence artificielle de son acronyme (IA) est un ensemble de théories et de techniques mises en œuvre pour des machines et des logiciels. Pour qu’ils soient capables de simuler une intelligence humaine comme la compréhension, le raisonnement et le dialogue.    Les recherches et développements de l’IA commencent à être de plus en plus importants et les champs d’action ne cessent de s’étendre. Cette croissance est donc due par l'engouement de plusieurs acteurs qui sont : les grandes compagnies technologiques et les laboratoires de recherche etc. En effet, ces acteurs se penchent sur la question de l’intelligence artificielle afin de donner des débouchés à cette technologie qui pourrait être accessible au grand public.   L’intégration de l’intelligence artificielle sur les terminaux mobiles Il existe donc de nombreux termes renvoyant directement à l’intelligence artificielle notamment comme le Deep Learning, Machine learning (ou apprentissage automatique), l’Information Cognitive ou la vision par Ordinateur etc. Les logiciels innovants qui équipent ses nombreux terminaux mobiles (smartphones et tablettes, ordinateur) ont une notoriété grandissante. Qu'ils sont fondés sur une intelligence artificielle très performante. Par ailleurs ils auront donc un très fort impact sur les priorités des utilisateurs en ce qui concerne la consommation d’information. L'IA a déjà bien envahi notre quotidien. Elle se trouve totalement enracinée dans notre mode de vie. Par exemple aujourd’hui, sans le savoir nous utilisons notre mobile en faisant appel à l’intelligence artificielle notamment avec Google now, l’assistant virtuel SIRI ou Cortana. Concernant les nouvelles innovations liées à IA et destinées aux terminaux mobiles ; la concurrence est de plus en plus rude entre les géants du mobile comme Google, Microsoft, Apple et ainsi que les entreprises de commerce électronique comme Amazon. Qu’en pense le grand public au niveau Européen de l’intelligence artificielle ? Une Etude faite par Rocket Fuel (société de technologie) a donc étudié comment le grand public au niveau Européen percevait l’intelligence artificielle ?  Voici quelques opinions  :   47 % n’ont pas d’avis envers l’IA   43 % ont une très bonne opinion de l’IA   10 %  ont une mauvaise opinion de l'IA     Cette étude montre aussi que la France à 58 % est l’un des trois pays ou les populations à un très fort engouement concernant l’intelligence artificielle suivi de l’Espace à 65% et le Royaume-Unis à 69%. Ces trois pays éloquent que l’IA fait déjà partie de leur vie de tous les jours.

L'ascension des objets connectés

Un objet connecté ou l’internet des objets est un appareil dont l’usage est d’établir une connexion à un réseau large par le biais d’un intermédiaire (terminaux mobiles) grâce notamment à la WI-FI, au Bluetooth ou à des protocoles de communication. Son but est de faire passer de nombreuses informations diverses à tous autres objets connectés. Leur apparition a permis d’envahir de nombreux secteurs. L’internet des objets est envisagé comme la troisième évolution de l'internet, nommé le web 3.0. "En 2016, 5,5 millions d'objets sont connectés chaque jour dans le monde. Un nombre qui pourrait rapidement dépasser la barre des milliards, d'ici 2020. Car selon Gartner (entreprise américaine de conseil et de recherche dans le domaine des techniques avancées) prévoit en effet que 26 milliards d'objets seront installées en 2020"   Les opportunités   L’explosion du nombre d’acquéreurs de smartphones ainsi que du nombre de connexions ont créé sur le marché de nouvelles opportunités quasiment infinies. Ces innovations qui ne font que se développer et s’accélérer, permettent aux nombreuses entreprises de passées du coté connecté de la force. Mais aussi de faire découvrir de jeunes startups qui ont soif d’innovations et désireuses de nous faire entrer dans le futur. L’amélioration du réseau internet grâce à la 4G et au réseau sans fil a donc permis de rendre de plus en plus performant ces objets connectés.   Les objets connectés: influencés par de nombreux terminaux mobiles La croissance de l’internet des objets s’explique par l’avènement des terminaux mobiles. Tous ces appareils servent donc de tour de contrôle, car ils interviennent en quelque sorte comme des télécommandes qui permettent d’agir sur les objets connectés. Grâce à ses terminaux ; l'internet des objets est en partie responsable du développement des technologies générés sur le réseau, pour tirer pleinement partie des données collectées.   Les secteurs touchés par l’internet des objets L’internet des objets pourrait représenter une nouvelle aubaine pour les professionnels. Chaque secteur teste donc l’intérêt d'inclure ces appareils car le but final est de mieux comprendre et connaitre les demandes des consommateurs mais aussi d'économiser ses propres ressources. Certains secteurs ont déjà entrepris quelques transformations, en incluant à petites doses divers objets connectés. Voici les principaux secteurs qui sont concernés :    la santé et le bien-être   la domotique (maison intelligente)   le sport   l’automobile 

Le paiement mobile

Les terminaux mobiles, nous offrent de nombreuses occasions de faire de plus en plus de choses au fil du temps. Grâce aux apparitions de nouvelles fonctionnalités et de nouvelles applications mobiles toutes plus pratiques les unes que les autres. Le paiement mobile est une transaction qui peut être réalisée depuis un smartphone à n’importe quel endroit à condition d’avoir un accès à internet. Il existe de nos jours de nombreuses possibilités de paiement mobile :   Le paiement en ligne qui se fait au travers à des sites internet Le paiement sans contact au travers des applications qui lui sont dédiés Le paiement de transferts d’argent de mobile à mobile   Le fait de pouvoir utiliser le smartphone durant ces achats sans avoir recours à de l’argent liquide est l’un des avantages de cette technique révolutionnaire.   Le paiement mobile en quelques chiffres " En 2015 le mobile a représenté 27,2% du total des paiements en ligne" et selon les résultats publiés par ADYEN  (Spécialiste des solutions de paiement cross canal), la part des paiements sur mobile est en forte croissance :   En Amérique, elle a représenté une part de 26,7% des paiements en ligne En Europe, elle a représenté 28,6 % des paiements en ligne En France, la part de paiement mobile avait atteint 22,9%   Concernant les différents terminaux : le poids en 2014 des paiements mobiles sur les smartphones avait atteint les 10,9%. Son poids à nettement évoluer durant l'année et en 2015, elle a atteint les 16 %.    Les avantages et inconvénients du paiement mobile 1- Les avantages   La méthode est simple d’utilisation, efficace et très rapide L’utilisation du paiement mobile se fait à n’importe quel endroit et avec d’une multitude de cartes En cas de vol, il suffit juste que votre opérateur bloque le téléphone ​ 2- Les inconvénients   Si la batterie du smartphone est faible, bien évidement le paiement mobile ne sera plus fonctionnel Le temps d’attente peut être trop élevé lors de l’envoi du paiement au marchand Le plus frustrant pour l’acheteur serai l’échec total de l’envoi du paiement    Pratique, souple et sécurisé  tout le monde semble s’y être mis en France comme à l’étranger, ces moyens de paiement font donc l’objet de nombreuses expérimentations par le biais de divers acteurs qui sont : les entreprises, les opérateurs mobiles ainsi que les banques. Les géants de la téléphonie mobile tels que Google et Samsung ont rejoint Apple sur le marché du paiement mobile au travers de la création de nombreuses applications tels que : Apple pay, Android pay, Samsung pay.   Vous l’aurez bien compris, le paiement mobile est moyen simple et efficace qui pourrait bientôt changer votre perception de l’achat de biens personnels. C'est une technologie qui continuera sans cesse d’évoluer pour satisfaire les besoins de la clientèle. Dans les prochaines années elle ne tardera donc pas à se répandre un peu partout dans monde.

Icone Boutton scroll top