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Indépendants et TPE : faire vivre votre site internet en ajoutant du contenu

Souvent au lancement de leur activité, les indépendants et les TPE ont le bon réflexe de créer leur site internet. Au départ, le site internet est pensé comme une vitrine : il faut aller vite et il faut montrer à son réseau sa présence. Cette rapidité de lancement de site internet est souvent synonyme de budget limité. Cela s’explique aisément puisque l’activité est en lancement. Mais comme souvent, il est préférable de penser en amont l'objectif à fixer pour son site internet. Ne pas prendre le temps de bien réfléchir à son objectif peut-être chronophage pour la suite. Notamment lorsque l’indépendant ou le dirigeant de TPE se rend compte qu’il faut faire vivre son site internet. Que signifie faire vivre son site internet ? Faire vivre son site internet peut faire référence à plusieurs actions. Dans cet article nous allons nous concentrer sur l'animation de son site web grâce à l'ajout de contenu : Ajouter, modifier ou supprimer les offres de services qui évoluent au fil du temps ; Ajouter des événements (webinar, réunion de la communauté, exposition dans un salon…) ; Ajouter des billets d’humeur, même si sur cet aspect les réseaux sociaux sont plus adaptés à la diffusion des messages ; Ajouter des articles sur des points spécifiques de son activité. Comme par exemple cet article sur les trois points clés pour faire vivre son site internet ; Mettre à jour ses réalisations ou son portfolio, en expliquant les prestations délivrées à ses clients. Ces exemples de contenus à ajouter sur son site internet permettent au visiteur de se rendre compte que le site est vivant. Cela reflète aussi le professionnalisme de l'entreprise. L'entretien et le soin que l'entreprise ou l'indépendant accorde à son site internet   est un signal positif sur la qualité perçue de ces services. Quels sont les freins les plus répandus ? Un indépendant est par définition seul, avec beaucoup de sujets à gérer. Les dirigeants de TPE sont en général peu nombreux. Ils n'ont pas de responsable marketing et communication. Ils sont souvent techniciens de leur entreprise et ne sont pas spécialisés sur le marketing digital. Voici les commentaires que nous entendons assez régulièrement :   “Je ne sais pas comment m’y prendre…” L’indépendant ou le gérant de la TPE est souvent de bonne volonté. Mais il a besoin de pédagogie, d'outils et d’accompagnement pour savoir quoi mettre en place.   "Ça prend du temps et je dois gérer les urgences des clients…” L’indépendant ou le patron de la TPE sait comment ajouter du contenu sur son site internet. Mais il est pris en tenaille par les demandes urgentes de ses clients . Il a conscience que faire vivre son site internet est important. Il est encore à la recherche de la bonne formule.   “Je ne sais pas vraiment si c’est utile pour ma société…” L’indépendant ou le dirigeant de la TPE a déjà testé l’ajout de contenu sur son site internet. Mais il n’arrive pas à mesurer le retour sur investissement. A cause de cela il se démotive tout seul. Alors qu’avec quelques données bien ficelées, il pourrait voir les bénéfices que cela génère sur le long terme.   “Je ne suis pas une multi-nationale…” Ce frein est typique de l’indépendant ou du gérant de TPE et on le comprend. Après tout, tellement de choses sont à faire sur son site internet ou sur d’autres sujets. On a souvent l’impression d'avoir besoin d'une kyrielle d'employés pour mener tous les sujets de front. Mais un sujet qui bien traité et bien suivi fait gagner du temps et de l’argent, n’est-ce pas un sujet qui mérite d’être considéré ? Pourquoi ajouter du contenu sur son site web ? La question n’est plus de savoir quoi ajouter sur son site internet, nous venons de le voir. Mais pourquoi ajouter du contenu sur son site web. L’ajout de contenu sur son site internet répond à 4 objectifs fondamentaux de stratégie marketing : Optimiser son site internet pour les moteurs de recherche et en particulier Google. C’est en pratique un des points fondamentaux du SEO. Une bonne  stratégie basée sur des champs sémantiques et des mots clés cibles est importante. Si cette stratégie est associée à un plan de diffusion, le site web va gagner en référencement. Ainsi qu'en positionnement sur des termes de recherche spécifiques. L’objectif est orienté sur le référencement naturel, sur l'acquisition.   Offrir du contenu de qualité pour ses visiteurs Le site internet va être visité. En mettant régulièrement son contenu à jour, le site internet a des chances d’apporter de la valeur au visiteur. Puisqu’il risque de tomber sur un point qui va l’intéresser. De plus, le visiteur va passer du temps sur le site. Il va naviguer à l’intérieur, ce qui va contribuer d'autant plus au référencement naturel du site web. L’objectif est orienté sur le positionnement de l’image de marque.   Faire valoir son expertise Ajouter du contenu sur son site internet avec des articles métiers valorise le savoir-faire de l'entreprise. Cela montre aux moteurs de recherche comme aux visiteurs que le sujet est maitrisé. L'indépendant ou la TPE maximise ses chances de faire autorité sur le sujet. L’objectif est orienté sur le fait de rassurer et de donner de la confiance au visiteur.   Générer des nouveaux leads entrants Un des objectifs important de l’indépendant ou du dirigeant de TPE est que son site internet génère “naturellement” des nouvelles demandes de contact ou de devis. L’objectif est un retour sur investissement. La méthode MG Mobile pour ajouter du contenu sur son site web en 3 points clés Nous avons compris pourquoi faire vivre son site internet est important. Voici les 3 points clés que l’agence MG Mobile a identifié pour les indépendants et les dirigeants de TPE.   Comprendre, Analyser, Planifier Nous planifions avec notre spécialiste en référencement naturel un entretien d’une heure. Pour comprendre les objectifs du site internet que l’indépendant ou le responsable de la TPE s'est fixé. En fonction des objectifs du site web, nous analysons les mots clés cibles qui correspondent. Cette analyse met en évidence les mots clés recherchés avec leur trafic mensuel et leur niveau de difficulté. Ce qui permet de prioriser les mots clés les plus accessibles. Ces mots clés prioritaires sont utilisés pour planifier une diffusion de dix contenus. Ils serviront à mettre à jour sur le site internet afin de faire vivre le site internet. L’indépendant ou le responsable de la TPE doit choisir la fréquence de publication. Elle peut être hebdomadaire, bi-hebdomadaire ou mensuel.   Rédiger un article web Les mots clés sont connus, la stratégie est en place et la tactique est définie. Il reste encore à produire le contenu qui va faire vivre le site web. Pour cela nous avons deux possibilités. La première possibilité consiste à former pendant une demi-journée l’indépendant ou le responsable de la TPE à la rédaction de contenu web. La rédaction de contenu est devenu au fil des années un travail de professionnel. Pour rester autonome, il est recommandé de recevoir une formation. La seconde possibilité consiste à passer par un rédacteur web professionnel.   Suivre et mesurer les résultats Une fois que la production est lancée, la prochaine étape consiste à suivre les résultats et l’efficacité des contenus publiés.   Pour cela nous organisons un rendez-vous mensuel avec l’indépendant ou le dirigeant de la TPE. Nous préparons un reporting détaillé afin de s’appuyer sur les faits réels. Puis nous discutons de la suite de la stratégie pour continuer à faire vivre son site internet. Ça me plait mais combien ça coûte ? Plusieurs prestations sont nécessaires pour faire vivre son site internet. A cet effet nous vous invitons à nous contacter pour voir ce qui vous intéresse afin d’avoir un devis rapide.

Pourquoi la fiche d’établissement Google My Business est importante ?

Qu’est-ce que Google My Business ? Google My Business est un service d’annuaire en ligne développé par Google. Il permet aux entreprises et organisations de présenter leurs activités pour aider les clients à les trouver mais aussi pour mieux expliquer à Google votre business. Cet outil génère une fiche d’établissement où l’on y trouve les informations essentielles de l’entreprise : courte description, localisation, photo, avis client, horaires d’ouverture, téléphone... Cela vous permet également d’apparaître dans Google Maps. Google My Business est donc un moyen de gagner en visibilité sans dépenser d’argent. Pourquoi est-ce important d’avoir sa fiche Google My Business ? Cet outil est très apprécié des internautes car la fiche d’établissement de l’entreprise s’affiche en au dessus des résultats de recherches. 96% des internautes utilisent internet pour faire leurs recherches et cette fiche leur permet de se renseigner rapidement, ce qui améliore leur satisfaction.  Sur mobile, il suffit à l’utilisateur de cliquer sur l’adresse pour démarrer l’itinéraire sur Google Maps, ou bien de cliquer sur le numéro de téléphone pour déclencher un appel. Toutes ces fonctionnalités sont faites pour faciliter la recherche des internautes en réduisant au maximum le parcours utilisateur (donc nombre de clics). Google My Business est également essentiel pour le référencement local. En effet, Google affiche dans les résultats de recherches une carte avec seulement 3 ou 4 résultats et pour y apparaître, il faut soigner son référencement local et l’une des étapes est de soigner sa fiche d’établissement Google My Business. En plus de lire et de répondre aux avis clients, Google My Business vous permet également d'interagir avec vos clients grâce à la fonction Poser une question. Présenté sous forme de chat, cette fonctionnalité vous permet de répondre aux questions, de partager des photos, des réalisations, des actualités... Google affirme que les entreprises qui ajoutent des photos à leur page Google My Business reçoivent 42% plus de demandes d’itinéraires sur Google Maps et plus 35% de clics vers leurs sites Web – que les entreprises qui ne le font pas. A tout cela s’ajoute une partie statistiques qui vous permet de savoir comment les utilisateurs recherche votre entreprise et d’où il viennent. Vous pouvez également connaître le nombre de personne qui vous ont appelé depuis le numéro affiché sur la fiche d’établissement… Tout ceci vous aide à mieux comprendre vos clients et à développer votre présence sur Google. Comment ça marche ? Vous souhaitez créer votre propre fiche d’établissement Google My Business pour votre site internet ? L’optimiser au mieux pour gagner en visibilité sur le web ? Faites appel à notre expertise pour développer votre business en ligne.

Quels sont les modèles économiques du web ?

Google, Facebook, Wikipédia, Youtube… ces sites sont parmi les plus visités au monde et ils sont tous gratuits au premier abord. C’est aussi le cas pour bon nombre de médias en ligne, de blog, de sites de streaming...  Alors, comment font-ils pour gagner de l’argent, ou tout simplement pour payer leurs infrastructures ? Quels sont leurs modèles économiques ?   Qu’est-ce qu’un modèle économique ? Un modèle économique ou business model décrit les principes selon lesquels une organisation crée, délivre et capture de la valeur. Le modèle économique d’un site web ou d’une application mobile est tout simplement le moyen qu’ils ont de gagner de l’argent. Il existe cinq formes principales de monétisation : marchand publicité freemium place de marché don   Les différents modèles économiques du web Modèle e-marchand   Ce modèle d’affaires s’applique aux sites marchands et aux boutiques en ligne. Ces sites ont la particularité de vendre en ligne des produits, services ou contenus. Les sites dit “transactionnels” génèrent des profits en fonction des ventes en ligne enregistrées.   Modèle d’affiliation Ce modèle s’applique aux sites marchands.Ceux-ci s’adressent à d’autres sites afin que ces derniers affichent du contenu publicitaire (bannière, lien…) dans le but de lui envoyer des acheteurs potentiels. Les sites affichant de la publication deviennent des affiliés et sont rémunérés avec un pourcentage de commission sur les ventes ou le trafic généré.   La publicité C’est le modèle le plus répandu, il est fondé sur une monétisation de l’audience par la publicité. Le site monnaye le nombre de pages vues et le temps passé par les utilisateurs.   L’affichage Fondé sur l’affichage (display), ce modèle est une transposition du modèle classique de la publicité. Il s’appuie sur des régies publicitaires qui répartissent des bandeaux publicitaires sur des sites. Le ciblage offert aux annonceurs est thématique (espaces ciblés pour les femmes, les amateurs de sport…) avec une volonté d’aller vers des formes plus élaborées de profiling. La tarification est fondée sur le CPM (coût pour milles affichages). Le CPM peut varier selon le régisseur et la taille de la bannière mais il est en moyenne de 1€.   Le matching publicitaire   Le cookie matching consiste à ce que le site de chaussures et la bannière publicitaire s’échangent les noms des cookies à travers des petits programmes informatiques (script envoyant des requêtes) afin d’identifier qu’Isabelle correspond au cookie ISA-125 pour le site de chaussures et PYB-89 pour la bannière publicitaire.   Le modèle Freemium Le principe du Freemium est fréquent : l’utilisation des services/fonctionnalités de base est gratuite, l’accès aux services/fonctionnalités premium est lui payant. Ces services premium peuvent-être liés à la vente d’un abonnement (c’est le cas de Flickr), ou bien de services ponctuels associés permettant d’enrichir l’expérience de l’utilisateur (vente de biens virtuels, accès à de l’information supplémentaire sur LinkedIn, par exemple).   La place de marché Ce modèle repose sur le prélèvement d’une commission sur les transactions organisées par le site. La plateforme organise la rencontre d’un grand nombre d’offreurs et/ou de demandeurs de biens et de services et ses revenus sont proportionnels aux transactions effectuées. Exemple : Ebay   Le don Le dernier modèle de collecte de ressource est fondé sur le don et le bénévolat, souvent associé au refus de la publicité et de la vente des contenus. L’exemple emblématique en est Wikipédia, l’encyclopédie libre ; on peut aussi mentionner la plateforme de blogs WordPress.   Trouver un modèle économique gagnant consiste à identifier le mode de fonctionnement de votre entreprise. Sur le web, le principe de l’affiliation (revenus de la publicité) est en général insuffisant pour devenir rentable. Vous devrez, dans tous les cas, identifier un élément à valoriser, à vendre ainsi que des spécificités pour attirer votre cible de clientèle et vous différencier sur le web.  

Pourquoi faire un prototype avant de développer un site web ou une application mobile ?

Qu’est-ce qu’un prototype ? Par définition, un prototype est le premier exemplaire d’un produit industriel. D’abord utilisé dans la création de logiciels lourds, cette technique est aujourd’hui recommandée par les professionnels du web. En effet, c’est un étape indispensable dans le métier d’un UX designer. Cette méthode consiste à élaborer des prototypes de l’interface finale d’un site web ou d’une application mobile. Il existe plusieurs niveaux de réalisation, du plus grossier (zoning, croquis) au plus élaboré (wireframe, mockups). C’est à vous de choisir lequel sera le plus pertinent suivant votre projet ou son état d’avancement. Les différents types de prototypes Maquette, mockup, wireframe, zoning, prototype… plusieurs termes que beaucoup confondent faute de définition claire. Voici donc une définition simple de chacun d’eux, cela devrait vous éclairer.   Le zoning : c’est la méthode de conception la moins élaborée, elle consiste à schématiser une page sous forme de blocs de contenu grossier afin de déterminer l’organisation de la page et de son contenu. L’arborescence fonctionnelle : il s'agit de représenter visuellement les imbrications et les connexions entre les différents gabarits composants le support interactif, ce qui revient à en illustrer le fonctionnement. Ce n'est pas à proprement parlé une méthode de conception, mais plus une vision de l'activité, qu'il faut questionner. Le wireframe : se fait généralement après le zoning et permet d’intégrer le vrai contenu de la page afin de montrer les fonctions de celle-ci. Son objectif est avant tout fonctionnel. Le mockup : c’est tout simplement un wireframe transformé en page HTML. Il permet de se projeter, car une fois la page dynamique on peut naviguer entre les pages, tester des formulaires… La maquette : c’est pareil que le mockup...avec des couleurs. Son but est de permettre de se projeter et de tester aussi bien le fond (le contenu) que la forme (le design). En ajoutant les bonnes couleurs et les bonnes images, vous pourrez avoir un aperçu plus réaliste de votre futur site ou application. Le prototype : permet de se focaliser sur le fond en testant les fonctionnalités. Il permet de décider avec quelles technologies les informations seront affichées, quel langage il faudra utiliser… Son but est avant tout fonctionnel. Un prototype est généralement unique (soit abandonné par la suite, soit fait pour évoluer), contrairement aux wireframes et maquettes qui peuvent être multiples. Pourquoi faire un prototype ? Maintenant que vous connaissez la différence entre toutes ces techniques, il est temps de se pencher sur la question du pourquoi. Pourquoi est-il si important de faire un prototype ? Pourquoi ne pas développer sa plateforme directement sans passer par toutes ces étapes ?   Il est primordial de faire un prototype car celui-ci servira de base à la phase de conception de votre site ou de votre application mobile. Suivant le projet, il sera parfois nécessaire de faire tester l’interface à des utilisateurs réels afin d’être sûr qu’elle est user friendly, c’est à dire qu’elle est compréhensible, agréable et facile d’utilisation pour les utilisateurs. Sachez qu’il est beaucoup plus coûteux, long et frustrant de faire des changements dans le code plutôt que dans la conception. Les avantages du prototype sont multiples : Il favorise la définition du périmètre fonctionnel de votre projet Il permet de présenter aux utilisateurs une vrai interface sur laquelle ils vont pouvoir réagir Il permet de se concentrer sur le fond (contenu, fonctionnalités…) sans être distrait par la forme (couleur, image…) Il facilite l’évolution de l’interface proposée au départ, afin qu’elle corresponde le mieux possible aux attentes et besoins des futurs utilisateurs Il permet de corriger ou valider des choix (techniques, fonctionnels) avant de commencer le développement technique. Les outils de prototypage Il existe plusieurs outils qui permettent de créer différents types de prototypes comme par exemple Balsamiq, Adobe XD, Axure, Wireframe CC, MockingBird, Moqups, UXpin, InVison… Ces logiciels ou plateformes en ligne permettent de créer des prototypes très facilement : certaines se gèrent en cliquer-glisser, d’autres nécessitent quelques connaissances informatiques. La plupart d’entre eux sont gratuits ou proposent une version Freemium, mais si vous souhaitez créer des prototypes avancés, il faudra acheter un logiciel ou souscrire à un abonnement sur l’une de ces plateformes.

Quelles sont les tendances SEO pour 2019 ?

  Google n’a qu’un seul objectif qui est celui de répondre aux besoins de ses utilisateurs. Avec plus d’1,4 milliards de sites internet dans le monde, Google est obligé de faire un tri et a pour cela établit des règles de référencement naturel qu’il faut respecter si l’on veut apparaître parmi les premiers résultats. Ces règles étant en perpétuel changement, il faut s’informer régulièrement des exigences de Google. Voici donc 7 tendances SEO pour 2019.   Tendance SEO n°1: l’intention de recherche 2019 annonce un grand changement en matière de référencement: les mots-clés sont de moins en moins importants. Quelques mots-clés dans un article de blog ne suffise plus, Google considère également le but de la recherche. Pour être précis, Google veut montrer exactement ce que l’utilisateur recherche. L’intention qui sous-tend l’utilisation des mots clés sera de plus en plus privilégiée à l’approche de 2019. Il faut donc se mettre à la place de l’utilisateur et faire des recherches afin de produire du contenu de qualité qui répondra à sa demande voir même plus si on lui soumet des informations complémentaires sur le sujet auxquelles il n’aurait pas pensé. Tout ça dans le but de satisfaire l’intention de recherche qui est de plus en plus prise en compte par Google.     C’est formidable de satisfaire l’intention de recherche, de renforcer l’engagement et d’augmenter notre classement sur les moteurs de recherche. Les performances et la sécurité des sites web sont des tendances SEO majeures qu’il faut prendre en compte. Il est très important d’optimiser au mieux son site web. En effet, les sites web nécessitant un temps de chargement supérieur à 2 secondes seront pénalisés. Google AMP a été développé pour fournir un chargement presque instantané de sites web. Par conséquent, la vitesse de votre site en 2019 sera toujours épiée. Voici 3 conseils pour améliorer la vitesse de chargement de votre site web: Optimiser  le poids des images : utiliser des formats adaptés pour la navigations du type .JPG, .PNG ou .GIF et les compresser pour qu’elles soient le moins lourdes possible Utiliser le moins de plugins possibles : principalement pour les utilisateurs WordPress, ajouter des plugins est plus simple pour créer son site internet mais alourdit considérablement le poids de la page et donc son temps de chargement. Ne garder que ceux qui sont vraiment nécessaires. Avoir un hébergeur de qualité : pour avoir un site qui s’affiche vite tout le temps, il est impérativement nécessaire d’avoir un bon hébergeur à sa disposition, un qui assure stabilité, puissance, disponibilité, et sécurité. Il n’existe pas de secret pour cela, il faut mettre un minimum de budget.   Tendance SEO n°2: l’optimisation du contenu vidéo (VSEO) L’optimisation du contenu vidéo est l’une des tendances SEO les plus importantes en 2019. En effet, le contenu vidéo dépassera tous les autres types de contenus avec une consommation de plus de 85%. C’est pourquoi les annonceurs utilisent la vidéo comme outil marketing majeur. Il est donc important d’optimiser au mieux le contenu vidéo afin qu’il réponde aux normes des moteurs de recherche. Attention de ne pas oublier de bien référencer le contenu vidéo sur mobile car l’audience de celles-ci ne cesse de croître.     Comment référencer efficacement une vidéo sur votre site ? Mots-clés: faisant partie de votre stratégie SEO, quelque soit le contenu, ceux-ci doivent être choisis avec soin pour être cohérents et pertinents avec le thème de votre vidéo. Ils doivent également apparaître dans les métadonnées du contenu : titre et sous-titres, balises title et meta description, légende et/ou description, étiquettes (ou tags), notes et/ou liens intégrés dans la vidéo… Conversion: une fois la vidéo consultée, ne laissez pas l’utilisateur partir, dirigez le vers là où vous voulez qu’il aille. La manière la plus efficace est d’utiliser un appel à l’action (call to action) court et bien visible sur la page de la vidéo. Cela vous permettra d’optimiser votre taux de clic et de conversion. Sous-titres: pour gagner du temps, les internautes commencent par regarder les vidéos sans le son et décident dès les premières secondes s’ils poursuivent le visionnage de leur vidéo ou pas. Les sous-titres sont donc essentiels. Ne faites pas confiance aux sous-titres automatiques de YouTube qui sont souvent approximatifs, peu clairs et parfois incohérents. Pensez également à ajouter vos mots-clés dans les sous-titres de votre vidéo. Backlinks ou liens entrants. Ils sont aussi important que le choix des mots-clés. En effet, cela indique aux moteurs de recherche que votre vidéo intéresse les internautes et est de bonne qualité. Pour obtenir ces backlinks, commencez par partager la vidéo à votre réseau professionnel: vos collègues de travail, vos clients, vos prospects… Publiée la vidéo sur les réseaux sociaux vous permettra également d’augmenter la visibilité de celle-ci grâce à son potentiel viral. N’hésitez pas à utiliser un call to action à la fin de la vidéo pour demander aux internautes de la partager.   Tendance SEO n°3: la recherche vocale ou “Voice Search” Quand on sait que la recherche vocale ou “Voice Search” a générée plus d’1 milliard de recherches en janvier 2018 et qu’elle comptera pour près de 50% de toutes les recherches en ligne en 2019, on comprend bien qu’elle fasse parties des tendances SEO pour cette année. Voici quelques statistiques sur la recherche vocale: (Source: La Fabrique du Net) 58% des consommateurs ont utilisé la recherche vocale pour trouver des informations commerciales locales en 2018. 27% visitent le site web des entreprises locales grâce à la recherche vocale. 76% des utilisateurs d’enceintes intelligentes recherchent des entreprises locales une fois par semaine. 53% des utilisateurs font des recherches vocales quotidiennes. Le marché de la reconnaissance vocale atteindra 601 millions de dollars d’ici 2019.   Ces chiffres et les prévisions pour les années à venir nous montrent que la recherche vocale deviendra l’une des méthodes de recherches les plus utilisée. C’est pourquoi, il est important d’optimiser son site internet dans ce sens si l’on ne veut pas être dépassé par ceux qui le feront. En plus d’être rapide et d’améliorer la productivité, la recherche vocale permet l’accès à Internet à un plus grand nombre de personnes. En effet, les aveugles, malvoyants ou tous ceux qui ne peuvent pas utiliser un écran quelqu’en soit la raison peuvent désormais faire des recherches comme tout le monde. Même les illettrés peuvent effectuer des recherches grâce au Voice Search. Il est donc essentiel d’optimiser votre site internet dans ce sens en mettant en évidence des termes tels que “quand”, “où”, “pourquoi”, “comment”... Il faut donc se concentrer sur l’intention de recherche des utilisateurs qui est une des principales tendances de référencement en 2019.   Tendance SEO n°4: l’optimisation du taux de clic (CTR) Si vous souhaitez améliorer votre référencement en 2019, il est très important d’optimiser votre site web pour l’algorithme du moteur de recherche de Google – Rankbrain. Le taux de clics de votre site est un facteur important pour décider si votre contenu est pertinent ou non pour la recherche de l’utilisateur. Il permet d’estimer les performances de vos mots clés. C’est-à-dire que si un utilisateur ne clique pas sur le lien de votre site lorsqu’il apparaît dans résultats de recherches pour un mot clé particulier, Google pense que vous n’êtes pas pertinent pour ce mot clé et va laisser tomber votre classement. Si un mot-clé a été recherché 500 fois par jours et cliqué par 50 visiteurs, le résultat du taux de clics dans le SERP (Search Engine Result Page) sera de 10 %. Un taux de clics élevé suggère que le contenu de votre site attire l’utilisateur car celui-ci répond précisément à sa recherche. En revanche, un taux de clic faible doit inciter à l'optimisation de plusieurs éléments, comme les meta descriptions ou les titres. De plus, il existe la possibilité de créer des rich snippets (en français “extraits enrichis” qui désignent les éléments complémentaires du snippet standard comme l’url, le titre, la description…)  à l'aide d'un balisage approprié des éléments HTML.   Vous pouvez utiliser le CTR pour identifier les mots clés efficaces, et ceux ayant besoin d'être améliorés. Plus vos mots clés sont liés les uns aux autres et à votre activité, plus un internaute sera susceptible de cliquer sur votre site après avoir effectué une recherche sur l'expression concernée. Une des méthodes les plus efficaces pour améliorer votre référencement naturel (SEO) est d’optimiser le titre et la description de vos pages en y insérant des mots-clés. Pour cela vous pouvez vous aider de l’outil Google Adwords pour faire des recherches et trouver les mots-clés les plus pertinents selon votre secteur d’activité. En optimisant vos balises Title et Description vous augmenterez votre taux de clic et gagnerez donc des places dans les résultats de recherches des moteurs de recherches.   Tendance SEO n°5: l’index “Mobile First” 78% de la population possède un smartphone. Plus de la moitié des requêtes en ligne dans le monde sont faites depuis un mobile. Et les usages français suivent la tendance mondiale. Google recommande donc de créer des sites web réactifs de qualité et de les adapter à l’affichage sur mobile car désormais son index principal est celui constitué par son robot mobile, l’index secondaire étant celui récupéré par son robot desktop. Le but étant d’offrir des résultats de recherches plus qualitatifs sur mobile. L’impact étant majeur pour certains qui n’aurait qu’une version “légère” de leur site web sur mobile, Google a fait la première annonce officielle de l’index Mobile First (MFI en anglais) début novembre 2016. Laissant ainsi le temps à certains de refaire leur site ou de l’adapter sur mobile. Ce n’est que le 26 mars 2018 que l’index Mobile First a été mis en place officiellement, mais pour certains site seulement. Ceux qui sont gérés par le MFI sont prévenus par un message via Google Search Console.     Lorsque Google recommande l’indexation mobile en premier, cela ne veut pas dire qu’il n’analyse pas la version desktop, mais qu’il privilégiera les sites responsives, adaptés à tous les supports (ordinateur, tablette et mobile). Selon le porte parole de Google, le déploiement de l’index mobile sera progressif et les sites non responsive ne seront pas pénalisés. Cela est valable à court terme, car la politique du MFI se veut de plus en plus exigeante et sur le long terme un site non responsive sera fortement pénalisé. En effet, Google a prévu de faire cohabiter ces deux index sur 5 ans environ, puis de ne garder de l’index Mobile First. C’est pourquoi avoir une version mobile de votre site internet n’est pas suffisant. Il faut que l’utilisateur puisse y naviguer facilement, sinon il n’hésitera pas à quitter votre site pour en trouver un autre plus rapide d’utilisation. En plus de la réactivité de votre site mobile, il faudra prioriser la vitesse des pages et le temps de chargement de votre site web sur mobile. Pensez également à optimiser le contenu de votre site en réduisant le poids des images et vidéos, en optimisant les fichiers CSS et en activant la compression des fichiers HTML pour augmenter la vitesse de chargement de votre site et proposer une expérience utilisateur satisfaisante.   Tendance SEO n°6: un contenu long Pendant longtemps on a considéré qu’un contenu bref était plus intéressant qu’un contenu long. Ce n’est plus le cas aujourd’hui, un contenu long produit des classements de recherches plus élevés. SerpIQ a mené une étude pour comprendre quelle longueur de contenu obtient le meilleur classement.     Cette étude démontre que la longueur moyenne des posts du top 10 des résultats était de 2300 – 2450 mots, ce qui atteste clairement qu’un contenu long est plus efficace sur les moteurs de recherches.Mais Google ne décide pas du classement de votre site en comptant simplement le nombre de mots. Un des éléments du référencement naturel qui compte le plus est le score backlink de votre site. Les liens entrants vers votre site prouvent la qualité de votre contenu et l’étude menée par serpIQ montre que les contenu long ont plus de chance de générer des backlinks de qualité. En effet, plus votre contenu est utile, plus il sera partagé. Google s’est rendu compte que ses utilisateurs n’aimait pas faire plusieurs recherches pour trouver les réponses qu’ils souhaitent, ils préfèrent tout trouver au même endroit. Un contenu long à donc plus de chance de répondre à ce besoin et c’est pourquoi Google placera ce contenu en tête de classement. Le contenu long est donc une des principales tendances SEO pour 2019.   Tendance SEO n°7: la featured snippet Vous pensiez qu’il n’était pas possible de faire mieux que la première place ? Et bien Google a créer la position 0. Appelée aussi featured snippet, elle correspond à l’encart situé au dessus des liens et qui répond directement à la question posée. En 2018 il suffisait d’être en première position, mais Google a décidé de compliquer les choses pour 2019. L’objectif de la featured snippet est de répondre directement à la question par l’utilisateur sans qu’il ait besoin de cliquer sur un lien. Votre objectif à vous est de prouver à Google que vous avez la réponse que cherche l’internaute. Outre le fait qu’il faut avoir un référencement naturel proche de la perfection, pour atteindre la position 0, il faut anticiper les questions des internautes. Vous pouvez utiliser l’outil Answer The Public pour déterminer les questions les plus fréquemment recherchées et ainsi construire votre page pour y répondre le plus possible. Assurez vous de répondre succinctement à la question en 40-60 mots pour que Google puisse l’afficher dans la featured snippet.     Conclusion Avec les progrès de la technologie, les moteurs de recherches étant de plus en plus intelligents et le changement du comportement des utilisateurs, les règles de référencement sont en constante évolutions. Mais nous connaissons maintenant les tendances SEO pour 2019 à savoir: la prise en compte de l’intention de recherche des utilisateurs, l’optimisation du contenu et principalement la vidéo, la croissance des recherches vocales, l’importance du taux de clic, l’indexation Mobile First, la longueur du contenu de votre site web, la featured snippet, la position 0. Vous avez maintenant toutes les clés en main pour optimiser le référencement de votre site internet et apparaître parmi les premiers résultats de recherches Google.

La longueur de la méta description

Début décembre 2017, Google a officiellement changé la limite de caractères de la balise Meta description, passant ainsi de 160 à 320 caractères pour certains résultats de recherches. Revenons sur cette balise et son impact sur le référencement de votre site. Qu’est-ce que la balise Meta description ? Cette balise est primordiale au bon référencement d’un site.  Elle est une description concise de ce qu’est une page web. On la retrouve dans les snippets, les résultats d’une requête sur un moteur de recherche, comme montré ci-dessous en bleu : La Meta description est le premier élément d’information qu’un visiteur a d’un site web. Il est donc très important de la soigner afin d’améliorer le Click Through Rate (CTR) et d’être ainsi mieux répertorié par Google. Plus le CTR d’un site est élevé et plus il remontera dans les résultats de recherches. Depuis décembre, cette description est passée de 160 caractères à 320 (soit environ 1 400 pixels), laissant donc la possibilité de se décrire en 4 lignes. Pourquoi ce changement est important ? La balise Meta description, avec la balise Title, est un des critères de référencement naturel les plus importants. Ce sont les encarts dans lesquels les mots clefs définissant votre site sont le plus pris en compte par Google. Il est donc conseillé de profiter de ces espaces pour mettre en avant des mots clefs et ainsi, avoir plus de chance de remonter dans les résultats de recherche. Attention cependant à ne pas trop répéter un mot clef car le moteur de recherche pourrait considérer cela comme du « spam » et vous désindexer. Une balise meta description plus longue est donc l’opportunité d’indiquer plus de mots clefs et de décrire plus précisément votre site web. Une description précise augmentera vos chances d’avoir des visiteurs intéressés qui resteront sur votre page, ce qui peut avoir un très bon effet sur le taux de rebond (indicateur permettant de connaître le pourcentage de visiteurs qui quittent le site dès lors qu’ils arrivent dessus). Un taux de rebond élevé impacte négativement et considérablement le référencement naturel d’un site. Alors comment optimiser la balise Meta Description ? Quelques règles simples sont à respecter pour avoir plus de chances d’améliorer son référencement grâce à la balise meta description : Ecrire un message clair, qui définit précisément le sujet de votre site web. Réaliser un call to action efficace en employant des verbes d’action et en éveillant la curiosité (Découvrez notre offre, Voyagez au meilleur prix, etc.). Placer des mots clefs efficaces (sans en abuser). 160 ou 320 caractères : faut-il changer sa meta description ? Ce changement majeur ne s’appliquant pas à tous les résultats de recherches, il est important de savoir si les requêtes menant à votre site web sont concernées. Par ailleurs, rappelons que Google peut décider d’afficher un texte de votre site au lieu de votre meta description si le moteur de recherche estime que celui-ci correspond mieux à la requête de l’utilisateur. Pour savoir comment s’affichent les snippets de votre site il faut aller observer le rapport d’ « analyse de la recherche » de la Search Console. Vous saurez ainsi s’il vous est nécessaire de modifier vos meta descriptions. Ces conseils n’assurent pas à 100% un référencement parfait mais y contribuent de manière significative. Vous avez maintenant toutes les clefs en main pour comprendre mieux le référencement naturel et la balise meta description !

Les 3 dernières étapes du growth hacking

Précédemment nous avons vu les 2 premières étapes du chemin de conversion du growth hacking. Maintenant nous allons voir les 3 dernières étapes restant : la rétention, le referral et le revenu.   La rétention : Concernant la rétention, elle permet à une entreprise de garder ses clients près de soi. Les utilisateurs du site deviennent donc des utilisateurs actifs. Pour garder vos clients près de vous, il faut donc les encourager vivement et régulièrement, les recommander de nombreux produits et services à utiliser et les pousser à explorer toutes les fonctionnalités auxquelles ils auront accès. Pour cela vous aurez besoin de quelques bases :    L’inciter à vous suivre sur les réseaux sociaux Envoyer régulièrement des emails Proposer leurs des codes promos, jeux-concours, des offres parrainage Réaliser des enquêtes pour améliorer l’expérience du client Le referral : Le referral est une étape essentielle. Ici l’entreprise identifie ses ambassadeurs potentiels et permet aux utilisateurs actifs de partager facilement leurs expériences auprès d’autres utilisateurs qui sont moins actifs. Ils augmentent donc votre visibilité et multiplie l’arrivée de nouveaux clients potentiels en utilisant plusieurs types d’actions comme : le partage du contenus et la recommandation d’un de vos produits ou services déjà testé ou consommé. Ils font vous faire connaitre auprès de leur réseau personnel votre site ainsi que votre marque.   Le revenu : Dans cette l’étape finale, le client effectue des actions qui vous rapportent de l’argent. Le client choisit donc votre marque parce qu’il a été conquis. Il utilise dès lors vos produits ou services, il n’est plus freiné par le prix pour acquérir ceux dont il a besoin (des options complémentaires, d’autres produits ou services).

Les jeux marketing

La croissance des technologies et des usages a métamorphosé la communication des marques. Le jeu marketing est un levier fondamental qui s’adresse à tous en toutes circonstances. Efficace, universel et non intrusif il est fréquemment utilisé pour animer une communauté sur le web. De plus c’est un levier qui s’adapte à tous les secteurs d’activités.   Comment mettre en place un jeu marketing ? - Tout d’abord, il faut déterminer les objectifs de votre jeu : annoncer un nouveau produit, générer des leads ou encore animer votre communauté ect.   - Ensuite définir votre cible potentielle : par rapport aux critères socio-démographiques.   - Et pour finir, choisir son type de jeu qui sera adaptée aux objectifs et à votre cible.   Il existe differents types de jeux tels que : les instants-gagnants, les quiz, les grattages, les tirages au sort, les concours photo et vidéo etc. Toutes ces mécaniques vont vous permettre de communiquer le bon message à la bonne cible au bon moment et avec le bon canal.   Par ailleurs, il est important de ne pas oublier de faire la communication de votre jeu qui est une étape très importante. il faut donc penser à un plan de communication efficace et la maintenir jusqu'à la fin du jeu. La promotion d’un jeu peut se faire sur votre site grâce aux bannières mais aussi sur les réseaux sociaux. De plus ne pas hésiter à décliner aussi votre jeu sur mobile pour avoir un maximum de participants.   La dotation : élément important du jeu marketing  La dotation retient toute l’attention de votre cible. Car c’est l’une des premières motivations qui pousse un internaute à participer à un jeu. Le taux de participants dépend donc directement du ou des lots à gagner. Le choix d’un bon lot de à gagner constitue donc une étape primordiale pour donner un coup de pouce à votre jeu. Attention, cependant des lots prestigieux ne sont pas forcément un facteur de succès, alors souvent il est plus préférable de faire gagner des lots en rapport avec sa thématique. A présent, voici le classement des dotations préférer des Français :   1- De l’argent 2- Des voyages 3- Des produits high-Tech 4- Des voitures 5- Des jeux et consoles 

La deuxième étape du tunnel de conversion : l’activation

Les petites entreprises qui veulent une croissance extrêmement rapide, utilisent le growth hacking avec ses nombreuses ressources qui lui sont dédiées. Nous allons donc nous intéresser plus précisément à la 2e étape du tunnel de conversion : l’activation. Cette étape regroupe l’ensemble des techniques qui va permettre de faire revenir l’utilisateur sur votre site web par le biais de nombreuses astuces. Le but est de d’enclencher le plus rapidement possible chez l’internaute un désir qui va le pousser et lui donner envie d’utiliser vos produits ou services.   Les leviers d’activation L’objectif final de ce tunnel de conversion est de transformer les visiteurs en utilisateurs, ce qui signifie que vous attendez de leur part une action vers votre site  pour qu’il puisse directement passer vers la phase d’achat. Pour transformer le visiteur en utilisateur, vous devez définir les leviers d’activation qui seront adaptés à votre futur cible. En voici quelques exemples :   - Faire du retargeting : va permettre de faire revenir l’internaute vers votre site. C'est une technique qui permet de cibler un internaute qui a visité votre site Internet sans passer à l’achat.   - Proposer un livre blanc gratuit à télécharger avec une inscription obligatoire.   - Proposer de s’abonner à une newsletter pour recevoir de nombreuses informations concernant les biens ou les services proposés. ​ - Proposer un très bon contenu à forte valeur ajoutée qui va déclencher un déclic et par la suite l’inciter à se créer un compte. Cependant, il est aussi possible de lui permettre de créer ou de se connecter à un compte avec les réseaux sociaux. Cela constitue un véritable gain de temps qui va vous permettre de récolter de nombreuses informations le concernant.   - Proposer des offres spéciales ou des codes de réduction.   - Faire de l’A/B testing : cette méthode permet de tester et d’évaluer les performances d’une ou de plusieurs versions  totalement différentes : d’emails, de lettres commerciales, de pages web, de formulaires etc. La version la plus efficace est ensuite utilisée sur l’ensemble des visiteurs. ​ - Proposer des questionnaires courts : pour que le visiteur ait le temps de le remplir.   Analyse des KPI (Key Performance Indicator) Après avoir choisi un ou plusieurs leviers d’activation, il ne vous reste plus qu’analyser leurs performances pour voir ce qui a le mieux fonctionner ou le moins fonctionner dans le tunnel de conversion : c'est à dire ( A quel endroit perd-t-on des visiteurs et pourquoi ?). Cette analyse peut se faire grâce notamment aux indicateurs clés de performances :   Le nombre de pages vues en moyenne Le taux de rebond : le pourcentage des personnes qui ne visitent qu'une seule page avant de quitter le site   Le taux de conversion:  le pourcentage des personnes qui ont entrepris une action sur votre site  Le nombre de visiteurs réguliers La durée moyenne des visites d’une ou de plusieurs pages Le taux de clic : le pourcentage de personnes qui ont cliqué sur une de vos pages  etc...   L’aide des indicateurs clés vont vous permettre d’évaluer les endroits qui bloquent et qui empêchent la transformation du visiteur en utilisateur.

Indépendants et TPE : faire vivre votre site internet en ajoutant du contenu

Souvent au lancement de leur activité, les indépendants et les TPE ont le bon réflexe de créer leur site internet. Au départ, le site internet est pensé comme une vitrine : il faut aller vite et il faut montrer à son réseau sa présence. Cette rapidité de lancement de site internet est souvent synonyme de budget limité. Cela s’explique aisément puisque l’activité est en lancement. Mais comme souvent, il est préférable de penser en amont l'objectif à fixer pour son site internet. Ne pas prendre le temps de bien réfléchir à son objectif peut-être chronophage pour la suite. Notamment lorsque l’indépendant ou le dirigeant de TPE se rend compte qu’il faut faire vivre son site internet. Que signifie faire vivre son site internet ? Faire vivre son site internet peut faire référence à plusieurs actions. Dans cet article nous allons nous concentrer sur l'animation de son site web grâce à l'ajout de contenu : Ajouter, modifier ou supprimer les offres de services qui évoluent au fil du temps ; Ajouter des événements (webinar, réunion de la communauté, exposition dans un salon…) ; Ajouter des billets d’humeur, même si sur cet aspect les réseaux sociaux sont plus adaptés à la diffusion des messages ; Ajouter des articles sur des points spécifiques de son activité. Comme par exemple cet article sur les trois points clés pour faire vivre son site internet ; Mettre à jour ses réalisations ou son portfolio, en expliquant les prestations délivrées à ses clients. Ces exemples de contenus à ajouter sur son site internet permettent au visiteur de se rendre compte que le site est vivant. Cela reflète aussi le professionnalisme de l'entreprise. L'entretien et le soin que l'entreprise ou l'indépendant accorde à son site internet   est un signal positif sur la qualité perçue de ces services. Quels sont les freins les plus répandus ? Un indépendant est par définition seul, avec beaucoup de sujets à gérer. Les dirigeants de TPE sont en général peu nombreux. Ils n'ont pas de responsable marketing et communication. Ils sont souvent techniciens de leur entreprise et ne sont pas spécialisés sur le marketing digital. Voici les commentaires que nous entendons assez régulièrement :   “Je ne sais pas comment m’y prendre…” L’indépendant ou le gérant de la TPE est souvent de bonne volonté. Mais il a besoin de pédagogie, d'outils et d’accompagnement pour savoir quoi mettre en place.   "Ça prend du temps et je dois gérer les urgences des clients…” L’indépendant ou le patron de la TPE sait comment ajouter du contenu sur son site internet. Mais il est pris en tenaille par les demandes urgentes de ses clients . Il a conscience que faire vivre son site internet est important. Il est encore à la recherche de la bonne formule.   “Je ne sais pas vraiment si c’est utile pour ma société…” L’indépendant ou le dirigeant de la TPE a déjà testé l’ajout de contenu sur son site internet. Mais il n’arrive pas à mesurer le retour sur investissement. A cause de cela il se démotive tout seul. Alors qu’avec quelques données bien ficelées, il pourrait voir les bénéfices que cela génère sur le long terme.   “Je ne suis pas une multi-nationale…” Ce frein est typique de l’indépendant ou du gérant de TPE et on le comprend. Après tout, tellement de choses sont à faire sur son site internet ou sur d’autres sujets. On a souvent l’impression d'avoir besoin d'une kyrielle d'employés pour mener tous les sujets de front. Mais un sujet qui bien traité et bien suivi fait gagner du temps et de l’argent, n’est-ce pas un sujet qui mérite d’être considéré ? Pourquoi ajouter du contenu sur son site web ? La question n’est plus de savoir quoi ajouter sur son site internet, nous venons de le voir. Mais pourquoi ajouter du contenu sur son site web. L’ajout de contenu sur son site internet répond à 4 objectifs fondamentaux de stratégie marketing : Optimiser son site internet pour les moteurs de recherche et en particulier Google. C’est en pratique un des points fondamentaux du SEO. Une bonne  stratégie basée sur des champs sémantiques et des mots clés cibles est importante. Si cette stratégie est associée à un plan de diffusion, le site web va gagner en référencement. Ainsi qu'en positionnement sur des termes de recherche spécifiques. L’objectif est orienté sur le référencement naturel, sur l'acquisition.   Offrir du contenu de qualité pour ses visiteurs Le site internet va être visité. En mettant régulièrement son contenu à jour, le site internet a des chances d’apporter de la valeur au visiteur. Puisqu’il risque de tomber sur un point qui va l’intéresser. De plus, le visiteur va passer du temps sur le site. Il va naviguer à l’intérieur, ce qui va contribuer d'autant plus au référencement naturel du site web. L’objectif est orienté sur le positionnement de l’image de marque.   Faire valoir son expertise Ajouter du contenu sur son site internet avec des articles métiers valorise le savoir-faire de l'entreprise. Cela montre aux moteurs de recherche comme aux visiteurs que le sujet est maitrisé. L'indépendant ou la TPE maximise ses chances de faire autorité sur le sujet. L’objectif est orienté sur le fait de rassurer et de donner de la confiance au visiteur.   Générer des nouveaux leads entrants Un des objectifs important de l’indépendant ou du dirigeant de TPE est que son site internet génère “naturellement” des nouvelles demandes de contact ou de devis. L’objectif est un retour sur investissement. La méthode MG Mobile pour ajouter du contenu sur son site web en 3 points clés Nous avons compris pourquoi faire vivre son site internet est important. Voici les 3 points clés que l’agence MG Mobile a identifié pour les indépendants et les dirigeants de TPE.   Comprendre, Analyser, Planifier Nous planifions avec notre spécialiste en référencement naturel un entretien d’une heure. Pour comprendre les objectifs du site internet que l’indépendant ou le responsable de la TPE s'est fixé. En fonction des objectifs du site web, nous analysons les mots clés cibles qui correspondent. Cette analyse met en évidence les mots clés recherchés avec leur trafic mensuel et leur niveau de difficulté. Ce qui permet de prioriser les mots clés les plus accessibles. Ces mots clés prioritaires sont utilisés pour planifier une diffusion de dix contenus. Ils serviront à mettre à jour sur le site internet afin de faire vivre le site internet. L’indépendant ou le responsable de la TPE doit choisir la fréquence de publication. Elle peut être hebdomadaire, bi-hebdomadaire ou mensuel.   Rédiger un article web Les mots clés sont connus, la stratégie est en place et la tactique est définie. Il reste encore à produire le contenu qui va faire vivre le site web. Pour cela nous avons deux possibilités. La première possibilité consiste à former pendant une demi-journée l’indépendant ou le responsable de la TPE à la rédaction de contenu web. La rédaction de contenu est devenu au fil des années un travail de professionnel. Pour rester autonome, il est recommandé de recevoir une formation. La seconde possibilité consiste à passer par un rédacteur web professionnel.   Suivre et mesurer les résultats Une fois que la production est lancée, la prochaine étape consiste à suivre les résultats et l’efficacité des contenus publiés.   Pour cela nous organisons un rendez-vous mensuel avec l’indépendant ou le dirigeant de la TPE. Nous préparons un reporting détaillé afin de s’appuyer sur les faits réels. Puis nous discutons de la suite de la stratégie pour continuer à faire vivre son site internet. Ça me plait mais combien ça coûte ? Plusieurs prestations sont nécessaires pour faire vivre son site internet. A cet effet nous vous invitons à nous contacter pour voir ce qui vous intéresse afin d’avoir un devis rapide.

21 Juin 2021

Pourquoi la fiche d’établissement Google My Business est importante ?

Qu’est-ce que Google My Business ? Google My Business est un service d’annuaire en ligne développé par Google. Il permet aux entreprises et organisations de présenter leurs activités pour aider les clients à les trouver mais aussi pour mieux expliquer à Google votre business. Cet outil génère une fiche d’établissement où l’on y trouve les informations essentielles de l’entreprise : courte description, localisation, photo, avis client, horaires d’ouverture, téléphone... Cela vous permet également d’apparaître dans Google Maps. Google My Business est donc un moyen de gagner en visibilité sans dépenser d’argent. Pourquoi est-ce important d’avoir sa fiche Google My Business ? Cet outil est très apprécié des internautes car la fiche d’établissement de l’entreprise s’affiche en au dessus des résultats de recherches. 96% des internautes utilisent internet pour faire leurs recherches et cette fiche leur permet de se renseigner rapidement, ce qui améliore leur satisfaction.  Sur mobile, il suffit à l’utilisateur de cliquer sur l’adresse pour démarrer l’itinéraire sur Google Maps, ou bien de cliquer sur le numéro de téléphone pour déclencher un appel. Toutes ces fonctionnalités sont faites pour faciliter la recherche des internautes en réduisant au maximum le parcours utilisateur (donc nombre de clics). Google My Business est également essentiel pour le référencement local. En effet, Google affiche dans les résultats de recherches une carte avec seulement 3 ou 4 résultats et pour y apparaître, il faut soigner son référencement local et l’une des étapes est de soigner sa fiche d’établissement Google My Business. En plus de lire et de répondre aux avis clients, Google My Business vous permet également d'interagir avec vos clients grâce à la fonction Poser une question. Présenté sous forme de chat, cette fonctionnalité vous permet de répondre aux questions, de partager des photos, des réalisations, des actualités... Google affirme que les entreprises qui ajoutent des photos à leur page Google My Business reçoivent 42% plus de demandes d’itinéraires sur Google Maps et plus 35% de clics vers leurs sites Web – que les entreprises qui ne le font pas. A tout cela s’ajoute une partie statistiques qui vous permet de savoir comment les utilisateurs recherche votre entreprise et d’où il viennent. Vous pouvez également connaître le nombre de personne qui vous ont appelé depuis le numéro affiché sur la fiche d’établissement… Tout ceci vous aide à mieux comprendre vos clients et à développer votre présence sur Google. Comment ça marche ? Vous souhaitez créer votre propre fiche d’établissement Google My Business pour votre site internet ? L’optimiser au mieux pour gagner en visibilité sur le web ? Faites appel à notre expertise pour développer votre business en ligne.

18 Juillet 2019

Quels sont les modèles économiques du web ?

Google, Facebook, Wikipédia, Youtube… ces sites sont parmi les plus visités au monde et ils sont tous gratuits au premier abord. C’est aussi le cas pour bon nombre de médias en ligne, de blog, de sites de streaming...  Alors, comment font-ils pour gagner de l’argent, ou tout simplement pour payer leurs infrastructures ? Quels sont leurs modèles économiques ?   Qu’est-ce qu’un modèle économique ? Un modèle économique ou business model décrit les principes selon lesquels une organisation crée, délivre et capture de la valeur. Le modèle économique d’un site web ou d’une application mobile est tout simplement le moyen qu’ils ont de gagner de l’argent. Il existe cinq formes principales de monétisation : marchand publicité freemium place de marché don   Les différents modèles économiques du web Modèle e-marchand   Ce modèle d’affaires s’applique aux sites marchands et aux boutiques en ligne. Ces sites ont la particularité de vendre en ligne des produits, services ou contenus. Les sites dit “transactionnels” génèrent des profits en fonction des ventes en ligne enregistrées.   Modèle d’affiliation Ce modèle s’applique aux sites marchands.Ceux-ci s’adressent à d’autres sites afin que ces derniers affichent du contenu publicitaire (bannière, lien…) dans le but de lui envoyer des acheteurs potentiels. Les sites affichant de la publication deviennent des affiliés et sont rémunérés avec un pourcentage de commission sur les ventes ou le trafic généré.   La publicité C’est le modèle le plus répandu, il est fondé sur une monétisation de l’audience par la publicité. Le site monnaye le nombre de pages vues et le temps passé par les utilisateurs.   L’affichage Fondé sur l’affichage (display), ce modèle est une transposition du modèle classique de la publicité. Il s’appuie sur des régies publicitaires qui répartissent des bandeaux publicitaires sur des sites. Le ciblage offert aux annonceurs est thématique (espaces ciblés pour les femmes, les amateurs de sport…) avec une volonté d’aller vers des formes plus élaborées de profiling. La tarification est fondée sur le CPM (coût pour milles affichages). Le CPM peut varier selon le régisseur et la taille de la bannière mais il est en moyenne de 1€.   Le matching publicitaire   Le cookie matching consiste à ce que le site de chaussures et la bannière publicitaire s’échangent les noms des cookies à travers des petits programmes informatiques (script envoyant des requêtes) afin d’identifier qu’Isabelle correspond au cookie ISA-125 pour le site de chaussures et PYB-89 pour la bannière publicitaire.   Le modèle Freemium Le principe du Freemium est fréquent : l’utilisation des services/fonctionnalités de base est gratuite, l’accès aux services/fonctionnalités premium est lui payant. Ces services premium peuvent-être liés à la vente d’un abonnement (c’est le cas de Flickr), ou bien de services ponctuels associés permettant d’enrichir l’expérience de l’utilisateur (vente de biens virtuels, accès à de l’information supplémentaire sur LinkedIn, par exemple).   La place de marché Ce modèle repose sur le prélèvement d’une commission sur les transactions organisées par le site. La plateforme organise la rencontre d’un grand nombre d’offreurs et/ou de demandeurs de biens et de services et ses revenus sont proportionnels aux transactions effectuées. Exemple : Ebay   Le don Le dernier modèle de collecte de ressource est fondé sur le don et le bénévolat, souvent associé au refus de la publicité et de la vente des contenus. L’exemple emblématique en est Wikipédia, l’encyclopédie libre ; on peut aussi mentionner la plateforme de blogs WordPress.   Trouver un modèle économique gagnant consiste à identifier le mode de fonctionnement de votre entreprise. Sur le web, le principe de l’affiliation (revenus de la publicité) est en général insuffisant pour devenir rentable. Vous devrez, dans tous les cas, identifier un élément à valoriser, à vendre ainsi que des spécificités pour attirer votre cible de clientèle et vous différencier sur le web.  

29 Avril 2019

Pourquoi faire un prototype avant de développer un site web ou une application mobile ?

Qu’est-ce qu’un prototype ? Par définition, un prototype est le premier exemplaire d’un produit industriel. D’abord utilisé dans la création de logiciels lourds, cette technique est aujourd’hui recommandée par les professionnels du web. En effet, c’est un étape indispensable dans le métier d’un UX designer. Cette méthode consiste à élaborer des prototypes de l’interface finale d’un site web ou d’une application mobile. Il existe plusieurs niveaux de réalisation, du plus grossier (zoning, croquis) au plus élaboré (wireframe, mockups). C’est à vous de choisir lequel sera le plus pertinent suivant votre projet ou son état d’avancement. Les différents types de prototypes Maquette, mockup, wireframe, zoning, prototype… plusieurs termes que beaucoup confondent faute de définition claire. Voici donc une définition simple de chacun d’eux, cela devrait vous éclairer.   Le zoning : c’est la méthode de conception la moins élaborée, elle consiste à schématiser une page sous forme de blocs de contenu grossier afin de déterminer l’organisation de la page et de son contenu. L’arborescence fonctionnelle : il s'agit de représenter visuellement les imbrications et les connexions entre les différents gabarits composants le support interactif, ce qui revient à en illustrer le fonctionnement. Ce n'est pas à proprement parlé une méthode de conception, mais plus une vision de l'activité, qu'il faut questionner. Le wireframe : se fait généralement après le zoning et permet d’intégrer le vrai contenu de la page afin de montrer les fonctions de celle-ci. Son objectif est avant tout fonctionnel. Le mockup : c’est tout simplement un wireframe transformé en page HTML. Il permet de se projeter, car une fois la page dynamique on peut naviguer entre les pages, tester des formulaires… La maquette : c’est pareil que le mockup...avec des couleurs. Son but est de permettre de se projeter et de tester aussi bien le fond (le contenu) que la forme (le design). En ajoutant les bonnes couleurs et les bonnes images, vous pourrez avoir un aperçu plus réaliste de votre futur site ou application. Le prototype : permet de se focaliser sur le fond en testant les fonctionnalités. Il permet de décider avec quelles technologies les informations seront affichées, quel langage il faudra utiliser… Son but est avant tout fonctionnel. Un prototype est généralement unique (soit abandonné par la suite, soit fait pour évoluer), contrairement aux wireframes et maquettes qui peuvent être multiples. Pourquoi faire un prototype ? Maintenant que vous connaissez la différence entre toutes ces techniques, il est temps de se pencher sur la question du pourquoi. Pourquoi est-il si important de faire un prototype ? Pourquoi ne pas développer sa plateforme directement sans passer par toutes ces étapes ?   Il est primordial de faire un prototype car celui-ci servira de base à la phase de conception de votre site ou de votre application mobile. Suivant le projet, il sera parfois nécessaire de faire tester l’interface à des utilisateurs réels afin d’être sûr qu’elle est user friendly, c’est à dire qu’elle est compréhensible, agréable et facile d’utilisation pour les utilisateurs. Sachez qu’il est beaucoup plus coûteux, long et frustrant de faire des changements dans le code plutôt que dans la conception. Les avantages du prototype sont multiples : Il favorise la définition du périmètre fonctionnel de votre projet Il permet de présenter aux utilisateurs une vrai interface sur laquelle ils vont pouvoir réagir Il permet de se concentrer sur le fond (contenu, fonctionnalités…) sans être distrait par la forme (couleur, image…) Il facilite l’évolution de l’interface proposée au départ, afin qu’elle corresponde le mieux possible aux attentes et besoins des futurs utilisateurs Il permet de corriger ou valider des choix (techniques, fonctionnels) avant de commencer le développement technique. Les outils de prototypage Il existe plusieurs outils qui permettent de créer différents types de prototypes comme par exemple Balsamiq, Adobe XD, Axure, Wireframe CC, MockingBird, Moqups, UXpin, InVison… Ces logiciels ou plateformes en ligne permettent de créer des prototypes très facilement : certaines se gèrent en cliquer-glisser, d’autres nécessitent quelques connaissances informatiques. La plupart d’entre eux sont gratuits ou proposent une version Freemium, mais si vous souhaitez créer des prototypes avancés, il faudra acheter un logiciel ou souscrire à un abonnement sur l’une de ces plateformes.

12 Avril 2019

Quelles sont les tendances SEO pour 2019 ?

  Google n’a qu’un seul objectif qui est celui de répondre aux besoins de ses utilisateurs. Avec plus d’1,4 milliards de sites internet dans le monde, Google est obligé de faire un tri et a pour cela établit des règles de référencement naturel qu’il faut respecter si l’on veut apparaître parmi les premiers résultats. Ces règles étant en perpétuel changement, il faut s’informer régulièrement des exigences de Google. Voici donc 7 tendances SEO pour 2019.   Tendance SEO n°1: l’intention de recherche 2019 annonce un grand changement en matière de référencement: les mots-clés sont de moins en moins importants. Quelques mots-clés dans un article de blog ne suffise plus, Google considère également le but de la recherche. Pour être précis, Google veut montrer exactement ce que l’utilisateur recherche. L’intention qui sous-tend l’utilisation des mots clés sera de plus en plus privilégiée à l’approche de 2019. Il faut donc se mettre à la place de l’utilisateur et faire des recherches afin de produire du contenu de qualité qui répondra à sa demande voir même plus si on lui soumet des informations complémentaires sur le sujet auxquelles il n’aurait pas pensé. Tout ça dans le but de satisfaire l’intention de recherche qui est de plus en plus prise en compte par Google.     C’est formidable de satisfaire l’intention de recherche, de renforcer l’engagement et d’augmenter notre classement sur les moteurs de recherche. Les performances et la sécurité des sites web sont des tendances SEO majeures qu’il faut prendre en compte. Il est très important d’optimiser au mieux son site web. En effet, les sites web nécessitant un temps de chargement supérieur à 2 secondes seront pénalisés. Google AMP a été développé pour fournir un chargement presque instantané de sites web. Par conséquent, la vitesse de votre site en 2019 sera toujours épiée. Voici 3 conseils pour améliorer la vitesse de chargement de votre site web: Optimiser  le poids des images : utiliser des formats adaptés pour la navigations du type .JPG, .PNG ou .GIF et les compresser pour qu’elles soient le moins lourdes possible Utiliser le moins de plugins possibles : principalement pour les utilisateurs WordPress, ajouter des plugins est plus simple pour créer son site internet mais alourdit considérablement le poids de la page et donc son temps de chargement. Ne garder que ceux qui sont vraiment nécessaires. Avoir un hébergeur de qualité : pour avoir un site qui s’affiche vite tout le temps, il est impérativement nécessaire d’avoir un bon hébergeur à sa disposition, un qui assure stabilité, puissance, disponibilité, et sécurité. Il n’existe pas de secret pour cela, il faut mettre un minimum de budget.   Tendance SEO n°2: l’optimisation du contenu vidéo (VSEO) L’optimisation du contenu vidéo est l’une des tendances SEO les plus importantes en 2019. En effet, le contenu vidéo dépassera tous les autres types de contenus avec une consommation de plus de 85%. C’est pourquoi les annonceurs utilisent la vidéo comme outil marketing majeur. Il est donc important d’optimiser au mieux le contenu vidéo afin qu’il réponde aux normes des moteurs de recherche. Attention de ne pas oublier de bien référencer le contenu vidéo sur mobile car l’audience de celles-ci ne cesse de croître.     Comment référencer efficacement une vidéo sur votre site ? Mots-clés: faisant partie de votre stratégie SEO, quelque soit le contenu, ceux-ci doivent être choisis avec soin pour être cohérents et pertinents avec le thème de votre vidéo. Ils doivent également apparaître dans les métadonnées du contenu : titre et sous-titres, balises title et meta description, légende et/ou description, étiquettes (ou tags), notes et/ou liens intégrés dans la vidéo… Conversion: une fois la vidéo consultée, ne laissez pas l’utilisateur partir, dirigez le vers là où vous voulez qu’il aille. La manière la plus efficace est d’utiliser un appel à l’action (call to action) court et bien visible sur la page de la vidéo. Cela vous permettra d’optimiser votre taux de clic et de conversion. Sous-titres: pour gagner du temps, les internautes commencent par regarder les vidéos sans le son et décident dès les premières secondes s’ils poursuivent le visionnage de leur vidéo ou pas. Les sous-titres sont donc essentiels. Ne faites pas confiance aux sous-titres automatiques de YouTube qui sont souvent approximatifs, peu clairs et parfois incohérents. Pensez également à ajouter vos mots-clés dans les sous-titres de votre vidéo. Backlinks ou liens entrants. Ils sont aussi important que le choix des mots-clés. En effet, cela indique aux moteurs de recherche que votre vidéo intéresse les internautes et est de bonne qualité. Pour obtenir ces backlinks, commencez par partager la vidéo à votre réseau professionnel: vos collègues de travail, vos clients, vos prospects… Publiée la vidéo sur les réseaux sociaux vous permettra également d’augmenter la visibilité de celle-ci grâce à son potentiel viral. N’hésitez pas à utiliser un call to action à la fin de la vidéo pour demander aux internautes de la partager.   Tendance SEO n°3: la recherche vocale ou “Voice Search” Quand on sait que la recherche vocale ou “Voice Search” a générée plus d’1 milliard de recherches en janvier 2018 et qu’elle comptera pour près de 50% de toutes les recherches en ligne en 2019, on comprend bien qu’elle fasse parties des tendances SEO pour cette année. Voici quelques statistiques sur la recherche vocale: (Source: La Fabrique du Net) 58% des consommateurs ont utilisé la recherche vocale pour trouver des informations commerciales locales en 2018. 27% visitent le site web des entreprises locales grâce à la recherche vocale. 76% des utilisateurs d’enceintes intelligentes recherchent des entreprises locales une fois par semaine. 53% des utilisateurs font des recherches vocales quotidiennes. Le marché de la reconnaissance vocale atteindra 601 millions de dollars d’ici 2019.   Ces chiffres et les prévisions pour les années à venir nous montrent que la recherche vocale deviendra l’une des méthodes de recherches les plus utilisée. C’est pourquoi, il est important d’optimiser son site internet dans ce sens si l’on ne veut pas être dépassé par ceux qui le feront. En plus d’être rapide et d’améliorer la productivité, la recherche vocale permet l’accès à Internet à un plus grand nombre de personnes. En effet, les aveugles, malvoyants ou tous ceux qui ne peuvent pas utiliser un écran quelqu’en soit la raison peuvent désormais faire des recherches comme tout le monde. Même les illettrés peuvent effectuer des recherches grâce au Voice Search. Il est donc essentiel d’optimiser votre site internet dans ce sens en mettant en évidence des termes tels que “quand”, “où”, “pourquoi”, “comment”... Il faut donc se concentrer sur l’intention de recherche des utilisateurs qui est une des principales tendances de référencement en 2019.   Tendance SEO n°4: l’optimisation du taux de clic (CTR) Si vous souhaitez améliorer votre référencement en 2019, il est très important d’optimiser votre site web pour l’algorithme du moteur de recherche de Google – Rankbrain. Le taux de clics de votre site est un facteur important pour décider si votre contenu est pertinent ou non pour la recherche de l’utilisateur. Il permet d’estimer les performances de vos mots clés. C’est-à-dire que si un utilisateur ne clique pas sur le lien de votre site lorsqu’il apparaît dans résultats de recherches pour un mot clé particulier, Google pense que vous n’êtes pas pertinent pour ce mot clé et va laisser tomber votre classement. Si un mot-clé a été recherché 500 fois par jours et cliqué par 50 visiteurs, le résultat du taux de clics dans le SERP (Search Engine Result Page) sera de 10 %. Un taux de clics élevé suggère que le contenu de votre site attire l’utilisateur car celui-ci répond précisément à sa recherche. En revanche, un taux de clic faible doit inciter à l'optimisation de plusieurs éléments, comme les meta descriptions ou les titres. De plus, il existe la possibilité de créer des rich snippets (en français “extraits enrichis” qui désignent les éléments complémentaires du snippet standard comme l’url, le titre, la description…)  à l'aide d'un balisage approprié des éléments HTML.   Vous pouvez utiliser le CTR pour identifier les mots clés efficaces, et ceux ayant besoin d'être améliorés. Plus vos mots clés sont liés les uns aux autres et à votre activité, plus un internaute sera susceptible de cliquer sur votre site après avoir effectué une recherche sur l'expression concernée. Une des méthodes les plus efficaces pour améliorer votre référencement naturel (SEO) est d’optimiser le titre et la description de vos pages en y insérant des mots-clés. Pour cela vous pouvez vous aider de l’outil Google Adwords pour faire des recherches et trouver les mots-clés les plus pertinents selon votre secteur d’activité. En optimisant vos balises Title et Description vous augmenterez votre taux de clic et gagnerez donc des places dans les résultats de recherches des moteurs de recherches.   Tendance SEO n°5: l’index “Mobile First” 78% de la population possède un smartphone. Plus de la moitié des requêtes en ligne dans le monde sont faites depuis un mobile. Et les usages français suivent la tendance mondiale. Google recommande donc de créer des sites web réactifs de qualité et de les adapter à l’affichage sur mobile car désormais son index principal est celui constitué par son robot mobile, l’index secondaire étant celui récupéré par son robot desktop. Le but étant d’offrir des résultats de recherches plus qualitatifs sur mobile. L’impact étant majeur pour certains qui n’aurait qu’une version “légère” de leur site web sur mobile, Google a fait la première annonce officielle de l’index Mobile First (MFI en anglais) début novembre 2016. Laissant ainsi le temps à certains de refaire leur site ou de l’adapter sur mobile. Ce n’est que le 26 mars 2018 que l’index Mobile First a été mis en place officiellement, mais pour certains site seulement. Ceux qui sont gérés par le MFI sont prévenus par un message via Google Search Console.     Lorsque Google recommande l’indexation mobile en premier, cela ne veut pas dire qu’il n’analyse pas la version desktop, mais qu’il privilégiera les sites responsives, adaptés à tous les supports (ordinateur, tablette et mobile). Selon le porte parole de Google, le déploiement de l’index mobile sera progressif et les sites non responsive ne seront pas pénalisés. Cela est valable à court terme, car la politique du MFI se veut de plus en plus exigeante et sur le long terme un site non responsive sera fortement pénalisé. En effet, Google a prévu de faire cohabiter ces deux index sur 5 ans environ, puis de ne garder de l’index Mobile First. C’est pourquoi avoir une version mobile de votre site internet n’est pas suffisant. Il faut que l’utilisateur puisse y naviguer facilement, sinon il n’hésitera pas à quitter votre site pour en trouver un autre plus rapide d’utilisation. En plus de la réactivité de votre site mobile, il faudra prioriser la vitesse des pages et le temps de chargement de votre site web sur mobile. Pensez également à optimiser le contenu de votre site en réduisant le poids des images et vidéos, en optimisant les fichiers CSS et en activant la compression des fichiers HTML pour augmenter la vitesse de chargement de votre site et proposer une expérience utilisateur satisfaisante.   Tendance SEO n°6: un contenu long Pendant longtemps on a considéré qu’un contenu bref était plus intéressant qu’un contenu long. Ce n’est plus le cas aujourd’hui, un contenu long produit des classements de recherches plus élevés. SerpIQ a mené une étude pour comprendre quelle longueur de contenu obtient le meilleur classement.     Cette étude démontre que la longueur moyenne des posts du top 10 des résultats était de 2300 – 2450 mots, ce qui atteste clairement qu’un contenu long est plus efficace sur les moteurs de recherches.Mais Google ne décide pas du classement de votre site en comptant simplement le nombre de mots. Un des éléments du référencement naturel qui compte le plus est le score backlink de votre site. Les liens entrants vers votre site prouvent la qualité de votre contenu et l’étude menée par serpIQ montre que les contenu long ont plus de chance de générer des backlinks de qualité. En effet, plus votre contenu est utile, plus il sera partagé. Google s’est rendu compte que ses utilisateurs n’aimait pas faire plusieurs recherches pour trouver les réponses qu’ils souhaitent, ils préfèrent tout trouver au même endroit. Un contenu long à donc plus de chance de répondre à ce besoin et c’est pourquoi Google placera ce contenu en tête de classement. Le contenu long est donc une des principales tendances SEO pour 2019.   Tendance SEO n°7: la featured snippet Vous pensiez qu’il n’était pas possible de faire mieux que la première place ? Et bien Google a créer la position 0. Appelée aussi featured snippet, elle correspond à l’encart situé au dessus des liens et qui répond directement à la question posée. En 2018 il suffisait d’être en première position, mais Google a décidé de compliquer les choses pour 2019. L’objectif de la featured snippet est de répondre directement à la question par l’utilisateur sans qu’il ait besoin de cliquer sur un lien. Votre objectif à vous est de prouver à Google que vous avez la réponse que cherche l’internaute. Outre le fait qu’il faut avoir un référencement naturel proche de la perfection, pour atteindre la position 0, il faut anticiper les questions des internautes. Vous pouvez utiliser l’outil Answer The Public pour déterminer les questions les plus fréquemment recherchées et ainsi construire votre page pour y répondre le plus possible. Assurez vous de répondre succinctement à la question en 40-60 mots pour que Google puisse l’afficher dans la featured snippet.     Conclusion Avec les progrès de la technologie, les moteurs de recherches étant de plus en plus intelligents et le changement du comportement des utilisateurs, les règles de référencement sont en constante évolutions. Mais nous connaissons maintenant les tendances SEO pour 2019 à savoir: la prise en compte de l’intention de recherche des utilisateurs, l’optimisation du contenu et principalement la vidéo, la croissance des recherches vocales, l’importance du taux de clic, l’indexation Mobile First, la longueur du contenu de votre site web, la featured snippet, la position 0. Vous avez maintenant toutes les clés en main pour optimiser le référencement de votre site internet et apparaître parmi les premiers résultats de recherches Google.

14 Février 2019

La longueur de la méta description

Début décembre 2017, Google a officiellement changé la limite de caractères de la balise Meta description, passant ainsi de 160 à 320 caractères pour certains résultats de recherches. Revenons sur cette balise et son impact sur le référencement de votre site. Qu’est-ce que la balise Meta description ? Cette balise est primordiale au bon référencement d’un site.  Elle est une description concise de ce qu’est une page web. On la retrouve dans les snippets, les résultats d’une requête sur un moteur de recherche, comme montré ci-dessous en bleu : La Meta description est le premier élément d’information qu’un visiteur a d’un site web. Il est donc très important de la soigner afin d’améliorer le Click Through Rate (CTR) et d’être ainsi mieux répertorié par Google. Plus le CTR d’un site est élevé et plus il remontera dans les résultats de recherches. Depuis décembre, cette description est passée de 160 caractères à 320 (soit environ 1 400 pixels), laissant donc la possibilité de se décrire en 4 lignes. Pourquoi ce changement est important ? La balise Meta description, avec la balise Title, est un des critères de référencement naturel les plus importants. Ce sont les encarts dans lesquels les mots clefs définissant votre site sont le plus pris en compte par Google. Il est donc conseillé de profiter de ces espaces pour mettre en avant des mots clefs et ainsi, avoir plus de chance de remonter dans les résultats de recherche. Attention cependant à ne pas trop répéter un mot clef car le moteur de recherche pourrait considérer cela comme du « spam » et vous désindexer. Une balise meta description plus longue est donc l’opportunité d’indiquer plus de mots clefs et de décrire plus précisément votre site web. Une description précise augmentera vos chances d’avoir des visiteurs intéressés qui resteront sur votre page, ce qui peut avoir un très bon effet sur le taux de rebond (indicateur permettant de connaître le pourcentage de visiteurs qui quittent le site dès lors qu’ils arrivent dessus). Un taux de rebond élevé impacte négativement et considérablement le référencement naturel d’un site. Alors comment optimiser la balise Meta Description ? Quelques règles simples sont à respecter pour avoir plus de chances d’améliorer son référencement grâce à la balise meta description : Ecrire un message clair, qui définit précisément le sujet de votre site web. Réaliser un call to action efficace en employant des verbes d’action et en éveillant la curiosité (Découvrez notre offre, Voyagez au meilleur prix, etc.). Placer des mots clefs efficaces (sans en abuser). 160 ou 320 caractères : faut-il changer sa meta description ? Ce changement majeur ne s’appliquant pas à tous les résultats de recherches, il est important de savoir si les requêtes menant à votre site web sont concernées. Par ailleurs, rappelons que Google peut décider d’afficher un texte de votre site au lieu de votre meta description si le moteur de recherche estime que celui-ci correspond mieux à la requête de l’utilisateur. Pour savoir comment s’affichent les snippets de votre site il faut aller observer le rapport d’ « analyse de la recherche » de la Search Console. Vous saurez ainsi s’il vous est nécessaire de modifier vos meta descriptions. Ces conseils n’assurent pas à 100% un référencement parfait mais y contribuent de manière significative. Vous avez maintenant toutes les clefs en main pour comprendre mieux le référencement naturel et la balise meta description !

09 Mars 2018

Les 3 dernières étapes du growth hacking

Précédemment nous avons vu les 2 premières étapes du chemin de conversion du growth hacking. Maintenant nous allons voir les 3 dernières étapes restant : la rétention, le referral et le revenu.   La rétention : Concernant la rétention, elle permet à une entreprise de garder ses clients près de soi. Les utilisateurs du site deviennent donc des utilisateurs actifs. Pour garder vos clients près de vous, il faut donc les encourager vivement et régulièrement, les recommander de nombreux produits et services à utiliser et les pousser à explorer toutes les fonctionnalités auxquelles ils auront accès. Pour cela vous aurez besoin de quelques bases :    L’inciter à vous suivre sur les réseaux sociaux Envoyer régulièrement des emails Proposer leurs des codes promos, jeux-concours, des offres parrainage Réaliser des enquêtes pour améliorer l’expérience du client Le referral : Le referral est une étape essentielle. Ici l’entreprise identifie ses ambassadeurs potentiels et permet aux utilisateurs actifs de partager facilement leurs expériences auprès d’autres utilisateurs qui sont moins actifs. Ils augmentent donc votre visibilité et multiplie l’arrivée de nouveaux clients potentiels en utilisant plusieurs types d’actions comme : le partage du contenus et la recommandation d’un de vos produits ou services déjà testé ou consommé. Ils font vous faire connaitre auprès de leur réseau personnel votre site ainsi que votre marque.   Le revenu : Dans cette l’étape finale, le client effectue des actions qui vous rapportent de l’argent. Le client choisit donc votre marque parce qu’il a été conquis. Il utilise dès lors vos produits ou services, il n’est plus freiné par le prix pour acquérir ceux dont il a besoin (des options complémentaires, d’autres produits ou services).

01 Août 2016

Les jeux marketing

La croissance des technologies et des usages a métamorphosé la communication des marques. Le jeu marketing est un levier fondamental qui s’adresse à tous en toutes circonstances. Efficace, universel et non intrusif il est fréquemment utilisé pour animer une communauté sur le web. De plus c’est un levier qui s’adapte à tous les secteurs d’activités.   Comment mettre en place un jeu marketing ? - Tout d’abord, il faut déterminer les objectifs de votre jeu : annoncer un nouveau produit, générer des leads ou encore animer votre communauté ect.   - Ensuite définir votre cible potentielle : par rapport aux critères socio-démographiques.   - Et pour finir, choisir son type de jeu qui sera adaptée aux objectifs et à votre cible.   Il existe differents types de jeux tels que : les instants-gagnants, les quiz, les grattages, les tirages au sort, les concours photo et vidéo etc. Toutes ces mécaniques vont vous permettre de communiquer le bon message à la bonne cible au bon moment et avec le bon canal.   Par ailleurs, il est important de ne pas oublier de faire la communication de votre jeu qui est une étape très importante. il faut donc penser à un plan de communication efficace et la maintenir jusqu'à la fin du jeu. La promotion d’un jeu peut se faire sur votre site grâce aux bannières mais aussi sur les réseaux sociaux. De plus ne pas hésiter à décliner aussi votre jeu sur mobile pour avoir un maximum de participants.   La dotation : élément important du jeu marketing  La dotation retient toute l’attention de votre cible. Car c’est l’une des premières motivations qui pousse un internaute à participer à un jeu. Le taux de participants dépend donc directement du ou des lots à gagner. Le choix d’un bon lot de à gagner constitue donc une étape primordiale pour donner un coup de pouce à votre jeu. Attention, cependant des lots prestigieux ne sont pas forcément un facteur de succès, alors souvent il est plus préférable de faire gagner des lots en rapport avec sa thématique. A présent, voici le classement des dotations préférer des Français :   1- De l’argent 2- Des voyages 3- Des produits high-Tech 4- Des voitures 5- Des jeux et consoles 

22 Juillet 2016

La deuxième étape du tunnel de conversion : l’activation

Les petites entreprises qui veulent une croissance extrêmement rapide, utilisent le growth hacking avec ses nombreuses ressources qui lui sont dédiées. Nous allons donc nous intéresser plus précisément à la 2e étape du tunnel de conversion : l’activation. Cette étape regroupe l’ensemble des techniques qui va permettre de faire revenir l’utilisateur sur votre site web par le biais de nombreuses astuces. Le but est de d’enclencher le plus rapidement possible chez l’internaute un désir qui va le pousser et lui donner envie d’utiliser vos produits ou services.   Les leviers d’activation L’objectif final de ce tunnel de conversion est de transformer les visiteurs en utilisateurs, ce qui signifie que vous attendez de leur part une action vers votre site  pour qu’il puisse directement passer vers la phase d’achat. Pour transformer le visiteur en utilisateur, vous devez définir les leviers d’activation qui seront adaptés à votre futur cible. En voici quelques exemples :   - Faire du retargeting : va permettre de faire revenir l’internaute vers votre site. C'est une technique qui permet de cibler un internaute qui a visité votre site Internet sans passer à l’achat.   - Proposer un livre blanc gratuit à télécharger avec une inscription obligatoire.   - Proposer de s’abonner à une newsletter pour recevoir de nombreuses informations concernant les biens ou les services proposés. ​ - Proposer un très bon contenu à forte valeur ajoutée qui va déclencher un déclic et par la suite l’inciter à se créer un compte. Cependant, il est aussi possible de lui permettre de créer ou de se connecter à un compte avec les réseaux sociaux. Cela constitue un véritable gain de temps qui va vous permettre de récolter de nombreuses informations le concernant.   - Proposer des offres spéciales ou des codes de réduction.   - Faire de l’A/B testing : cette méthode permet de tester et d’évaluer les performances d’une ou de plusieurs versions  totalement différentes : d’emails, de lettres commerciales, de pages web, de formulaires etc. La version la plus efficace est ensuite utilisée sur l’ensemble des visiteurs. ​ - Proposer des questionnaires courts : pour que le visiteur ait le temps de le remplir.   Analyse des KPI (Key Performance Indicator) Après avoir choisi un ou plusieurs leviers d’activation, il ne vous reste plus qu’analyser leurs performances pour voir ce qui a le mieux fonctionner ou le moins fonctionner dans le tunnel de conversion : c'est à dire ( A quel endroit perd-t-on des visiteurs et pourquoi ?). Cette analyse peut se faire grâce notamment aux indicateurs clés de performances :   Le nombre de pages vues en moyenne Le taux de rebond : le pourcentage des personnes qui ne visitent qu'une seule page avant de quitter le site   Le taux de conversion:  le pourcentage des personnes qui ont entrepris une action sur votre site  Le nombre de visiteurs réguliers La durée moyenne des visites d’une ou de plusieurs pages Le taux de clic : le pourcentage de personnes qui ont cliqué sur une de vos pages  etc...   L’aide des indicateurs clés vont vous permettre d’évaluer les endroits qui bloquent et qui empêchent la transformation du visiteur en utilisateur.

15 Juillet 2016

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