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Application mobile

A l’heure où le mobile a pris le pas sur les ordinateurs, il est primordial de penser sa stratégie digitale avec les applications mobiles. Nos applications mobiles sont conçues pour Android et iOS afin de recouvrir tous les stores.

Le top 5 des fonctionnalités des applications mobiles les plus demandées :

-
Géolocalisation.
-
Push notification.
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Accès aux images.
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Paiment mobile.
-
Signature électronique.
Infographie 1 Application mobile

Les applications mobiles sont développées pour les technologies des smartphones :

En 2017 App Store comptait
2,2 millions
d'applications mobiles
Icone iOS
En 2017 Play Store comptait
2,8 millions
d'applications mobiles
Icone Android
Infographie 2 Application mobile

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Géo localisation sur applications mobiles : utilisation pour Android et iOS

Qu’est-ce que la gestion de la localisation sur application mobile ?La localisation sur application mobile est une fonctionnalité importante car elle permet de donner de la valeur ajoutée à de nombreuses applications mobiles qui utilisent cette fonctionnalité comme fonction primaire ou secondaire.Par exemple, des applications mobiles comme Tinder ou Google Maps n’ont pas de sens sans la connaissance de la position de l’utilisateur.En revanche, d’autres services mobiles utilisent la localisation comme secondaires, cela apporte une valeur ajoutée mais ne remet pas en cause le concept du service.Par exemple, une application mobile comme facebook demandera à avoir accès à la position de l’utilisateur pour permettre à ses amis de savoir s’ils sont à proximité mais si les utilisateurs ne l’autorisent pas, cela ne change pas l’objectif premier d’utilisation de l’application.À partir de là, il est important de noter que la demande d'autorisation d’accès à la position d’un smartphone requiert quelques connaissances pratiques et techniques puisque l’accès à la position est spécifique à chaque système d’exploitation iOS et Android.La gestion de la géolocalisation sur iphoneSur iphone et donc sur son système d’exploitation iOS, la géolocalisation fait appel à une combinaison de deux notions.La première notion concerne l’activation de l’accessibilité au service de localisation de l’iphone, accessible depuis les paramètres de l’iphone.La seconde notion concerne l’autorisation du partage de la position dans l’application mobile, accessible depuis les réglages de l’application mobile soit dans l’application mobile directement soit dans les réglages de l’application mobile en passant par les paramètres de l’iphone.Il existe plusieurs combinaisons possibles sur iphone que nous allons détaillées.Qu’est-ce que le service de localisation sur iphone?Le service de localisation sur iphone est un paramètre de confidentialité des réglages de l’iphone. Si le service de localisation est activé, cela signifie que les services mobiles qui y sont associés peuvent demander ou autoriser la géolocalisation de l’iphone, et donc de son propriétaire s’il est à côté de lui.Si le service de localisation est désactivé, cela signifie que les services mobiles qui font appel à la géolocalisation ne fonctionnent pas. Pas tant que cette confidentialité n’est pas activée ou réactivée.Le service de localisation est donc un préalable obligatoire sans quoi la géolocalisation ne pourrait pas fonctionner et sa gestion est indépendante de l’application mobile puisqu’elle se gère directement dans les paramètres de l’iphone.Qu’est-ce que l’autorisation de partage de la position dans l’application mobile sur iphone ?Une fois que le service de localisation de l’iphone est actif, alors l’application mobile peut afficher à n’importe quel moment dans l’application mobile la popup system pour demander l’autorisation d’accès à la position. Selon les versions iOS, il est proposé plusieurs choix qui sont en général :toujours : l’iphone est géolocalisé lorsque l’application est ouverte et ferméeautoriser lorsque l’application est active : l’iphone est géolocalisé à chaque fois que l’application est ouverte. demander la prochaine fois ou lors de mon partage : c’est l’utilisateur qui accepte de reporter le choix d’accès à sa position..refuser : le partage de la position n’est pas actif.Ces choix sont évidemment modifiables dans les réglages de l’application mobile.Quand afficher la popup system d’autorisation d’accès à la position dans l’application mobile iOS ?Ce choix est primordial car sur iOS vous n’aurez le droit qu’à une seule fenêtre de tir pour afficher cette popup system. En effet, Apple considère que l’application mobile ne doit pas spammer l’utilisateur avec cette demande d’autorisation.Il existe cependant une technique pour orienter l’utilisateur vers une modification de son choix, vous pouvez contacter un spécialiste MG Mobile pour en savoir plus.Que signifie réellement accéder à sa position sur iphone ?Il existe deux modes d’accès à la position lorsqu’elle est activée :la position exact, c’est assez précis avec les données GPSla position approximative : c’est une option qu’il est possible d’activer dans les réglages de son iphone. Les applications mobiles peuvent uniquement déterminer une position approximative, qui se situe en général à moins d’1km de sa position exacte.La gestion de la géolocalisation sur AndroidLe système d’exploitation Android, qui est installé sur plusieurs constructeurs de téléphones et donc sur plusieurs modèles, fait appel à une combinaison de trois notions pour la gestion de la position du smartphone. C’est un système plus complexe à gérer que sur iphone.La première notion concerne l’activation de la position du smartphone.La seconde notion concerne la popup system d’activation de la position.La troisième notion concerne la popup system d’autorisation à l’accès à la position par l’application mobile.Qu’est-ce que l’activation de la position sur Android ?La position sur Android est un réglage du téléphone pour activer ou désactiver l’accès à la position du smartphone. Si c’est désactivé, l’application mobile ne pourra pas déterminer la position en temps réel même si c’est autorisé dans les réglages de l’application mobile.Qu’est-ce que la popup system d’activation de la position sur Android ?Cette popup system est matérialisé par une question “Pour une expérience optimale, activez la localisation de l’appareil, qui utilise le service de localisation de Google” et deux choix possibles : “OK” ou “non merci”Elle s’affiche nativement à chaque fois que l’application mobile appelle l’accès à la position et que la position smartphone est désactivée. Contrairement à iOS, Android peut spammer l’utilisateur alors que sur iphone si la position est refusée une fois, ce n’est pas autorisé de soumettre à nouveau l’activation de la position system.En cas de clic sur “OK”, c’est comme un raccourci vers les réglages du smartphone.Qu’est-ce que la popup system d’autorisation d’accès à la position par application mobile ?Une fois que la position est activée sur Android, l’application mobile peut appeler la popup system d’autorisation de partage de la position avec comme possibilités: Autoriser seulement si l’appli est en cours d’utilisation : le partage de la pasitione est fonctionnel lorsque l’application est ouverteToujours demander : À chaque besoin de la position, la popup est appelée pour vérifier auprès de l’utilisateur sa préférence de partage de positionNe pas autoriser : la position n’est pas partagée à l’application mobile et cela reste modifiable depuis les réglages.

Le badge d’icone d’application mobile: utilisation pour Android et Apple.

Le badge d’icône d’application mobile est un rond en haut à droite de l’icône d’une application mobile qui est installée sur le smartphone de l’utilisateur, depuis son écran d’accueil. Ce badge, ou encore appelé pastille, a pour utilité de montrer au propriétaire de son smartphone qu’il a des notifications en attente, c’est-à-dire des actions en attente de traitement. Dans le langage marketing, cela contribue à favoriser la rétention de l’audience cible de l’application mobile, dans le langage sociétal, cela contribue à augmenter le temps passé par les utilisateurs le nez rivé dans leur outil favori qu’est leur smartphone. En règle générale, les gens n’aiment pas laisser traîner des informations “en attente de lecture”, un peu comme si derrière chaque attente, une bonne surprise pouvait advenir. Plusieurs études ont déjà mis en évidence l’effet “dopamine” de ce type de fonctionnalité. Il s’agit donc ici d’un sujet plus sérieux qu’on ne le croirait ! Ceci étant dit, sur un plan technique, la gestion du badge d’icône dans un projet d’application mobile n’est pas aussi simple que la relative discrétion du rond sur l’icône d’une application mobile le laisserait penser. Pourquoi ? Car cette gestion fait partie des différences que nous avons entre les deux systèmes d’exploitations Android et iOS.   Le badge de notifications pour Android Généralement, Android appelle cela le badge d’icône de notification pour application mobile. “Généralement” car Android est utilisé par plusieurs constructeurs de smartphones et chacun y va de sa surcouche system et donc possiblement de son appellation dédiée. Ce principe va s’appliquer pour le reste de la gestion sur Android où l’affichage peut varier d’un smartphone à un autre, sans réelle homogénéité du system. Ceci dit, et en partant de la solution de gestion d’envoi de push notification wonderpush que nous maîtrisons, voici les possibilités offertes pour savoir quand et comment afficher ce badge d’icône de notification pour Android.   Quand afficher le badge d’icône de notification pour Android ? Sur Android, la règle est finalement unique et simple : le badge apparaît lorsque l’on reçoit une push notification, dès lors que l’affichage des notifications est autorisé dans les paramètres system de l’application mobile, ainsi que dans les paramètres in-app si c’est proposé par l’application mobile en question. Si l’affichage des notifications est autorisé, alors le badge est affiché jusqu’à temps que cette notification soit consultée ou bien supprimée. Et ainsi le système s’incrémente et se décrémente en fonction des notifications cliquées. En précisant cliqué, peu importe si l’information est lue ou pas in-app.   Comment afficher le badge d’icône de notification pour Android ? Souvent on nous demande le chiffre ou bien une couleur spécifique ou bien les deux en même temps ! Ce qu’il faut savoir, c’est que plus on touche au system, moins c’est personnalisable. Surtout en associant cela à une solution tierce comme wonderpush. En l'occurrence, il est possible de configurer l’apparition du chiffre mais pas la couleur, qui est géré par la couche Android du smartphone. Et en réalité, comme expliqué, même avec cette configuration, nous pouvons avoir des cas différents selon les terminaux utilisés avec ou sans chiffre et couleurs différentes. L’idée est de s’en faire une raison et de ne pas se formaliser : on ne peut pas imposer la même loi à tous les constructeurs. Sinon il faut faire comme Apple qui dispose d’un système d'exploitation, pour un seul modèle : l’iphone.   La pastille de notification pour iphone Contrairement à son homologue Android, sur iOS nous rencontrons plus spécifiquement l’appellation “pastille d’icône” pour désigner le badge. L’avantage sur iphone, c’est que les disparités sont beaucoup plus rares selon les modèles, disons qu’il n’est pas exclu qu’entre telle ou telle version iOS nous puissions tomber sur une différence d’interprétation. Quand et comment afficher le badge d’icône de notification pour iphone ? Contrairement à Android, vous allez comprendre pourquoi ces deux questions n’en font qu’une seule. Sur iOS, la pastille s’affiche que s’il on a un chiffre dedans ! Pour la couleur c’est du rouge.   Quoi afficher comme chiffre dans la pastille de notification sur iphone ? Cela nous amène à une nouvelle question sur laquelle nous pouvons personnaliser, contrairement à Android. La règle de calcul est vraiment au choix, le tout étant de garder une cohérence avec le contenu in-app. Par exemple, dans un système de messagerie instantanée, vous pouvez choisir d’afficher le chiffre de message non lus, jusqu’à temps qu’ils soient vraiment lus.   A quel moment choisir la règle pour le badge d’icône de notifications dans son projet d’application mobile ? Tout d’abord, le premier conseil est d’être accompagné par un spécialiste du développement d’applications mobile comme MG Mobile afin de vous expliquer comment cela fonctionne, pour bien intégrer le fait que suivant Android ou iOS, les comportements sont différents. Bien souvent, les humains ont des biais de simplifications en partant du principe que la partie immergée de l’iceberg (ici le badge ou la pastille) est la norme alors les détails se cachent dans la partie submergée de l’iceberg. Donc, d'abord savoir et comprendre, lors de la réalisation des spécifications du projet, souvent au moment de la réalisation des maquettes de l’application mobile, ce qu’il est possible de faire afin de décider la règle dans le cahier des charges fonctionnelles. Idem en méthodologie agile, étant sur un temps plus court de conception et de réalisation, la phase de compréhension des possibles est primordiale. Ensuite, pour choisir surtout le “quoi afficher'', cela reste des choix produits sur lesquels la technique va se déployer.   Y a t-il un bon ou un mauvais choix pour la pastille de notifications sur écran d’accueil ? Il n’y a de mauvais choix que l’absence de choix ! Pour l’anecdote sur un projet client, nous passions énormément de temps à trouver la meilleure cohérence possible sur les chiffres entre Android et iOS alors que finalement, tout ce qui importait réellement pour le client, c’était que quelque chose s’affiche pour les utilisateurs finaux, peu importe la couleur ou le chiffre. Et que cela soit réellement fonctionnel, c’est-à-dire que si un badge ou une pastille est affiché, alors du contenu est en attente in-app. Moralité : il faut creuser le véritable objectif sur des fonctionnalités avec des comportements disparates afin de prioriser et de trancher entre ce qui est important et ce qui l’est moins.

Mise en conformité RGPD : l'agence, l'avocat et le quiz

Lever les yeux au ciel en expirant ou regarder ses pieds en esquivant les regards… faites le test de poser la question fatidique “Qui parmi vous est en conformité RGPD” et vous aurez majoritairement ces deux attitudes d’esquives. En même temps, c’est normal, car le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD ou GDPR pour les anglais General Data Protection Regulation) est une toute fraîche réglementation sortie du droit européen pour imposer aux nations une nouvelle façon de faire pour la protection des droits des personnes et des libertés individuelles en rapport avec le digital. Terminée la sacro-sainte formalité de déclaration à la CNIL - loi informatique et liberté qui date de 1979 soit dit en passant - n’était-il en effet pas temps de réformer la protection des données personnelles quand on voit ce que les entreprises en font lorsque ce n’est pas encadré ? Libéralisme effréné au risque de compromettre la protection des droits des citoyens et de leurs données personnelles ou bien échanges plus ou moins régulés dans un monde civilisé dans lequel les entreprises peuvent commercer de façon plus éthique et conventionnelle. Finalement, sans s’en rendre trop compte, nous sommes passés dans une nouvel ère, sobrement appelée ère post-RGPD, on pourra dire dans 20 ans qu’on y était, et on pourra voir si cette évolution aura été bénéfique pour la protection des données personnelle des individus.   Présentée comme cela, pourquoi les gens font l’autruche sur la mise en place de la conformité RGPD ? Plusieurs raisons à cela. Tout d’abord c’est un sujet assez technique. Si chacun a essayé de comprendre de quoi le RGPD retourne, tout le monde a saisi qu’il s’agit de protection des données personnelles, oui mais c’est-à-dire ? Il suffit de survoler les documents que la CNIL met à disposition pour être perdu. C’est long et on ne comprend pas bien à la première lecture. Demandez à un chef de produit, un commercial ou à un développeur de lire 257 pages sur la protection des données personnelles, on ne donne pas cher de votre peau ! Ensuite, le RGPD pour la protection des données personnelles amène son lot de termes dont on ne serait bien passé : registre des traitements, PIA, DPO, cartographie, des mots qu’on n’arrive même pas à traduire en français comme “accountability” ou “privacy by design”, ou encore des mots qu’on cherche dans le dictionnaire comme “licéité”, il faut vraiment s’accrocher pour garder des survivants dans les entreprises pour prendre le sujet du RGPD à bras le corps.   Pour ces rares survivants, que comprennent t-il ? Ils saisissent que le RGPD n’est pas l’affaire d’une seule personne mais d’un collectif. Par facilité, certains renverraient simplement la patate chaude au DSI, au DAF, au département juridique, enfin à quelqu’un d’autre du type “PI. A mettre en place asap”. Sauf que ce n’est pas aussi simple. Pour une mise en conformité RGPD en bon et dû forme, rien de tel que la complémentarité d’un ensemble d’acteurs qui sont : le chef de produit, le responsable technique, le responsable juridique ou l’avocat spécialisé en droit de la propriété intellectuelle ou du RGPD, le tout piloté par le bien nommé Délégué à la Protection des Données (DPO). Enfin, tout dépend du type d’entreprise, de sa taille, de son influence, cependant qu’il s’agisse d’employés ou de sous-traitant, ces acteurs doivent travaillent en étroite collaboration pour lancer la mise en conformité RGPD et rentrer “dans les clous”. Car s’il y a bien quelque chose que les chefs d’entreprise ou tout un chacun a bien saisi du premier coup, c’est le risque encouru en cas de non mise en conformité RGPD. Soit 4% de son chiffre d’affaires (sur 1 année) dans la limite de 20M d’euros d’amende.   En tant qu’agence digitale, nous avons tout d’abord audité notre propre système de traitement des données personnelles et mis en place un plan de route vers une mise en conformité.   Nous avons également un devoir de conseil envers nos clients sur le sujet et pour cela, nous nous sommes entourés d’experts et notamment d’un avocat spécialisé en droit de la protection de la propriété intellectuelle et de la protection des données personnelles, de fait du RGPD. Notre partenaire Avocat spécialisé RGPD Le cabinet parisien FLV & Associés, par l’intermédiaire de Maître Stéphane Salembien, est le partenaire de l’agence MG Mobile pour intervenir sur les dossiers de mise en conformité RGPD de nos clients. Quelques mots sur notre partenaire cabinet d’avocat Maître Stéphane Salembien possède une expertise sur trois principaux volets : la mise en place de contrats de distribution, dans une logique de construction de nouveau business. C’est notamment ici que sa connaissance du RGPD est valorisante. le contentieux (c’est quand on va au tribunal). la mise en place de négociations en précontentieux (c’est quand on essaie d’éviter d’aller jusqu’au tribunal).   En d’autres termes, l’expertise de notre avocat partenaire s’applique dans le cadre de la mise en place juridique des nouveaux business physique mais aussi numérique, pour lesquels il est obligatoire de prévoir de la documentation de type contractuelle ou réglementaire comme des conditions générales d’utilisations ou une charte des données personnelles par exemples, le tout en étant éclairé d’une bonne dose de connaissances du droit de protections des données dans le cadre du RGPD. Vous l’aurez compris, il s’agit de prévoir, d’anticiper, et construire un business stable et perrein dans la sérénité du RGPD. Dans le cas où un contrôle de la CNIL interviendrait, son expérience et son expertise en contentieux sera d’un précieux recours pour régler le dossier. Les points forts de notre partenaire Avocat spécialisé RGPD La réactivité, l’investigation, le synthétique sont la marque de fabrique de Maître Stéphane Salembien. Un besoin d’interactivité au demeurant très sympathique ont font un allié de circonstance lorsqu’on travaille sur un sujet tel que l’application des règles du RGPD pour son entreprise. Il va creuser le sujet de votre activité, de votre concept pour un rendu synthétique avec une vision clairvoyante. C’est ce qu’il appelle sobrement “une vision d’ensemble” qui lui permet de mettre sa palette d’expertises au service de la problématique de l’entreprise. Qui peut faire appel à notre avocat spécialisé RGPD ? En vérité, il n’y a pas de règles précises car la grande majorité des entreprises étant à but commercial, des données sont collectées. Dès lors, ne pas s’en préoccuper reviendrait à ne pas être en conformité RGPD. De fait, et parce que tout type d’entreprise n’a pas en son sein des spécialistes en RGPD, nous pouvons intervenir pour des grandes entreprises du CAC 40 pour un accompagnement de mise en conformité RGPD comme pour les startups en création qui ont besoin d’aller vite tout en respectant le cadre légal. De notre expérience en agence digitale, de nombreuses entreprises n’ont pas de services juridiques internalisées (startup, pure players, TPE…) et l’aide de notre avocat partenaire spécialisé RGPD est fortement appréciée. Cela permet de mettre un cadre, de rentrer dans le process, de faire les choses à son rythme, mais au moins de traiter le sujet et de le prendre à bras le corps. Super, mais qu’est-ce qu’une démarche simple de mise en conformité RGPD ? Dans le cadre de la protection des données personnelles, la première étape comme nous l’avons énoncé, est d’identifier les acteurs (interne ou externe) de l’entreprise pour mener à bien cette action. Ce n’est pas la somme des individualités qui compte, mais la force du collectif. Une fois que la task force est identifiée, des premières étapes simples sont à réaliser : cartographie des données collectées mise en place d’un registre des traitements statuer sur la question des données sensibles relecture des conditions générales d’utilisations nommer un délégué à la protection des données communiquer auprès de ses clients sur le respect du RGPD mettre en place des procédures sur des cas d’usages du RGPD (piratage des données personnelles…) Voilà déjà des premières actions pour enclencher la machine sur la bonne voie. Où et quand intervient MG Mobile dans ce plan de mise en conformité RGPD ? En tant que responsable technique de projets clients, nous accompagnons le DPO, l’avocat ou tout autre interlocuteur dans la bonne compréhension des procédures déjà en place, des systèmes de traitement existants. L’agence digitale est un rouage essentiel de la bonne mise en conformité RGPD de ses clients. Contactons-nous plus de plus amples informations. Combien ça coûte la mise en conformité RGPD ? Notre avocat partenaire expert RGPD s’adapte aux situations et aux besoins des entreprises. Pour un audit de mise en conformité RGPD, un forfait compris entre 800 € HT et 2 000 € HT suivant l’envergure du projet s’applique. Pour une intervention plus récurrente dans la durée, il devient nécessaire d’en parler afin de définir le contour de l’intervention et de réaliser une offre dédiée qui permet à tout le monde de s’y retrouver. Ce qu’il faut tout de même retenir, c’est que le coût est principalement sur la mise en place du processus RGPD. Par la suite, il pourrait s’agir d’une intervention occasionnelle. 3 TIPS de notre avocat partenaire spécialisé RGPD Notre avocat partenaire nous met gentiment en garde et nous délivre trois tips que son expérience et sa sagesse nous prodiguent : Il en va de la responsabilité de l’entreprise de se mettre en conformité RGPD et de mettre en sécurité les données personnelles de ses clients… Le mot clé : COMPLIANCE. Cela parait compliqué au premier abord, néanmoins c’est un moyen pour mettre en avant les qualités de l’entreprise. Le mot clé : CONFIANCE. Ce n’est pas insurmontable, il s’agit principalement de s’organiser. Le mot clé : ORGANISATION. Merci Maître, on se sent plus léger en lisant ces quelques lignes.   Quelques exemples d'amendes prononcées par la CNIL 26 novembre 2019 -  FUTURA INTERNATIONALE : sanction de 500 000 euros pour démarchage téléphonique illégal 21 janvier 2019 : 50 millions d’euros à l’encontre de la société GOOGLE LLC

Quel est le prix de développement d’une application mobile ?

Chaque application mobile est différente et en vérité, toute application mobile devrait être unique et spécifique, ne ressemblant à aucune autre application mobile ou à d’autres applications mobiles. De ce fait, un projet d’application mobile est un projet unique et rare qui doit être conceptualisé dans cette direction. Faire en sorte qu’une application mobile ne ressemble à aucune autre application mobile, c’est réfléchir à un projet qui vaut le coup, et le coût, d’être développé. Car c’est beaucoup plus motivant de développer un projet digital, qu’il soit de type site web ou application mobile, avec une ligne directrice, une vision initiale, qui apporte de la valeur, de l’utilité, du bonheur… Le digital et les projets qui l’entourent peuvent être extraordinaires, innovants, inventifs, aidants, il n’en reste pas moins que créer une telle valeur a un coût de développement. De manière générale, les entrepreneurs sont cette catégorie de personnes qui ont la capacité de développer un projet inédit. Comment ? En partant d'un point de friction non résolu, agaçant, auquel personne ne s’est attelé auparavant (uber), ou bien de la mauvaise manière. Ou bien encore sur une intuition ou même un autre projet qui a dévié de sa trajectoire initiale (twitter). Ou pourquoi pas en créant son propre marché en marginalisant une ancienne pratique en faveur d’une nouvelle (le covoiturage). Les projets pour les applications mobiles peuvent être multiples, variés, inventifs, mais tous répondent à une exigence primaire : si la première fois que je vais sur l’application mobile, je passe une mauvaise expérience, je la désinstalle et j’en fais une mauvaise presse. Comme dans la vie réelle, il est compliqué pour une application mobile de faire une deuxième bonne impression. Dès lors, il est primordiale de travailler lors de la conception de son projet d’application mobile avec des professionnels du secteur. Il en existe plusieurs types (freelance, étudiants en école de développeurs, agence digitale mobile comme MG Mobile…) à différents coût, tarif ou prix. Il faut alors comparer la qualité du service fourni ainsi que les prestations que ce développement de l’application mobile inclut. Ce qui est certain, car votre expérience de l’usage des applications mobiles vous le dicte, c’est que le design devra être particulièrement soigné. Les fonctionnalités de votre projet d’application mobile sont réfléchies selon un entonnoir des fonctionnalités fondamentales pour tester son marché, autrement dit le MVP (Minimum Viable Product), vers des fonctionnalités pour enrichir l’expérience de l’audience de son application mobile. Cette phase de conception s’accompagne en général de conseils de la part des professionnels du marché des applications mobiles qui peuvent indiquer si telle ou telle fonctionnalité est possible et en conformité avec les guidelines des stores d’applications mobiles Google play et Appstore. Par exemple il n’est pas possible de faire tout ce que l’on veut avec la géolocalisation dans une application mobile. En plus du design d’application mobile et des fonctionnalités à développer, l’expérience utilisateur est juge de la qualité de l’application mobile. Qu’est-ce qu’une application mobile de qualité me direz-vous ? De votre expérience, vous direz qu’il s’agit d’une application mobile qui ne crash pas pendant son utilisation. Ou tout simplement d’une application mobile qui amène à la finalité de son usage, au résultat de la promesse initiale. Cela tombe sous le sens, pourtant lorsqu’on se balade dans les stores des applications mobiles et à la lecture des notes et des avis sur les fiches des applications mobiles, il en ressort bien que le sujet de la qualité de l’application mobile est un vrai sujet. Pour être franc, ce sujet est une affaire de conception et de méthode d’organisation du travail lié au travail de développement du projet de l’application mobile. En d’autres termes, la qualité et le ressenti de l’utilisation de l’application mobile de manière assez factuelle et tangible sont liés au choix de l’investissement que l’on confie à l’équipe qui va développer le projet et donc assez directement au prix que coûte la création de l’application mobile. Autre critère lié au prix de développement d’une application mobile est sans conteste le langage de programmation utilisé pour créer les applications mobiles pour les stores Google play et Appstore. A notre époque actuelle, la sécurité des données est importante et c’est un autre critère qui influence le coût d’une application mobile puisque les choix en termes de serveurs devront être adaptés et cohérents, de même que la qualité du code créé : techniques de lutte contre le piratage informatique, respect du règlement général pour la protection des données (RGPD). Voyez-vous, un nombre importants de critères influencent le prix de création d'un projet d’une application mobile et en tant qu’entrepreneur, startup, décideur, directeur dans une société, cet article vous donne quelques clés pour comprendre les raisons inhérentes au prix de la réalisation de l’application mobile. Quels sont les différents types d’application mobile ? C’est en général la première question qu’un professionnel du développement des applications mobiles va poser au porteur du projet. Cela lui permet de commencer à cerner le projet et à ensuite poser les bonnes questions. Car il est difficile pour un développeur d’application mobile de poser les bonnes questions lorsque le porteur du projet reste trop vague. Les réponses vagues entraînent malheureusement des questions vagues et des prix vagues alors qu’au contraire un porteur de projet d’application mobile qui s’étend sur son projet a de grandes chances d’avoir d’une part des recommandations gratuites de la part des développeurs ou de l’agence mobile et d’autre part un devis avec un prix assez précis. Application de type Marketplace La marketplace ou bien place de marché en français porte bien son nom puisqu’il s’agit de mettre en relation dans une application mobile, et site web en général, une audience A avec une audience B. L’application mobile joue le rôle d’intermédiaire, mais un intermédiaire qui en général “sauve la vie” des deux audiences. En tout les cas, si c’est pressenti comme cela par les audiences A et B, vous êtes dans la bonne direction pour remporter le césar de la “killer app”. Le prix de l’application mobile est un coût d’investissement pour le coeur du business qui est technologique : on parle souvent de pure player du mobile. Quelques exemples d’applications mobiles de type marketplace : amazon, uber, blablacar... Application de type E-commerce Lancer une application mobile dans le secteur du e-commerce semble obligatoire lorsque votre site web e-commerce est rentable et que vos statistiques sur google analytics indiquent une forte audience mobile. Il est alors temps en effet de se renseigner sur le coût de création et de développement de son application mobile pour fidéliser sa clientèle et pour soutenir la croissance de votre activité sur le digital. Le prix de l’application mobile est un calcul entre le prévisionnel de chiffre d’affaire et le retour sur investissement attendu. Quelques exemples d’applications mobiles e-commerce : VeePee (anciennement vente privé), Voyage Privé, applications mobiles Drive pour les magasins Carrefour, Leclerc... Application de type Réseau social Les applications mobiles de type réseaux sociaux sont de loin les applications mobiles les plus populaires. L’essence même de leurs concepts est de favoriser le lien social entre les individus par l’intermédiaire du virtuel. Partagez vos aventures, vos émotions, rencontrez, discutez, beaucoup de concepts ont été testés et certains ont survécus pour devenir des géants du digital. Ces dernières années, très peu de nouveaux acteurs arrivent à tirer leur épingle du jeu dans un secteur avec d’énormes dominants. Le coût de l’application mobile est l’investissement au service de ses ambitions. Quelques exemples d’applications mobiles de réseau social : Facebook, Instagram, Twitter, Pinterest, Snapchat… Application de type Utilitaire Les applications mobiles de type utilitaires sont des applications mobiles qui ont encore un bel avenir car elles couvrent autant d’usages que d’entreprises, que de niches, de micro marchés existants. Ce sont des applications qui sont une extension de services existants qui tentent à migrer de leur état plus ancien vers un état digital. Le terme de transformation digitale trouve ici tout sons sens. Le coût de l’application mobile n’est ici pas une option, c’est parfois une question de survie et cela doit être développé. C’est un avantage concurrentiel, un passage obligé pour satisfaire ses utilisateurs. Quelques exemples d’applications mobiles de type utilitaire : les applications mobiles des banques, de suivi de consommations d’énergie, d’abonnements... Quels sont les différents types de développement d’application mobile ? En tant que porteur de votre projet d’application mobile, vous vous êtes renseignés sur les types de développements d’applications mobiles en vigueur et vous souhaitez connaître les langages de programmation utilisés par les développeurs. C’est normal, d’autant plus que d’une façon de faire à une autre, la charge de travail des développeurs n’est pas la même et cela influe sur le prix du développement. Application mobile native La programmation de l’application mobile dans le langage natif du système d’exploitation, swift pour iphone et java/kotlin pour Android, nécessite de développer et de maintenir à jour deux applications mobiles pour votre projet. C’est une réflexion et pas des moindres à avoir car il influence grandement le prix de l’application mobile. Application mobile hybride Depuis le début des années 2010 à l’approche de 2020, les technologies autour du développement hybride des applications mobiles a évolué du statut embryonnaire à l’état adulte avec des performances à faire pâlir un développeur natif. Quelques exemples de langages de développement d’applications mobiles hybrides : react, ionic… les applications mobiles de facebook, airbnb entre autres sont développées sous de type de langage de programmation. La solution hybride reste une solution au rapport qualité-prix très intéressante pour les porteurs de projets qui veulent maîtriser leurs coûts de développement et de maintenance de leur projet. Web Application Longtemps utilisé comme palliatif aux applications full natives, les applications mobiles qui hébergent une webview sont utiles pour décliner un projet de façon rapide et sans contraintes sur les stores d’applications mobiles. Quels sont les fonctionnalités principales d’une application mobile ? En fonction du type d’application mobile, le projet nécessite plus ou moins de fonctionnalités à mettre en place. En fonction de la popularité et de l’inventivité des fonctionnalités, le temps que passera le développeur sera proportionnelle au prix de l’application mobile. Inscription, connexion, mot de passe oublié Cette fonctionnalité est un basique de l’application mobile puisque l’utilisateur doit être référencé pour accéder au service en ligne. Gestion de profil C’est la suite logique de l’inscription, d’autant plus dans une ère post RGPD (règlement général sur la protection des données). Géolocalisation Le smartphone étant par définition un appareil mobile augmenté, beaucoup de services requièrent la position de l’utilisateur. Messagerie La discussion entre utilisateurs est une fonctionnalité présente dans énormément de projets. Paiement Le paiement est au coeur du modèle économique de l’application mobile qui doit bien vivre de son activité pour devenir rentable et continuer ses investissements. Selon le type d’activité, plusieurs méthodes de paiements sont possibles et conformes, allant du système de paiement natif géré par Google et Apple aux solutions de paiements alternatifs. Une application mobile...oui mais pourquoi ? et avec qui ? En tout état cause, vous venez de parcourir ces quelques lignes et vous comprenez que le prix du projet de votre application mobile est dépendant de plusieurs critères et que c’est en répondant petit à petit à ces questionnements que le prix du développement du projet prendra forme. Quoiqu’il en soit, la question principale avant de se lancer corps et âmes dans une étude de prix, est de déterminer la valeur du projet. Car le prix du développement de l’application mobile ne devrait pas être un frein ou une condition de réalisation du projet mais être considéré plutôt comme une variable dans un investissement plus globale. Le curseur doit être pointé sur le choix de l'équipe, du prestataire, de l'agence qui sera à même de partager ma vision et de m’accompagner vers un objectif commun. Quelles sont les prestations pour un projet d’application mobile ? Le choix du bon prestataire, c’est une chose, mais pour faire quoi exactement. On vous dit tout sur le déroulé d’un projet et du collectif dont le projet a besoin pour assurer son développement. Wireframe Il s’agit du prototype de l'application mobile, c’est la première étape du projet pour passer de l’idée à la réalisation. Le designer d’expérience utilisateur travaille sur les wireframe, de façon coordonné avec le chef de projet et le porteur du projet. Maquette Ce sont les visuels de l’application mobile telle qu’elle sera développée. Créer une application mobile nécessite des maquettes claires pour les développeurs. Le designer est en charge des maquettes en s’appuyant sur la charte graphique de l’entreprise éditrice de l’application mobile. Gestion de projet Véritable chef d’orchestre, le chef de projet est le garant des liens entre les acteurs du bon développement du projet, du respect du planning et donc du coût du développement. Développement C’est la force ouvrière du développement du projet, composée de spécialistes dans leurs langages de programmation. Les développeurs s’appuient sur le travail réalisé en amont, sur toutes les spécifications du projet pour créer une application mobile telle que prévu. Comment rédiger le cahier des charges de mon application mobile ? Comme vous le constatez, le prix du développement d’une application mobile est la somme de plusieurs critères telles que le secteur, le langage de développement, les fonctionnalités et les prestations à réaliser. Pour déterminer le prix de l’application mobile et accompagner le porteur du projet, il est fortement recommandé de livrer au prestataire un cahier des charges qui sera la base des discussions sur le projet et sur son budget. Voici notre modèle de cahier des charges que vous pouvez remplir en ligne. Estimation du prix d’une application mobile Dans les grandes lignes, voici des idées d’ordre de grandeur de prix pour des projets d’application mobile incluant un ensemble de prestations : Application mobile marketplace : A partir de 20.000 euros. En général elle est créée en hybride et composée de multiples fonctionnalités (inscription, mises en relation, messagerie, paiement…).Ce type de projet nécessite de passer beaucoup de temps pour un rendu de qualité. Application mobile e-commerce : A partir de 15.000 euros. Ce type d’application fait en général appel à des services back-end existants et un effort considérable est effectué sur l’expérience utilisateur et le design. Application mobile réseau social : A partir de 20.000 euros. Ce type d’application fait appel à de nombreuses fonctionnalités et un effort particulier doit être effectué sur les parties sécurité et protection des données. Application mobile utilitaire : A partir de 10.000 euros. Dépendant des projets qui peuvent être variés et plus ou moins complexes.   Vous l’avez compris, chiffrer un projet d’application mobile n’est pas simple et dépend de beaucoup de critères. Pour obtenir l’estimation la plus juste pour votre projet, il vous faut définir votre besoin au mieux via le cahier des charges et échanger avec le prestataire qui sera en charge de son développement. N’hésitez pas à nous contacter pour discuter de votre projet et obtenir un devis adapté.

Initiation au référencement naturel sur Google – PARIS

Réservez la formation au tarif de 119€ ttc au lieu de 149 ttc (-20%). Description : Comme le disait Benjamin Francklin : « Ecrivez quelque chose qui vaut la peine d’être lu ou faites quelque chose qui vaut la peine d’être écrit. »   Le référencement naturel est un sujet vaste et complexe, souvent perçu comme technique au départ, mais qui reste accessible au plus grand nombre dans sa compéhension et surtout dans ses actions concrètes à mettre en place régulièrement par tout types d’entrepreneur, de startuper, par des sociétés qui ont des activités en ligne (vente des services, de produits…) ou dans le monde réel.   Notre ambition : qui que vous soyez, nous souhaitons que vous deveniez un initié du référencement de votre activité sur internet avec un plan d’action clair à mener pour la suite et que vous pensiez en sortant « Le SEO ? pas de problème pour moi, voici comment je vais l’appliquer pour mon activité ». L’objectif : détenir les clés en 3h30 pour augmenter sa vibilité sur le référencement naturel pour attirer de nouveaux prospects. Au programme : 3h30 d’initiation au référencement de votre activité sur google au cœur de Paris, en petit comité de 3 personnes maximum. Formation qui mêle la théorie avec la pratique au cas par cas, en direct, sur votre activité en ligne, Apprentissage des grandes notions de l’univers du référencement : Gérer ma fiche établissement Google My Business comme un PRO, Les 5 fondamentaux du référencement naturel, Les clefs pour mettre en place une stratégie d’acquisition client sur le digital, Un cadeau bonus à découvrir sur place. Envie de partager cette initiation avec une de vos connaissances ? n’hésitez pas à partager cette initiation en indiquant que vous êtes le parrain et profitez d’une remise de 10%. Les sessions se font en semaine de 9h à 12h30 dans notre agence digitale au cœur de Paris. Voir les dates de nos prochaines sessions : vendredi 28 juin 2019 (COMPLET) vendredi 19 juillet 2019 (COMPLET) vendredi 27 septembre 2019 Dernières places disponibles

Quels sont les modèles économiques du web ?

Google, Facebook, Wikipédia, Youtube… ces sites sont parmi les plus visités au monde et ils sont tous gratuits au premier abord. C’est aussi le cas pour bon nombre de médias en ligne, de blog, de sites de streaming...  Alors, comment font-ils pour gagner de l’argent, ou tout simplement pour payer leurs infrastructures ? Quels sont leurs modèles économiques ?   Qu’est-ce qu’un modèle économique ? Un modèle économique ou business model décrit les principes selon lesquels une organisation crée, délivre et capture de la valeur. Le modèle économique d’un site web ou d’une application mobile est tout simplement le moyen qu’ils ont de gagner de l’argent. Il existe cinq formes principales de monétisation : marchand publicité freemium place de marché don   Les différents modèles économiques du web Modèle e-marchand   Ce modèle d’affaires s’applique aux sites marchands et aux boutiques en ligne. Ces sites ont la particularité de vendre en ligne des produits, services ou contenus. Les sites dit “transactionnels” génèrent des profits en fonction des ventes en ligne enregistrées.   Modèle d’affiliation Ce modèle s’applique aux sites marchands.Ceux-ci s’adressent à d’autres sites afin que ces derniers affichent du contenu publicitaire (bannière, lien…) dans le but de lui envoyer des acheteurs potentiels. Les sites affichant de la publication deviennent des affiliés et sont rémunérés avec un pourcentage de commission sur les ventes ou le trafic généré.   La publicité C’est le modèle le plus répandu, il est fondé sur une monétisation de l’audience par la publicité. Le site monnaye le nombre de pages vues et le temps passé par les utilisateurs.   L’affichage Fondé sur l’affichage (display), ce modèle est une transposition du modèle classique de la publicité. Il s’appuie sur des régies publicitaires qui répartissent des bandeaux publicitaires sur des sites. Le ciblage offert aux annonceurs est thématique (espaces ciblés pour les femmes, les amateurs de sport…) avec une volonté d’aller vers des formes plus élaborées de profiling. La tarification est fondée sur le CPM (coût pour milles affichages). Le CPM peut varier selon le régisseur et la taille de la bannière mais il est en moyenne de 1€.   Le matching publicitaire   Le cookie matching consiste à ce que le site de chaussures et la bannière publicitaire s’échangent les noms des cookies à travers des petits programmes informatiques (script envoyant des requêtes) afin d’identifier qu’Isabelle correspond au cookie ISA-125 pour le site de chaussures et PYB-89 pour la bannière publicitaire.   Le modèle Freemium Le principe du Freemium est fréquent : l’utilisation des services/fonctionnalités de base est gratuite, l’accès aux services/fonctionnalités premium est lui payant. Ces services premium peuvent-être liés à la vente d’un abonnement (c’est le cas de Flickr), ou bien de services ponctuels associés permettant d’enrichir l’expérience de l’utilisateur (vente de biens virtuels, accès à de l’information supplémentaire sur LinkedIn, par exemple).   La place de marché Ce modèle repose sur le prélèvement d’une commission sur les transactions organisées par le site. La plateforme organise la rencontre d’un grand nombre d’offreurs et/ou de demandeurs de biens et de services et ses revenus sont proportionnels aux transactions effectuées. Exemple : Ebay   Le don Le dernier modèle de collecte de ressource est fondé sur le don et le bénévolat, souvent associé au refus de la publicité et de la vente des contenus. L’exemple emblématique en est Wikipédia, l’encyclopédie libre ; on peut aussi mentionner la plateforme de blogs WordPress.   Trouver un modèle économique gagnant consiste à identifier le mode de fonctionnement de votre entreprise. Sur le web, le principe de l’affiliation (revenus de la publicité) est en général insuffisant pour devenir rentable. Vous devrez, dans tous les cas, identifier un élément à valoriser, à vendre ainsi que des spécificités pour attirer votre cible de clientèle et vous différencier sur le web.  

Pourquoi faire un prototype avant de développer un site web ou une application mobile ?

Qu’est-ce qu’un prototype ? Par définition, un prototype est le premier exemplaire d’un produit industriel. D’abord utilisé dans la création de logiciels lourds, cette technique est aujourd’hui recommandée par les professionnels du web. En effet, c’est un étape indispensable dans le métier d’un UX designer. Cette méthode consiste à élaborer des prototypes de l’interface finale d’un site web ou d’une application mobile. Il existe plusieurs niveaux de réalisation, du plus grossier (zoning, croquis) au plus élaboré (wireframe, mockups). C’est à vous de choisir lequel sera le plus pertinent suivant votre projet ou son état d’avancement. Les différents types de prototypes Maquette, mockup, wireframe, zoning, prototype… plusieurs termes que beaucoup confondent faute de définition claire. Voici donc une définition simple de chacun d’eux, cela devrait vous éclairer.   Le zoning : c’est la méthode de conception la moins élaborée, elle consiste à schématiser une page sous forme de blocs de contenu grossier afin de déterminer l’organisation de la page et de son contenu. L’arborescence fonctionnelle : il s'agit de représenter visuellement les imbrications et les connexions entre les différents gabarits composants le support interactif, ce qui revient à en illustrer le fonctionnement. Ce n'est pas à proprement parlé une méthode de conception, mais plus une vision de l'activité, qu'il faut questionner. Le wireframe : se fait généralement après le zoning et permet d’intégrer le vrai contenu de la page afin de montrer les fonctions de celle-ci. Son objectif est avant tout fonctionnel. Le mockup : c’est tout simplement un wireframe transformé en page HTML. Il permet de se projeter, car une fois la page dynamique on peut naviguer entre les pages, tester des formulaires… La maquette : c’est pareil que le mockup...avec des couleurs. Son but est de permettre de se projeter et de tester aussi bien le fond (le contenu) que la forme (le design). En ajoutant les bonnes couleurs et les bonnes images, vous pourrez avoir un aperçu plus réaliste de votre futur site ou application. Le prototype : permet de se focaliser sur le fond en testant les fonctionnalités. Il permet de décider avec quelles technologies les informations seront affichées, quel langage il faudra utiliser… Son but est avant tout fonctionnel. Un prototype est généralement unique (soit abandonné par la suite, soit fait pour évoluer), contrairement aux wireframes et maquettes qui peuvent être multiples. Pourquoi faire un prototype ? Maintenant que vous connaissez la différence entre toutes ces techniques, il est temps de se pencher sur la question du pourquoi. Pourquoi est-il si important de faire un prototype ? Pourquoi ne pas développer sa plateforme directement sans passer par toutes ces étapes ?   Il est primordial de faire un prototype car celui-ci servira de base à la phase de conception de votre site ou de votre application mobile. Suivant le projet, il sera parfois nécessaire de faire tester l’interface à des utilisateurs réels afin d’être sûr qu’elle est user friendly, c’est à dire qu’elle est compréhensible, agréable et facile d’utilisation pour les utilisateurs. Sachez qu’il est beaucoup plus coûteux, long et frustrant de faire des changements dans le code plutôt que dans la conception. Les avantages du prototype sont multiples : Il favorise la définition du périmètre fonctionnel de votre projet Il permet de présenter aux utilisateurs une vrai interface sur laquelle ils vont pouvoir réagir Il permet de se concentrer sur le fond (contenu, fonctionnalités…) sans être distrait par la forme (couleur, image…) Il facilite l’évolution de l’interface proposée au départ, afin qu’elle corresponde le mieux possible aux attentes et besoins des futurs utilisateurs Il permet de corriger ou valider des choix (techniques, fonctionnels) avant de commencer le développement technique. Les outils de prototypage Il existe plusieurs outils qui permettent de créer différents types de prototypes comme par exemple Balsamiq, Adobe XD, Axure, Wireframe CC, MockingBird, Moqups, UXpin, InVison… Ces logiciels ou plateformes en ligne permettent de créer des prototypes très facilement : certaines se gèrent en cliquer-glisser, d’autres nécessitent quelques connaissances informatiques. La plupart d’entre eux sont gratuits ou proposent une version Freemium, mais si vous souhaitez créer des prototypes avancés, il faudra acheter un logiciel ou souscrire à un abonnement sur l’une de ces plateformes.

Quoi transmettre à son designer pour créer sa charte graphique ?

Pour construire sa charte graphique, il faut prendre le temps de se poser les bonnes questions pour bien définir son entreprise afin d’avoir une identité graphique qui lui corresponde. Mais voyons d’abord ce qu’est une charte graphique et ce qu’elle contient.   Qu’est-ce qu’une charte graphique et quels sont ses objectifs ? La charte graphique est un document de référence qui contient les règles fondamentales d’utilisation des signes graphiques constituant l’identité visuelle d’une entreprise, d’une marque, d’une organisation ou d’un projet. L’un des objectifs d’une charte graphique est de conserver une cohérence graphique dans toutes les réalisations graphiques d’une entreprise. Sa mise en place garantie une identité visuelle homogène que pourront s’approprier les clients ainsi que tous les partenaires (fournisseurs, graphistes, presse,…) d’une entreprise. Un autre objectif est de permettre aux consommateurs d’identifier facilement la marque par la cohérence associée à la récurrence des différentes réalisations graphiques. (Exemple de Coca-Cola: même logo depuis leur création en 1885, l’utilisation du rouge et blanc sur tous leurs supports…). On parle alors de corporate design (dessin de l’entreprise). Disposer d’une charte graphique est donc un outil indispensable pour communiquer efficacement et pour établir la stratégie de communication de l’entreprise, l’objectif étant d’ancrer son image de marque dans l’esprit du consommateur.   Que contient une charte graphique ? Une charte graphique regroupe et traduit graphiquement tout l’univers et toutes les valeurs de l’entreprise, c’est le support fondamental de toute sa communication (interne et externe). Une charte graphique complète contient principalement: Une brève introduction de votre marque: son message principal, la mission, le principe fondateur, les valeurs… pour donner au lecteur une idée de votre positionnement et des valeurs de votre entreprise Le logo: l’élément central et le plus important de votre marque. Vous pouvez ajouter les déclinaisons suivant le support utilisé et les bonnes et mauvaises pratiques graphiques, les dimensions… La palette de couleur : définissez vos couleurs primaires et secondaires, les cas d’utilisation pour les supports papiers ou numériques, les bonnes et mauvaises utilisations, la combinaison des couleurs… La typographie : associez le choix de vos polices aux valeurs et principes de votre entreprise   On peut également trouver dans une charte graphique les règles d’imagerie, les règles du merchandising produit, les règles du merchandising boutique et les règles de communication interne.   Les questions à se poser Voici une liste de questions auxquelles il faut répondre pour faire comprendre au mieux les valeurs de votre entreprise et l’image que vous voulez qu’elle renvoie. L’entreprise Identité, adresse, historique, site web de l’entreprise Charte graphique ou cahier des charges existant ? Quels supports de communication actuellement ? Quel est votre secteur d’activité ? Quelle image de marque à développer ? Quels messages à faire passer ? Quelle est l’essence de votre entreprise ? Quelles sont les valeurs que vous souhaitez véhiculer ? Quels sont vos projets d’évolution ? Comment vous voyez-vous dans 5 et 20 ans ? Choisissez 3 mots que vous voulez que les gens associent à votre entreprise quand ils verront la nouvelle identité Choisissez 3 mots que vous ne voulez PAS que les gens associent à votre entreprise quand ils verront la nouvelle identité Qui sont vos principaux concurrents ? Qu’est-ce qui vous différencie de vos concurrents ? En quoi êtes-vous supérieurs, en quoi proposez-vous une expérience distincte ? Quelles sont vos forces ? Vos faiblesses ? Quelles étaient les problématiques soulevées par vos précédentes identités ? Est-ce que certains des aspects de ces identités étaient pertinents ? Y a t-il des aspects de votre entreprise qui doivent être estompés ou évités dans votre identité ?   Le public / la cible Qui sont les clients et prospects de l’entreprise ? Quel est le profil type de votre client idéal ? On parle ici de personna, qui sont des profils types incluant des données comme âge, sexe, métier, localisation, centre d’intérêts, etc. Avez-vous plusieurs cibles de prospects ? Est-ce que ce sont des particuliers, des indépendants, des PME ou de grandes entreprises ? À qui cette identité doit le plus parler ? Classez-les du plus important au moins important Quelle est votre zone de chalandise ?   Le design Quelles couleurs ou tonalités aimez-vous et détestez-vous ? Pourquoi ? Y’a-t-il des couleurs spécifiques à utiliser, à proscrire ? Y’a-t-il des éléments graphiques à utiliser, à proscrire ? Faut-il y intégrer des éléments particuliers ? Désirez-vous conserver des éléments du logo existant ? Existe-il une baseline ? Êtes-vous intéressés par un logotype uniquement (texte seul) ou par un logo avec pictogramme ? Sur quels types de supports ce logo sera-t-il utilisé ? Quelles sont les identités (graphiques) de vos concurrents ? Quels types de logos d’autres entreprises vous inspirent ? Ou vous rebutent ? Pouvez vous nommer 2 identités graphiques, une à l’intérieur et une à l’extérieur de votre périmètre d’activité que vous aimez particulièrement ? Pourquoi les aimez-vous ? Pourquoi pensez-vous qu’elles sont efficaces ?   Des dernières recommandations ? D’autres choses à savoir ? Quelques clichés ou solutions à impérativement éviter ? En répondant à toutes ces questions et en les transmettant au designer chargé de créer votre charte graphique, vous vous assurez d’obtenir une identité visuelle conforme à l’image que vous voulez veut donner à votre entreprise. Vous pourrez l’utiliser dans tous vos supports de communication comme votre site internet ou votre application mobile et c’est ce qui vous définira auprès de vos consommateurs.

Comment activer l’authentification à double facteur Apple ?

Voici une petite documentation sur l'authentification à deux facteurs Appple ainsi que les étapes à suivre pour la mettre en place et ainsi sécuriser son compte Apple Developer et l’accès à ses applications mobiles  : Qu’est-ce que l'authentification à double facteur ? À partir du 27 février 2019, Apple mettra en place l’authentification à double facteur. Elle permet de protéger le compte en demandant un mot de passe et l’accès à un périphérique de confiance par un code de vérification envoyé par SMS ou téléphone. Seuls les développeurs dotés du rôle « Team Agent » qui sont dans l’un des programmes suivants : Apple Developer, Apple Developer Entreprise, ou encore le programme iOS Developer University peuvent et doivent l’activer. Avec l’authentification à double facteur, nous pouvons choisir de rentrer le code à chaque connexion, ou bien de « faire confiance à cet ordinateur » qui garde l’authentification activée pendant 30 jours. Cependant, si vous supprimez les caches du navigateur, que vous en changez, ou bien que vous modifiez votre mot de passe de compte Apple, il faudra à nouveau entrer le code de vérification. Un appareil apporté ou un numéro de téléphone apporté est un appareil iOS ou Mac qui nous appartient. Ainsi on doit vérifier au moins un numéro de téléphone approuvé pour pouvoir s’inscrire à l’authentification à double facteur. Voici les exigences d’environnement minimum pour l’activer : iPhone, iPad, iPod Touch avec iOS 9 ou supérieur Mac avec OS X El Capitan ou supérieur   Les étapes pour activer l’authentification à deux facteurs : Pour iPhone, iPad, iPod Touch:   I / Si vous utilisez iOS 10.3 ou supérieur : Allez dans Paramètres > Réglages > Identification à deux facteurs > Activer Si vous n’avez pas de code pour déverrouiller votre appareil, tapez sur « créer un code » puis rentrer votre code. Puis taper sur « Activer » ou «Activer l’authentification à deux facteurs » Entrez votre numéro de téléphone approuvé et sélectionnez la méthode de réception voulu (SMS ou téléphone) Une fois le SMS reçu, entrez le code pour cet appareil dans l’activation de l’authentification à deux facteurs.   II/ Si vous utilisez iOS 10.2 ou précédant : Allez dans Paramètres > iCloud > Apple iD > Mot de passe et sécurité > Activer l’authentification à deux facteurs Entrez votre numéro de téléphone approuvé et sélectionnez la méthode de réception voulu (SMS ou téléphone) Une fois le SMS reçu, entrez le code pour cet appareil dans l’activation de l’authentification à deux facteurs.   Pour Mac OS X El capitaine ou supérieur : Allez dans Menu (logo Apple) > Préférences systèmes > iCloud > Détails du compte > Sécurité Au bas du panneau Sécurité cliquez sur « Activer l’identification à deux facteurs » Autorisez la connexion sur l’appareil voulu et renseignez le code de vérification reçu   Par la suite, vous pouvez également configurer le compte développeur en vous connectant avec votre identifiant apple à l’Apple Store Connect et renseigner le code de vérification pour l’authentification à deux facteurs. Connectez vous à votre compte si vous souhaitez gérer les différents appareils connectés.   N’hésitez pas à nous contacter si vous souhaitez obtenir de l’aide dans votre démarche d’activation de la double authentification Apple.

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