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Les assistants virtuels

Depuis l’arrivée des smartphones sophistiqués, la création et l’intégration des assistantes virtuelles ne cessent de croitre. Les géants du web, l’ont très bien assimilé et continuent donc sans cesse d'améliorer les performances de leurs assistants personnels. Ces assistants virtuels tels que Cortana de Microsoft, Alexa d’Amazon ou SIRI d’appel ou Google Now de Google vont bien au-delà d’une simple commande vocale. Ils sont alimentés par des données collectées, ce qui leurs permettent de comprendre les intentions et les comportements des internautes pour les aider à passer à l’action. De plus en plus utilisés sur les terminaux mobiles, ils sont devenus primordiaux pour certains nombres d'utilisateurs.   Les 3 assistants virtuels les plus connus > Cortana Cortana, l’assistant virtuel de Microsoft, a fait sa première apparition sur Windows phone 8 et par la suite sur tous les pc sous Windows 10. Cette assistance repose sur le moteur de recherche bing et permet aux utilisateurs de poser des questions, mais aussi d’interagir avec leur appareil en activant la commande vocale pour demander par exemple :    Les prévisions météorologiques  Les adresses de divers lieux  De rédiger un email et de l’envoyer par la suite   Cortana, peut également nous envoyer des notifications en rapport avec les éléments notés dans le calendrier ou dans un email.   > Google Now Google Now est un assistant personnel qui tourne sur les mobiles Android. Cette application fonctionne grâce aux requêtes formulées par l’utilisateur. Grâce à cela nous pouvons connaître  :   La traduction d’un mot Les résultats sportifs Les programmations d’un film en salle de cinéma  Quand l’application n’a aucun résultat à nous communiquer elle ne vous renvoie directement sur les résultats de recherche classiques de Google.   > SIRI L’assistant vocal Siri, a été lancé en octobre 2011 en Anglais mais aussi en Français. En 2012 elle sera aussi proposée en Chinois, Italien et en Espagnol etc. Cette application permet donc à l’utilisateur de réaliser plusieurs requêttes comme par exemple :   Lui dicter un sms à envoyer ou une recherche à faire sur internet avec safari Lui  demander de faire une recherche concernant les restaurants qui sont à proximité Lui demander de lancer un itinéraire pour aller quelque part Qui serait donc le meilleur assistant virtuel ? Une étude a été faite par l’entreprise Experts Exchange ( l’étude entière) pour comparer les trois grands assistants vocaux et découvrir lequel est le plus performant et efficace. Experts Exchange a donc examiné les 3 assistants virtuels sur les différents critères suivants :   Envoi des sms Recherches d’informations Pertinence des réponses fournis aux différentes questions posées Ou encore programmation d’un rendez- vous etc… Et le vainqueur n’est d’autre que :   1. SIRI avec 81% qui remporte donc la 1er place grâce notamment à un taux de mauvaise réponse qui est de 2%. Par ailleurs c’est un assistant très réactif et efficace malgré son ancienneté.   2. Google Now avec 68% est à la 2e place grâce notamment à un taux de mauvaise réponse qui est de 4%. c’est un assistant vocal qui suit siri car il a été sorti en 2012. ​ 3.  Cortana avec 57% est donc à la 3e place grâce à un taux de mauvaise réponse qui est de 8%. De plus étant sorti qu’en 2014, il est toujours en version bêta, ce qui explique donc sa troisième place.

L’intelligence artificielle

L'intelligence artificielle de son acronyme (IA) est un ensemble de théories et de techniques mises en œuvre pour des machines et des logiciels. Pour qu’ils soient capables de simuler une intelligence humaine comme la compréhension, le raisonnement et le dialogue.    Les recherches et développements de l’IA commencent à être de plus en plus importants et les champs d’action ne cessent de s’étendre. Cette croissance est donc due par l'engouement de plusieurs acteurs qui sont : les grandes compagnies technologiques et les laboratoires de recherche etc. En effet, ces acteurs se penchent sur la question de l’intelligence artificielle afin de donner des débouchés à cette technologie qui pourrait être accessible au grand public.   L’intégration de l’intelligence artificielle sur les terminaux mobiles Il existe donc de nombreux termes renvoyant directement à l’intelligence artificielle notamment comme le Deep Learning, Machine learning (ou apprentissage automatique), l’Information Cognitive ou la vision par Ordinateur etc. Les logiciels innovants qui équipent ses nombreux terminaux mobiles (smartphones et tablettes, ordinateur) ont une notoriété grandissante. Qu'ils sont fondés sur une intelligence artificielle très performante. Par ailleurs ils auront donc un très fort impact sur les priorités des utilisateurs en ce qui concerne la consommation d’information. L'IA a déjà bien envahi notre quotidien. Elle se trouve totalement enracinée dans notre mode de vie. Par exemple aujourd’hui, sans le savoir nous utilisons notre mobile en faisant appel à l’intelligence artificielle notamment avec Google now, l’assistant virtuel SIRI ou Cortana. Concernant les nouvelles innovations liées à IA et destinées aux terminaux mobiles ; la concurrence est de plus en plus rude entre les géants du mobile comme Google, Microsoft, Apple et ainsi que les entreprises de commerce électronique comme Amazon. Qu’en pense le grand public au niveau Européen de l’intelligence artificielle ? Une Etude faite par Rocket Fuel (société de technologie) a donc étudié comment le grand public au niveau Européen percevait l’intelligence artificielle ?  Voici quelques opinions  :   47 % n’ont pas d’avis envers l’IA   43 % ont une très bonne opinion de l’IA   10 %  ont une mauvaise opinion de l'IA     Cette étude montre aussi que la France à 58 % est l’un des trois pays ou les populations à un très fort engouement concernant l’intelligence artificielle suivi de l’Espace à 65% et le Royaume-Unis à 69%. Ces trois pays éloquent que l’IA fait déjà partie de leur vie de tous les jours.

L'ascension des objets connectés

Un objet connecté ou l’internet des objets est un appareil dont l’usage est d’établir une connexion à un réseau large par le biais d’un intermédiaire (terminaux mobiles) grâce notamment à la WI-FI, au Bluetooth ou à des protocoles de communication. Son but est de faire passer de nombreuses informations diverses à tous autres objets connectés. Leur apparition a permis d’envahir de nombreux secteurs. L’internet des objets est envisagé comme la troisième évolution de l'internet, nommé le web 3.0. "En 2016, 5,5 millions d'objets sont connectés chaque jour dans le monde. Un nombre qui pourrait rapidement dépasser la barre des milliards, d'ici 2020. Car selon Gartner (entreprise américaine de conseil et de recherche dans le domaine des techniques avancées) prévoit en effet que 26 milliards d'objets seront installées en 2020"   Les opportunités   L’explosion du nombre d’acquéreurs de smartphones ainsi que du nombre de connexions ont créé sur le marché de nouvelles opportunités quasiment infinies. Ces innovations qui ne font que se développer et s’accélérer, permettent aux nombreuses entreprises de passées du coté connecté de la force. Mais aussi de faire découvrir de jeunes startups qui ont soif d’innovations et désireuses de nous faire entrer dans le futur. L’amélioration du réseau internet grâce à la 4G et au réseau sans fil a donc permis de rendre de plus en plus performant ces objets connectés.   Les objets connectés: influencés par de nombreux terminaux mobiles La croissance de l’internet des objets s’explique par l’avènement des terminaux mobiles. Tous ces appareils servent donc de tour de contrôle, car ils interviennent en quelque sorte comme des télécommandes qui permettent d’agir sur les objets connectés. Grâce à ses terminaux ; l'internet des objets est en partie responsable du développement des technologies générés sur le réseau, pour tirer pleinement partie des données collectées.   Les secteurs touchés par l’internet des objets L’internet des objets pourrait représenter une nouvelle aubaine pour les professionnels. Chaque secteur teste donc l’intérêt d'inclure ces appareils car le but final est de mieux comprendre et connaitre les demandes des consommateurs mais aussi d'économiser ses propres ressources. Certains secteurs ont déjà entrepris quelques transformations, en incluant à petites doses divers objets connectés. Voici les principaux secteurs qui sont concernés :    la santé et le bien-être   la domotique (maison intelligente)   le sport   l’automobile 

Les nouveaux boutons j’aime de Facebook

La nouveauté Le 24 février, Facebook a lancé une alternative au bouton « j’aime ». C’est une nouvelle fonctionnalité qui permet de partager ses humeurs en ayant plusieurs choix de réaction comme les boutons :    « haha » icône souriant ​ « j’adore » icône représenté par un cœur  « wouah » icône interloqué  « triste » icône triste ​«  grrr » icône en colère   Ces différentes humeurs listées en haut sont donc le fruit d’une étude ayant comme seul but de connaitre les icones les plus appréciées et les plus utilisées par les internautes.   Les fameux émoticônes   Les icônes d’humeurs ne sont pas une nouveauté sur Facebook, il existe déjà une liste d’icônes qui représentaient leur état d’esprit qui permettait donc aux internautes d'égailler leurs commentaires postés sur leurs propres murs comme :    Je me sens : heureux, terriblement mal, bizarre, libre etc ... ​ En train de boire : un apéro, une bière, un café etc…  ​En train d’écouter : YouTube, Deezer etc…   Son fonctionnement   Pour chaque publication postée sur un mur, les membres peuvent maintenant utiliser les icônes d’humeurs qui reflètent donc leurs véritables pensées en complément du fameux bouton « like ». C’est très simple d’utilisation : les internautes n’ont juste qu'à passer leurs souris sur les boutons j’aime qui sont représentés par un pouce, pour pouvoir découvrir les nouveaux icônes. Le bouton « like » et les icônes d’humeurs représentent donc le nombre total de la mention j’aime de chaque publication publiée un mur. Les icônes d’humeurs sur la version mobile ont déjà été mises en place. 

Google lance son prototype Accelerated Mobile Pages

Le mobile s'impose devant tous les autres supports comme l’un des principaux supports de diffusion des médias. Les internautes se connectent de plus en plus sur des sites web depuis leur mobile. Le mobile a maintenant pris le pas sur les traditionnels PC fixe ou portable lors de la consultation des pages web.   Projet AMP Mercredi 17 février à Paris, le patron de Google Sundar Pichai a annoncé le lancement d’une nouvelle technologie  pour les articles sur téléphone mobile : AMP ( Accelerated Mobiles pages). Cette nouvelle technologie va permettre un affichage très rapide environ 4 fois plus vite que le temps de chargement habituel. Tous les articles au format AMP seront ainsi bien mis en avant, ce qui ne va pas déplaire aux éditeurs qui souhaiteront adopter ce format. Cela représentera un réel avantage pour eux.  Google a donc lancé ce projet avec de nombreux partenaires éditeurs dans 6 pays européens en tout :    France Allemagne Espagne Royaume-Uni Italie Russie   Dans le monde, environ 350 groupes médias se sont laissés tenter par cette version AMP. Par ailleurs en France, nous avons donc 13 medias comme : TF1, les Échos, Ouest France, 20minutes parmi les 50 plus gros sites éligibles qui ont déjà franchi le pas. Malheureusement d’autres medias n’ont pas encore passé le cap.  Étant donné que Google reste pour la plupart des médias le principal apporteur de trafic, cette nouvelle technique est donc une opportunité de voir ses différents contenus boostés sur le mobile. Maintenant ce type de pictogramme   (éclair blanc dans un rond vert)  sera disponible lorsqu’un contenu sera au format AMP.  

Le smartphone invite l'industrie à l'innovation technologique

Chers passionnés de mobile, La nouvelle de la semaine en ce début de mois d'Avril 2014, c'est la présentation par StoreDot, start-up israélienne, de son innovation dans le domaine de la recharge de batterie pour smartphone. Pour ne pas faire que recopier l'info, voici l'article en français qui présente succinctement le produit. Le concept de ce chargeur est de recharger une batterie de smartphone, Samsung uniquement à date, en l'espace de 30 secondes, chronomètre en main. La technologie utilisée est un composite de nanotechnologie issue de matériaux bio organiques. Sans aller plus loin dans des explications scientifiques que nous ne maîtrisons pas, essayons de déterminer ce que cela ouvre comme possibilités. En premier lieu, il existe des téléphones portables capables de rester des journées entières sans besoin d'être rechargés. Il s'agit de la génération mobile précédant les smartphones. Ce qu'apportent de plus les smartphones, ce sont les applications : écouter de la musique, jouer, prendre des photos, filmer, naviguer sur internet, communiquer instantanément, le GPS... Tant de produits sont devenus obsolètes à cause de l'innovation qu'a été le smartphone : lecteurs mp3, GPS... Les smartphones, pour assurer tous ces services sur un unique support, sont donc gourmand en énergie. C'est là qu'intervient la batterie et surtout son besoin d'être rechargée tous les jours ou bien de pouvoir tenir plus longtemps. Ce qui à date n'est pas encore d'actualité. Ce qui pose par ailleurs une limite : quelle sera la prochaine étape ? L'humanité a fait rentrer ce dernier siècle dans l'ère du numérique: télévision, ordinateur, téléphone, smartphone, tablette. Et ensuite ? Nous entendons parler des montres connectées, des lunettes connectées. Mais connectées à qui ? à quoi ? Est-ce que c'est le smartphone qui sera la télécommande de ce monde connecté ? Nous pensons aussi à la domotique, et à l'automobile. Pourquoi ne pas conduire son véhicule depuis son smartphone, telle une manette de jeu vidéo ? Ce monde connecté qui semble se préparer devra être constamment branché pour communiquer les uns avec les autres. Donc très consommateur d'énergie. Nous sommes à un croisement où énergie et écologie ne doivent pas s'entrechoquer mais travailler ensemble. Et c'est pourquoi cette trouvaille israélienne, à prendre ou non au sérieux, nous semble comme une pépite et nous laisse songeuse et rêveuse. Imaginer un monde connecté va encore transformer le marketing dans une nouvelle ère. Ce ne sera plus du e-marketing ni du m-marketing... Cependant ce n'est pas encore d'actualité car la firme israélienne doit régler des problématiques de compatibilité constructeurs ainsi que de taille de son chargeur. Mais gageons que cette innovation va en appeler d'autres pour ce défi écologique, énergétique, industriel et économique...

Le magasin, le iBeacon et l'opérateur virtuel

Au cours du dernier trimestre 2013, le iBeacon a gagné en popularité. C'est le Paypal Beacon qui a mis en avant cette fonctionnalité. Apple... Paypal... deux poids lourds pour une même technologie. Dans quel cadre s'applique cette technologie ? Pour quels usages ? Et à quel fin ? Le iBeacon permet de recevoir sur son terminal mobile des informations push en boutique. Pour cela, le bluetooth doit être activé, l'utilisateur doit autoriser l'application Ibeacon à communiquer et des bornes doivent êtres installées dans la boutique. Information importante, la communication entre la borne et le smartphone peut s'établir sur plusieurs dizaine de mètres. L'objectif est d'offrir au client une expérience de shopping personnalisé puisque le iBeacon peut lier les préférences du client à des offres promotionnels, des conseils, des informations complémentaires... C'est le marketing mobile géolocalisé in-store pour améliorer le taux d'engagement des clients. A une époque, on regardait les produits sur internet pour ensuite aller les acheter en boutique. Puis on a regardé les produits en boutique et cherché les prix les moins chers en ligne: chez Amazon, chez les e-commerçants... De nos jours les e-commerçants fidélisent leur clientèle et gomment les avantages du magasin physique, à leur détriment. Et pourtant depuis de nombreuses années, il existe des technologies dont nous connaissons tous les noms mais qui ne parviennent pas à atteindre les promesses tant attendues: bluetooth, QR code, NFC... Si maintenant Apple concurrence avec le iBeacon la NFC, cela va faire accélérer les choses. Car si le iBeacon est propre à Apple, la technologie (le BLE) peut être exploitée par les autres systèmes (Android...). Et ce qui apporte un coup d'accélérateur, c'est la fonctionnalité que propose Paypal : payer en magasin sans aucun contact. Via Paypal Beacon, le client enregistre dans ses préférences les marques avec lesquelles il souhaite interagir. Si elles disposent d'une borne bluetooth, alors le smartphone du client interagit et le paiement est effectué. Avec le bluetooth, nul besoin de réseau mobile ou internet. C'est le paiement mobile dématérialisé, plus rapide qu'un paiement en ligne. En magasin, l'avenir est à la livraison d'informations pertinentes pour accélérer la prise de décision d'achat et à la simplification du moyen de paiements. Avec l'arrivée des acteurs virtuels qui investissent le physique. Pour le marketing mobile, ce sont des usages prometteurs.

La 4G en plein décollage

En 2012, la stratégie 4G était en préparation. En 2013, ça a été l'ébullition, avec pour point d'orgue la fin de l'année et la bataille entre les opérateurs sur le plan de la communication et sur le terrain. Pourquoi 2013 fut l'année du décollage de la 4G et quelles en sont les promesses ?   Fin 2011, l'ARCEP, l'Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes, a attribué les licences 4G LTE aux opérateurs, sous formes d'enchères. Deux bandes fréquences de 800 MHz et 2600 MHz étaient à répartir, pour une somme de plus de 3,5 milliards d'euro, avec comme résultat : 30% pour Orange, 25% pour SFR, 25% pour Bouygues et 20% pour Free. A côté de celà, Bouygues a demandé et obtenu en Avril 2013 l'autorisation de déployer la 4G sur ses fréquences de 1800 Mhz.   Pour que la 4G soit utilisée, le terminal mobile que les clients possèdent doit être compatible. La majorité des constructeurs proposent déjà cette compatibilité, sauf l'iphone 4. Quant on sait qu'Apple est un fer de lance dans les usages connectés, c'est une ombre au tableau qui s'est dévoilée avec la sortie de l'iphone 5.   Sur le plan technique, la 4G apporte un débit théorique entre 100 à 150Mb/s, largement au niveau de l'ADSL, et dix fois plus rapide que la 3G existante (hors H+ appelé aussi 3,75G).   Du coté des infrastructures et d'après le site www.quialameilleure4g.com/decouvrez4G , Bouygues et Orange disposent à date de la plus forte couverture tandis que SFR et Free accusent du retard.   Les autorisations sont accordées, les terminaux mobiles sont compatibles et les infrastructures se mettent en place, toutes les conditions sont réunies pour apporter une expérience utilisateur enrichissante.   En effet, certains usages mobiles tels que la consultation de mails, la navigation sur l'internet mobile, le partage sur les réseaux sociaux et les streaming audio/vidéo (autorisés) se normalisent tandis que d'autres restent à mettre en place ou à inventer.   Le marché s'adapte à cette normalisation et les entreprises investissent dans le mobile, sous peine de passer à côté d'un canal adopté par leurs clients. Le développement d'un site web adapté au mobile ou bien mener des actions de marketing mobile deviennent des prérequis.   Quand aux usages à inventer, cela participe sans soute aux conditions de la future émergence des objets connectés.

Les assistants virtuels

Depuis l’arrivée des smartphones sophistiqués, la création et l’intégration des assistantes virtuelles ne cessent de croitre. Les géants du web, l’ont très bien assimilé et continuent donc sans cesse d'améliorer les performances de leurs assistants personnels. Ces assistants virtuels tels que Cortana de Microsoft, Alexa d’Amazon ou SIRI d’appel ou Google Now de Google vont bien au-delà d’une simple commande vocale. Ils sont alimentés par des données collectées, ce qui leurs permettent de comprendre les intentions et les comportements des internautes pour les aider à passer à l’action. De plus en plus utilisés sur les terminaux mobiles, ils sont devenus primordiaux pour certains nombres d'utilisateurs.   Les 3 assistants virtuels les plus connus > Cortana Cortana, l’assistant virtuel de Microsoft, a fait sa première apparition sur Windows phone 8 et par la suite sur tous les pc sous Windows 10. Cette assistance repose sur le moteur de recherche bing et permet aux utilisateurs de poser des questions, mais aussi d’interagir avec leur appareil en activant la commande vocale pour demander par exemple :    Les prévisions météorologiques  Les adresses de divers lieux  De rédiger un email et de l’envoyer par la suite   Cortana, peut également nous envoyer des notifications en rapport avec les éléments notés dans le calendrier ou dans un email.   > Google Now Google Now est un assistant personnel qui tourne sur les mobiles Android. Cette application fonctionne grâce aux requêtes formulées par l’utilisateur. Grâce à cela nous pouvons connaître  :   La traduction d’un mot Les résultats sportifs Les programmations d’un film en salle de cinéma  Quand l’application n’a aucun résultat à nous communiquer elle ne vous renvoie directement sur les résultats de recherche classiques de Google.   > SIRI L’assistant vocal Siri, a été lancé en octobre 2011 en Anglais mais aussi en Français. En 2012 elle sera aussi proposée en Chinois, Italien et en Espagnol etc. Cette application permet donc à l’utilisateur de réaliser plusieurs requêttes comme par exemple :   Lui dicter un sms à envoyer ou une recherche à faire sur internet avec safari Lui  demander de faire une recherche concernant les restaurants qui sont à proximité Lui demander de lancer un itinéraire pour aller quelque part Qui serait donc le meilleur assistant virtuel ? Une étude a été faite par l’entreprise Experts Exchange ( l’étude entière) pour comparer les trois grands assistants vocaux et découvrir lequel est le plus performant et efficace. Experts Exchange a donc examiné les 3 assistants virtuels sur les différents critères suivants :   Envoi des sms Recherches d’informations Pertinence des réponses fournis aux différentes questions posées Ou encore programmation d’un rendez- vous etc… Et le vainqueur n’est d’autre que :   1. SIRI avec 81% qui remporte donc la 1er place grâce notamment à un taux de mauvaise réponse qui est de 2%. Par ailleurs c’est un assistant très réactif et efficace malgré son ancienneté.   2. Google Now avec 68% est à la 2e place grâce notamment à un taux de mauvaise réponse qui est de 4%. c’est un assistant vocal qui suit siri car il a été sorti en 2012. ​ 3.  Cortana avec 57% est donc à la 3e place grâce à un taux de mauvaise réponse qui est de 8%. De plus étant sorti qu’en 2014, il est toujours en version bêta, ce qui explique donc sa troisième place.

01 Juillet 2016

L’intelligence artificielle

L'intelligence artificielle de son acronyme (IA) est un ensemble de théories et de techniques mises en œuvre pour des machines et des logiciels. Pour qu’ils soient capables de simuler une intelligence humaine comme la compréhension, le raisonnement et le dialogue.    Les recherches et développements de l’IA commencent à être de plus en plus importants et les champs d’action ne cessent de s’étendre. Cette croissance est donc due par l'engouement de plusieurs acteurs qui sont : les grandes compagnies technologiques et les laboratoires de recherche etc. En effet, ces acteurs se penchent sur la question de l’intelligence artificielle afin de donner des débouchés à cette technologie qui pourrait être accessible au grand public.   L’intégration de l’intelligence artificielle sur les terminaux mobiles Il existe donc de nombreux termes renvoyant directement à l’intelligence artificielle notamment comme le Deep Learning, Machine learning (ou apprentissage automatique), l’Information Cognitive ou la vision par Ordinateur etc. Les logiciels innovants qui équipent ses nombreux terminaux mobiles (smartphones et tablettes, ordinateur) ont une notoriété grandissante. Qu'ils sont fondés sur une intelligence artificielle très performante. Par ailleurs ils auront donc un très fort impact sur les priorités des utilisateurs en ce qui concerne la consommation d’information. L'IA a déjà bien envahi notre quotidien. Elle se trouve totalement enracinée dans notre mode de vie. Par exemple aujourd’hui, sans le savoir nous utilisons notre mobile en faisant appel à l’intelligence artificielle notamment avec Google now, l’assistant virtuel SIRI ou Cortana. Concernant les nouvelles innovations liées à IA et destinées aux terminaux mobiles ; la concurrence est de plus en plus rude entre les géants du mobile comme Google, Microsoft, Apple et ainsi que les entreprises de commerce électronique comme Amazon. Qu’en pense le grand public au niveau Européen de l’intelligence artificielle ? Une Etude faite par Rocket Fuel (société de technologie) a donc étudié comment le grand public au niveau Européen percevait l’intelligence artificielle ?  Voici quelques opinions  :   47 % n’ont pas d’avis envers l’IA   43 % ont une très bonne opinion de l’IA   10 %  ont une mauvaise opinion de l'IA     Cette étude montre aussi que la France à 58 % est l’un des trois pays ou les populations à un très fort engouement concernant l’intelligence artificielle suivi de l’Espace à 65% et le Royaume-Unis à 69%. Ces trois pays éloquent que l’IA fait déjà partie de leur vie de tous les jours.

17 Juin 2016

L'ascension des objets connectés

Un objet connecté ou l’internet des objets est un appareil dont l’usage est d’établir une connexion à un réseau large par le biais d’un intermédiaire (terminaux mobiles) grâce notamment à la WI-FI, au Bluetooth ou à des protocoles de communication. Son but est de faire passer de nombreuses informations diverses à tous autres objets connectés. Leur apparition a permis d’envahir de nombreux secteurs. L’internet des objets est envisagé comme la troisième évolution de l'internet, nommé le web 3.0. "En 2016, 5,5 millions d'objets sont connectés chaque jour dans le monde. Un nombre qui pourrait rapidement dépasser la barre des milliards, d'ici 2020. Car selon Gartner (entreprise américaine de conseil et de recherche dans le domaine des techniques avancées) prévoit en effet que 26 milliards d'objets seront installées en 2020"   Les opportunités   L’explosion du nombre d’acquéreurs de smartphones ainsi que du nombre de connexions ont créé sur le marché de nouvelles opportunités quasiment infinies. Ces innovations qui ne font que se développer et s’accélérer, permettent aux nombreuses entreprises de passées du coté connecté de la force. Mais aussi de faire découvrir de jeunes startups qui ont soif d’innovations et désireuses de nous faire entrer dans le futur. L’amélioration du réseau internet grâce à la 4G et au réseau sans fil a donc permis de rendre de plus en plus performant ces objets connectés.   Les objets connectés: influencés par de nombreux terminaux mobiles La croissance de l’internet des objets s’explique par l’avènement des terminaux mobiles. Tous ces appareils servent donc de tour de contrôle, car ils interviennent en quelque sorte comme des télécommandes qui permettent d’agir sur les objets connectés. Grâce à ses terminaux ; l'internet des objets est en partie responsable du développement des technologies générés sur le réseau, pour tirer pleinement partie des données collectées.   Les secteurs touchés par l’internet des objets L’internet des objets pourrait représenter une nouvelle aubaine pour les professionnels. Chaque secteur teste donc l’intérêt d'inclure ces appareils car le but final est de mieux comprendre et connaitre les demandes des consommateurs mais aussi d'économiser ses propres ressources. Certains secteurs ont déjà entrepris quelques transformations, en incluant à petites doses divers objets connectés. Voici les principaux secteurs qui sont concernés :    la santé et le bien-être   la domotique (maison intelligente)   le sport   l’automobile 

09 Juin 2016

Les nouveaux boutons j’aime de Facebook

La nouveauté Le 24 février, Facebook a lancé une alternative au bouton « j’aime ». C’est une nouvelle fonctionnalité qui permet de partager ses humeurs en ayant plusieurs choix de réaction comme les boutons :    « haha » icône souriant ​ « j’adore » icône représenté par un cœur  « wouah » icône interloqué  « triste » icône triste ​«  grrr » icône en colère   Ces différentes humeurs listées en haut sont donc le fruit d’une étude ayant comme seul but de connaitre les icones les plus appréciées et les plus utilisées par les internautes.   Les fameux émoticônes   Les icônes d’humeurs ne sont pas une nouveauté sur Facebook, il existe déjà une liste d’icônes qui représentaient leur état d’esprit qui permettait donc aux internautes d'égailler leurs commentaires postés sur leurs propres murs comme :    Je me sens : heureux, terriblement mal, bizarre, libre etc ... ​ En train de boire : un apéro, une bière, un café etc…  ​En train d’écouter : YouTube, Deezer etc…   Son fonctionnement   Pour chaque publication postée sur un mur, les membres peuvent maintenant utiliser les icônes d’humeurs qui reflètent donc leurs véritables pensées en complément du fameux bouton « like ». C’est très simple d’utilisation : les internautes n’ont juste qu'à passer leurs souris sur les boutons j’aime qui sont représentés par un pouce, pour pouvoir découvrir les nouveaux icônes. Le bouton « like » et les icônes d’humeurs représentent donc le nombre total de la mention j’aime de chaque publication publiée un mur. Les icônes d’humeurs sur la version mobile ont déjà été mises en place. 

09 Mars 2016

Google lance son prototype Accelerated Mobile Pages

Le mobile s'impose devant tous les autres supports comme l’un des principaux supports de diffusion des médias. Les internautes se connectent de plus en plus sur des sites web depuis leur mobile. Le mobile a maintenant pris le pas sur les traditionnels PC fixe ou portable lors de la consultation des pages web.   Projet AMP Mercredi 17 février à Paris, le patron de Google Sundar Pichai a annoncé le lancement d’une nouvelle technologie  pour les articles sur téléphone mobile : AMP ( Accelerated Mobiles pages). Cette nouvelle technologie va permettre un affichage très rapide environ 4 fois plus vite que le temps de chargement habituel. Tous les articles au format AMP seront ainsi bien mis en avant, ce qui ne va pas déplaire aux éditeurs qui souhaiteront adopter ce format. Cela représentera un réel avantage pour eux.  Google a donc lancé ce projet avec de nombreux partenaires éditeurs dans 6 pays européens en tout :    France Allemagne Espagne Royaume-Uni Italie Russie   Dans le monde, environ 350 groupes médias se sont laissés tenter par cette version AMP. Par ailleurs en France, nous avons donc 13 medias comme : TF1, les Échos, Ouest France, 20minutes parmi les 50 plus gros sites éligibles qui ont déjà franchi le pas. Malheureusement d’autres medias n’ont pas encore passé le cap.  Étant donné que Google reste pour la plupart des médias le principal apporteur de trafic, cette nouvelle technique est donc une opportunité de voir ses différents contenus boostés sur le mobile. Maintenant ce type de pictogramme   (éclair blanc dans un rond vert)  sera disponible lorsqu’un contenu sera au format AMP.  

01 Mars 2016

Le smartphone invite l'industrie à l'innovation technologique

Chers passionnés de mobile, La nouvelle de la semaine en ce début de mois d'Avril 2014, c'est la présentation par StoreDot, start-up israélienne, de son innovation dans le domaine de la recharge de batterie pour smartphone. Pour ne pas faire que recopier l'info, voici l'article en français qui présente succinctement le produit. Le concept de ce chargeur est de recharger une batterie de smartphone, Samsung uniquement à date, en l'espace de 30 secondes, chronomètre en main. La technologie utilisée est un composite de nanotechnologie issue de matériaux bio organiques. Sans aller plus loin dans des explications scientifiques que nous ne maîtrisons pas, essayons de déterminer ce que cela ouvre comme possibilités. En premier lieu, il existe des téléphones portables capables de rester des journées entières sans besoin d'être rechargés. Il s'agit de la génération mobile précédant les smartphones. Ce qu'apportent de plus les smartphones, ce sont les applications : écouter de la musique, jouer, prendre des photos, filmer, naviguer sur internet, communiquer instantanément, le GPS... Tant de produits sont devenus obsolètes à cause de l'innovation qu'a été le smartphone : lecteurs mp3, GPS... Les smartphones, pour assurer tous ces services sur un unique support, sont donc gourmand en énergie. C'est là qu'intervient la batterie et surtout son besoin d'être rechargée tous les jours ou bien de pouvoir tenir plus longtemps. Ce qui à date n'est pas encore d'actualité. Ce qui pose par ailleurs une limite : quelle sera la prochaine étape ? L'humanité a fait rentrer ce dernier siècle dans l'ère du numérique: télévision, ordinateur, téléphone, smartphone, tablette. Et ensuite ? Nous entendons parler des montres connectées, des lunettes connectées. Mais connectées à qui ? à quoi ? Est-ce que c'est le smartphone qui sera la télécommande de ce monde connecté ? Nous pensons aussi à la domotique, et à l'automobile. Pourquoi ne pas conduire son véhicule depuis son smartphone, telle une manette de jeu vidéo ? Ce monde connecté qui semble se préparer devra être constamment branché pour communiquer les uns avec les autres. Donc très consommateur d'énergie. Nous sommes à un croisement où énergie et écologie ne doivent pas s'entrechoquer mais travailler ensemble. Et c'est pourquoi cette trouvaille israélienne, à prendre ou non au sérieux, nous semble comme une pépite et nous laisse songeuse et rêveuse. Imaginer un monde connecté va encore transformer le marketing dans une nouvelle ère. Ce ne sera plus du e-marketing ni du m-marketing... Cependant ce n'est pas encore d'actualité car la firme israélienne doit régler des problématiques de compatibilité constructeurs ainsi que de taille de son chargeur. Mais gageons que cette innovation va en appeler d'autres pour ce défi écologique, énergétique, industriel et économique...

14 Avril 2014

Le magasin, le iBeacon et l'opérateur virtuel

Au cours du dernier trimestre 2013, le iBeacon a gagné en popularité. C'est le Paypal Beacon qui a mis en avant cette fonctionnalité. Apple... Paypal... deux poids lourds pour une même technologie. Dans quel cadre s'applique cette technologie ? Pour quels usages ? Et à quel fin ? Le iBeacon permet de recevoir sur son terminal mobile des informations push en boutique. Pour cela, le bluetooth doit être activé, l'utilisateur doit autoriser l'application Ibeacon à communiquer et des bornes doivent êtres installées dans la boutique. Information importante, la communication entre la borne et le smartphone peut s'établir sur plusieurs dizaine de mètres. L'objectif est d'offrir au client une expérience de shopping personnalisé puisque le iBeacon peut lier les préférences du client à des offres promotionnels, des conseils, des informations complémentaires... C'est le marketing mobile géolocalisé in-store pour améliorer le taux d'engagement des clients. A une époque, on regardait les produits sur internet pour ensuite aller les acheter en boutique. Puis on a regardé les produits en boutique et cherché les prix les moins chers en ligne: chez Amazon, chez les e-commerçants... De nos jours les e-commerçants fidélisent leur clientèle et gomment les avantages du magasin physique, à leur détriment. Et pourtant depuis de nombreuses années, il existe des technologies dont nous connaissons tous les noms mais qui ne parviennent pas à atteindre les promesses tant attendues: bluetooth, QR code, NFC... Si maintenant Apple concurrence avec le iBeacon la NFC, cela va faire accélérer les choses. Car si le iBeacon est propre à Apple, la technologie (le BLE) peut être exploitée par les autres systèmes (Android...). Et ce qui apporte un coup d'accélérateur, c'est la fonctionnalité que propose Paypal : payer en magasin sans aucun contact. Via Paypal Beacon, le client enregistre dans ses préférences les marques avec lesquelles il souhaite interagir. Si elles disposent d'une borne bluetooth, alors le smartphone du client interagit et le paiement est effectué. Avec le bluetooth, nul besoin de réseau mobile ou internet. C'est le paiement mobile dématérialisé, plus rapide qu'un paiement en ligne. En magasin, l'avenir est à la livraison d'informations pertinentes pour accélérer la prise de décision d'achat et à la simplification du moyen de paiements. Avec l'arrivée des acteurs virtuels qui investissent le physique. Pour le marketing mobile, ce sont des usages prometteurs.

02 Mars 2014

La 4G en plein décollage

En 2012, la stratégie 4G était en préparation. En 2013, ça a été l'ébullition, avec pour point d'orgue la fin de l'année et la bataille entre les opérateurs sur le plan de la communication et sur le terrain. Pourquoi 2013 fut l'année du décollage de la 4G et quelles en sont les promesses ?   Fin 2011, l'ARCEP, l'Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes, a attribué les licences 4G LTE aux opérateurs, sous formes d'enchères. Deux bandes fréquences de 800 MHz et 2600 MHz étaient à répartir, pour une somme de plus de 3,5 milliards d'euro, avec comme résultat : 30% pour Orange, 25% pour SFR, 25% pour Bouygues et 20% pour Free. A côté de celà, Bouygues a demandé et obtenu en Avril 2013 l'autorisation de déployer la 4G sur ses fréquences de 1800 Mhz.   Pour que la 4G soit utilisée, le terminal mobile que les clients possèdent doit être compatible. La majorité des constructeurs proposent déjà cette compatibilité, sauf l'iphone 4. Quant on sait qu'Apple est un fer de lance dans les usages connectés, c'est une ombre au tableau qui s'est dévoilée avec la sortie de l'iphone 5.   Sur le plan technique, la 4G apporte un débit théorique entre 100 à 150Mb/s, largement au niveau de l'ADSL, et dix fois plus rapide que la 3G existante (hors H+ appelé aussi 3,75G).   Du coté des infrastructures et d'après le site www.quialameilleure4g.com/decouvrez4G , Bouygues et Orange disposent à date de la plus forte couverture tandis que SFR et Free accusent du retard.   Les autorisations sont accordées, les terminaux mobiles sont compatibles et les infrastructures se mettent en place, toutes les conditions sont réunies pour apporter une expérience utilisateur enrichissante.   En effet, certains usages mobiles tels que la consultation de mails, la navigation sur l'internet mobile, le partage sur les réseaux sociaux et les streaming audio/vidéo (autorisés) se normalisent tandis que d'autres restent à mettre en place ou à inventer.   Le marché s'adapte à cette normalisation et les entreprises investissent dans le mobile, sous peine de passer à côté d'un canal adopté par leurs clients. Le développement d'un site web adapté au mobile ou bien mener des actions de marketing mobile deviennent des prérequis.   Quand aux usages à inventer, cela participe sans soute aux conditions de la future émergence des objets connectés.

18 Décembre 2013

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